extrait de mes années d'école, une petite photo de classe auprès du mal aimé de la classe...
mal aimé chez lui, mal aimé à l'école où il avait du mal a suivre les cours et l'instituteur, on peut déjà lire sur son visage tout le poids que sa vie va lui faire subir...
et pourtant c'est le seul d'entre nous qui se donnait autant d'efforts pour venir chaque matin à l'école, de jour ou de nuit, il faisait tous les jours d'école, samedi compris, deux kilomètres aller et deux kilomètres retour à pied...
pas loin de deux heures de marche avec son cartable pour venir tous les jours se faire maltraiter à l'école par notre instituteur...
mal aimé chez lui, mal aimé à l'école où il avait du mal a suivre les cours et l'instituteur, on peut déjà lire sur son visage tout le poids que sa vie va lui faire subir...
et pourtant c'est le seul d'entre nous qui se donnait autant d'efforts pour venir chaque matin à l'école, de jour ou de nuit, il faisait tous les jours d'école, samedi compris, deux kilomètres aller et deux kilomètres retour à pied...
pas loin de deux heures de marche avec son cartable pour venir tous les jours se faire maltraiter à l'école par notre instituteur...
l'école militaire
1 Grains de sel:
on met parfois tellement d'acharnement à se faire maltraiter... une manière de vivre malgré tout...
poignante cette photo et terrible ton billet.
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