26/12/2008

donnez, donnez, donnez (air connu)...

vous pourrez lire l'original ici :
http://www.rfi.fr/actufr/articles/108/article_76511.asp

mais si je récapitule, un type qui s'intéresse aux juifs pour mieux leur piquer les sous, normalement, chez nous on l'étiquette automatiquement antisémite, non ?..

ou alors, il y a un seuil au delà duquel, ça ne s'applique plus...
à moins qu'il faille être noir ou d'extrême droite ou simple d'esprit comme seconde condition supplétive... j'ai même entendu parler d'un cas où le mec à été viré pour moins que ça...

je vous met l'article pour juger...

La fondation Elie Wiesel, une autre victime de l'affaire Madoff

Article publié le 25/12/2008 Dernière mise à jour le 25/12/2008 à 10:11 TU

(Photo : www.eliewieselfoundation.org)

(Photo : www.eliewieselfoundation.org)

La fondation du Prix Nobel de la paix a perdu plus de 15 millions de dollars dans le scandale Madoff, du nom de ce célèbre courtier américain accusé d’avoir organisé une gigantesque fraude de 50 milliards de dollars. L’ancien président du conseil d’administration du Nasdaq, Bernard Madoff, s’était fait une image de bienfaiteur de la communauté juive et des dizaines d’associations caritatives juives lui avaient confié la gestion de leurs fonds. Ces organisations se sont réunies pour réfléchir à leur recours juridique.

Elie Wiesel est une victime typique de l’escroquerie montée sans doute depuis le début des années 70 par Bernard Madoff. Celui-ci s’était fait une image de philanthrope de la communauté juive, et attirait tout naturellement les personnes qui gravitaient dans le même cercle.

Le New York Times a publié mardi un article sur le préjudice qu’a subi l’université Yeshiva, une célèbre institution de la communauté juive new-yorkaise. Bernard Madoff faisait partie de son conseil d’administration et était considéré comme un exemple pour les étudiants. Dans le même temps il a dépouillé cette institution de 110 millions de dollars.

« Je vais m’occuper de votre argent »

Les professeurs de Yeshiva ont organisé des cours pour réfléchir sur le traumatisme d’être volé froidement par un apparent bienfaiteur et sur les répercussions que cette escroquerie peut avoir sur l’image de l’ensemble de la communauté.

Trente organisations caritatives juives de la région de New York se sont consultées cette semaine pour étudier leur recours juridique. Mais les cas les plus tristes sont ceux des particuliers -soit des couples à la retraite soit des veuves- qui se sont tournés vers Bernard Madoff attirés par sa réputation et son apparente compassion pour ses semblables.

Une dame a raconté à CNN comment, veuve à 40 ans avec 5 enfants à élever, elle est allée voir Bernard Madoff, un ami de son mari, pour lui demander conseil. Il lui a posé la main sur l’épaule en lui disant : « ne vous faites plus de soucis, je vais m’occuper de votre argent ». Aujourd’hui elle se retrouve sans un sou.


pauvre femme, si elle avait de l'argent et qu'elle se soucie de l'avenir de ses cinq enfants, elle n'avait qu' à consacrer son argent à les élever; comme quoi on peut être riche et très con...

19/12/2008

en maréchal (val) hoche...

L’ANTIFASCISME EST UN RACISME


Si vous regardez bien le macadam devant la sortie de Charlie, rue de Turbigo, sous les mégots de ceux qui profitent du réchauffement climatique pour aller en griller une, vous observerez comme une petite ornière qui part en direction de la Seine. C’est l’ornière que nous avons creusée pour nous rendre au tribunal à force de convocations. La liste de ceux à qui nous avons déplu au point qu’ils nous ont assignés en justice est longue : le Medef, Charles Millon quand il nouait des accords en Rhône-Alpes avec le Front national, diverses sectes, Renaud Dutreil, une filiale de Vivendi Universal au temps de la gloire de Messier, Bruno Mégret et madame, l’armée, les innombrables procès de l’officine catholique d’extrême droite AGRIF (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) et d’autres ratons laveurs… J’ai usé le banc des accusés, j’ai vu passer des présidents et des procureurs de toute sorte, j’ai la mémoire qui flanche, de quelle couleur étaient leurs yeux ? Étaient-ils verts, étaient-ils gris, étaient-ils vert-de-gris ?
Je repense à certains magistrats avec nostalgie, même quand il s’agit de ceux ou celles avec qui ça a chauffé parfois méchamment. Nos procès, à l’époque, ne faisaient guère de bruit médiatique. Mais, au fond, nous étions fiers d’être détestés par des gens que nous jugions détestables. Nous avons gagné la plupart de nos procès, établissant parfois une jurisprudence en faveur de la liberté de caricaturer et d’user de la satire.
Tout a changé lorsque, fidèles à notre vigilance, nous avons publié les fameuses caricatures de Mahomet. Contrairement à l’habitude, les passions se sont déchaînées. Nous, nous avions pourtant le sentiment de faire la même chose que d’habitude : réagir à une tentative d’intimidation contre la liberté d’expression et contre les principes d’une laïcité garante d’un vivre ensemble précieux pour tous, y compris, au bout du compte, pour ceux qui nous attaquaient.
Le procès des caricatures de Mahomet était tout à fait de même nature que ceux que nous intentait l’extrême droite catholique, via l’AGRIF, avec le même motif : « provocation à la haine et à la violence à l’égard d’un groupe de personnes en raison de leur appartenance à une religion déterminée ».
Mais, étrangement, alors que l’extrême droite catholique nous harcelait judiciairement dans l’indifférence générale, il faut remarquer qu’elle n’était pas non plus soutenue par grand monde. En revanche, les associations musulmanes, dont deux sur les trois — l’UOIF (Union des organisations islamiques de France) et la Ligue islamique mondiale — peuvent être taxées, au moins, de radicalisme, se sont trouvées suffisamment d’alliés pour qu’éclate le scandale médiatique. L’extrême droite et une partie de l’extrême gauche, après avoir courageusement défendu Dieudonné, Daniel Mermet sur France Inter, Pierre Marcelle dans Libération, Michel Onfray et quelques autres penseurs de haut vol, sont partis en croisade contre Charlie Hebdo, nouvel organe de l’islamophobie occidentalo-chrétienne. Depuis, les adversaires de ce genre se sont multipliés comme des petits lapins dont l’intelligence brillante et cultivée a discerné dans notre condamnation de l’antisémitisme notre ralliement au grand capital et à Sarkozy et notre trahison d’un socialisme dont ils ont le brevet exclusif.
Au bout du compte, l’affaire des caricatures a agi comme un révélateur de ce que nous sommes devenus : un brûlot anti-musulman à la solde du lobby judéo-chrétien. Et comme les juifs et les chrétiens sont riches et que les musulmans sont pauvres, on est contre les pauvres et pour les riches. CQFD. Comme quoi les petits lapins pensent encore plus vite qu’ils ne baisent.
Que nous soyons de toutes les luttes antiracistes n’y fait rien, ce n’est évidemment qu’un alibi derrière lequel nous cachons notre conversion à ce qu’il faut bien appeler l’extrême droite, n’ayons pas peur des mots. D’ailleurs, ma caricature en nazi par le génial Plantu n’est que l’expression talentueuse de cette pensée subtile.
Évidemment, on peut imaginer que, parfois, je ressente une certaine fatigue, voire une mélancolie passagère, mais je me dis que tout passe, tout lasse, et qu’au bout du compte on ne fait jamais que ce que l’on se sent obligé de faire. Oui, mais voilà. Alors que les rues s’illuminent gaiement pour fêter la naissance du petit Jésus, alors que les sapins s’habillent de leurs boules les plus aguichantes, vlan ! Voilà que dans les petits souliers que nous avions rangés devant la cheminée de Charlie pour qu’ils réceptionnent le don du ciel nous avons trouvé l’autre matin une nouvelle assignation. C’est donc dans le froid et la neige avec mes chaussures qui prennent l’eau que je vais misérablement reprendre le chemin qui va de la rue de Turbigo au palais de justice. L’AGRIF a décidé de revenir à la charge, jugeant qu’avec notre numéro sur la venue de Benoît XVI en France nous avions, une fois de plus, « provoqué à la discrimination, à la haine et à la violence à l’égard d’un groupe de personnes en raison de leur appartenance à une religion déterminée ». Une fois de plus, il va falloir expliquer que la critique de la religion est un droit démocratique, et qu’on ne peut l’assimiler à un racisme. Une fois de plus qu’il n’y a de blasphème que pour le croyant, et que la liberté d’expression comprend la liberté de critiquer les mythes, quels qu’ils soient…


PHILIPPE VAL


eh, philippe, juif c'est une religion?... ou autre chose...

alors critiquer démocratiquement les fondamentalistes juifs sans être taxés d'antisémitisme est donc possible?...

tu nous étonneras toujours, mon bon vieux philippe...


16/12/2008

comme il est douillet, l'état sécuritaire...

Cinq bâtons de dynamite au magasin

Printemps à Paris


tiens, c'est bizarre, d'habitude, au printemps, c'est plutôt six rondelles...

en tout état de cause, c'est toujours au printemps qu'on à droit au retour des six cognes...

15/12/2008

le grand con bas du journalisme...

Les journaleux, Abdoulaye, sont des gens comme toi.

Bon, disons que les journaleux sont presque des gens comme toi : maintenant que tu m’en parles, c’est vrai qu’il y a quand même entre vous deux ou trois menues différences.

Mettons que, par exemple, tu te fasses un peu bousculer dans ta cage d’escalier par des fonctionnaires-de-police, au fond de ta banlieue pourrie ?

Mettons même, soyons fous, qu’après ça ton dossier, un peu difficile pour les keufs, disparaisse comme par enchantement ?

Y a quand même assez peu de chances pour que des "socialistes" s’en émeuvent au point de saisir la commission de déontologie de la sécurité - comme ils viennent de faire pour Vittorio de Filippis, ainsi qu’on se disait l’autre jour.

Mettons que, par exemple, tu te manges une garde à vue un peu tendue - après avoir évidemment outragé un shérif à Clichy-sous-Bois Gulch ?

Je doute que Jean-Claude Magendie, "premier président de la cour d’appel de Paris", se précipitera pour demander "toute précision utile sur les conditions qui" auront "entouré" ton interpellation - comme il vient de faire pour Vittorio de Filippis.

De la même façon : je ne suis pas (du tout) certain que "le président de tribunal de Paris, Jacques Degrandi", lancera un (courageux) appel à respecter partout le "principe constitutionnel de proportionnalité qui régit les mesures de contraintes" - comme il a fait hier pour Vittorio de Filippis.

Au fond, c’est tout simple : ces gens-là, ces hauts magistrats, si farouchement indépendants qu’il y en a même qui disent les avoir vus voler, ne manifestent en général qu’une (très) molle irritation, quand un Reunoi se fait tonfer le sommet de l’occiput aux recoins de sa triste cité [1].

Si molle, qu’on pourrait presque dire qu’ils ne manifestent aucune espèce de réaction.

(Le gars l’aura sans doute cherché : l’Africain est d’une arrogance qui défie l’imagination.)

Alors que dans l’"affaire Filippis", pardon, comment qu’on les entend gueuler : je ne vois plus guère que l’United States Attorney General, qui n’ait pas (encore) dit sa (très) vive indignation.

Mais il est vrai aussi que "l’interpellation musclée d’un responsable du journal de gauche [2] Libération dans une simple affaire de diffamation a suscité un tollé en France et contraint lundi le gouvernement à se justifier".

Cependant que pour ce qui serait du lattage de l’indigénat de nos DOP-TOP [3] : le gouvernement se tait avec application.

C’est comme je te disais : y a quand même, suivant que tu es de nulle part ou de Libération, deux, trois différences.

Le Canard enchaîné le rappelait fort bien mercredi : les gardes à vue, quand elles n’impliquent pas un ressortissant de la presse quotidienne barbichue, font routine "sous l’oeil indifférent des procureurs", qui ont théoriquement "le devoir de visiter régulièrement tous les lieux où des personnes sont retenues", mais "qui ne contrôlent rien", en réalité.

Le Canard publie notamment le témoignage d’"Augusta, 53 ans", arrêtée à Paris le 28 septembre dernier : lis jusqu’au bout, tu vas aimer.

"Vers midi, au métro Château-Rouge, les vendeuses à la sauvette criaient : "Maïs tso ! Maïs tso !", au lieu de "chaud", et ça m’a fait rire. Je venais d’acheter un épi au KFC Ménilmontant. J’ai vu les filles courir et trois policiers s’avancer : "Vos papiers !" J’ai tendu ma carte d’identité française. Ils voulaient voir mon sac. "Il est interdit d’acheter ce maïs ! - Pourquoi ? - C’est un délit. - Mais je l’ai acheté au magasin. - Vous êtes en état d’arrestation !", coupe une policière. J’ai discuté : "Bien que d’origine nigériane, je ne vends rien… Rendez-moÉi mes affaires." Un policier m’a alors attrapée par le bras et envoyé deux coups de botte dans les jambes. J’ai chuté, ventre à terre, son genou appuyant sur mon dos. Je me suis débattue, mon pagne s’est ouvert, j’étais à moitié nue au milieu des badauds, qui criaient, sifflaient et filmaient. Les policiers leur ont lancé des lacrymos, même sur une femme et son bébé. Ils m’ont menottée, emmenée dans une cellule, au commissariat du XVVIIe. À 14 heures, une policière me demande si je sais lire. J’ai répondu qu’étant diplômée de l’American University of Texas et de l’American University of Paris, oui, je savais lire et écrire… À 17 heures, l’avocate est arrivée, et, une heure plus tard, on m’a amenée, menottée, à l’hôpital. Le médecin a constaté des hématomes. Le lendemain, à midi, un policier est venu me libérer à l’hôpital. Je suis accusée d’"outrages et rébellion". J’ai porté plainte".

Je dirais que le récit d’Augusta est un peu énervant.

Je dirais que le récit d’Augusta est même plus énervant que le récit de Vittorio (de Filippis).

(Toutes choses égales, par ailleurs.)

Il a été, parmi d’autres, publié mercredi.

En as-tu entendu parler, dans la presse qui s’est il y a dix jours levée pour Filippis ?

Ah ben non, tiens couillon : Augusta, je le crois, n’est pas si barbichue que sa mésaventure puisse mobiliser nos si preux journaleux.

20minutes.fr n’a que je sache rien publié sur l’histoire d’Augusta, interpellée, déshabillée, humiliée.

Alors que 20minutes.fr a fait en son temps, comme tout le monde, un papier sobrement titré : "Interpellé, déshabillé et humilié : l’histoire de Vittorio de Filippis".

De même : Jack Lang, après avoir évidemment déploré une "atteinte" à la "dignité de la personne" de Vittorio de Filippis, n’a rien dit sur Augusta.

Étienne "Figaro" Mougeotte n’a pas hurlé (du tout) que le sort fait à Augusta était : "Intolérable !"

Éric "Le Monde" Fottorino, moins scandalisé que la semaine dernière, n’a pas du tout confirmé que c’était : "Inacceptable !"

Etc.

J’ai lu 160.000 papiers sur l’"affaire Filippis".

J’ai lu un seul papier (celui du Le Canard enchaîné) sur l’affaire Augusta.

Alors je suis (très sincèrement) désolé pour Filippis - mais le compte n’y est pas, de sorte qu’il faudrait maintenant que les journaleux cessent de nous tenir pour des gro(sse)s con(ne)s, et de caqueter qu’ils ne réclament rien de particulier pour eux-mêmes, et de ululer que l’"affaire Filippis" est (tellement) "symptomatique" des malheurs du simple quidam.

Dans la vraie vie : c’est l’interpellation d’"Augusta, 53 ans", qui est symptomatique - pour ce qu’elle révèle (ou confirme) de coutumière tartuferie politico-médiatique.

L’"affaire Filippis" démontre une chose, et une seule : c’est que les coteries pressiques, si promptes à s’ériger en ligues de vertu outragées quand des flics osent rudoyer l’un des leurs, continuent de regarder ailleurs, quand les mêmes s’en prennent à qui n’est pas de leur (tout, tout, tout) petit monde.

Il y aura tout à l’heure d’autres Augusta - mais nos crânes défenseurs des droits du gardé à vue barbichu sont déjà retournés à l’indifférence des classes protégées : le système est ainsi conçu qu’ils ne s’en rendent même pas (tous) compte.

12/12/2008

mes zon(zons)...

la volonté de généraliser l'enfermement, y compris dès l'age de douze ans démontre en creux, l'abandon de l'idée de vouloir régler les affaires de l'en dehors (de la vie civile)...

l'aboutissement extrême étant de faire également de l'en dehors une forme d'emprisonnement...

03/12/2008

nicolas est il un mari honnête ?..

hypothèse lue quelque part :

et si nicolas, loin de faire preuve d'une arrogance sans limites en allant le soir de la victoire aux élections présidentielles au fouquet's passer la soirée en compagnie de quelques amis, avant de s'échapper pour une croisière sur un yacht, n'y était allé que pour rendre compte à ses "employeurs" ou "mandataires" et prendre sa feuille de route pour son nouveau job....

si loin d'être ses "amis", les dits caciques étaient en fait ses commanditaires, que la soirèe au fouquet's ne soit qu'une sorte de débriefing, ce qui aurait le mérite d'expliquer le total soutien des organes de presse dominants, aux mains  des fameux amis...
ils ne le soutiendraient pas, ce serait lui qui appliquerait leur programme...

vous allez dire que celà ne change rien aux faits, pourtant la perspective est toute autre... le spectacle n'est plus le même quand le marionétiste ne parviens pas à faire oublier les fils... même aux é-colliers...

02/12/2008

valet de pique

pouvez vous m'indiquer la hot ligne la plus proche, j'aurais voulu signaler un bug...

01/12/2008

l'exercice du droit... de se taire...

une ou deux opérations de prévention comme celles du billet précédent, et à douze treize ans te voilà vite prévenu...

pour une fois que sarkosy fait du droit (vocabulaire), il le fait tout de travers.


prévention
: Terme de droit. Action de devancer l'exercice du droit d'un autre.

En droit français, le prévenu est la personne, physique ou morale, faisant l'objet des poursuites judiciaires devant un tribunal correctionnel .

vous voilà prévenu...

Objet : Un papa un peu bouleversé , très en colère!!!

J'ai eu cette semaine un mail concernant une descente de police dans un lycée du Gers ...On a pu entendre aussi le témoignage sur France inter. J’étais absolument abasourdi par les méthodes utilisées….Mais vous savez parfois on se dit que les gens exagèrent dans leur témoignage…. Bref je reste interrogateur !


Mais voilà que ce WE, j'accueille ma fille Zoé –elle a 13 ans- de retour du collège de Marciac.... Elle me raconte son mercredi au collège....colère à l'intérieur de moi.... révolte...... que faire???
J'ai demandé à Zoé d'écrire ce qu’elle me disait là. Elle a accepté.
Voici donc son témoignage, avec ses mots à elle :

« Il nous l'avait dit, le CPE, que des gendarmes allaient venir nous faire une prévention pour les 4ème et les 3ème.
Ce mercredi là (19/11/2008), toutes les classes sont entrées en cours comme à leur habitude, en suivant les profs.
A peine 10 minutes plus tard – nous étions assis-, deux gendarmes faisaient déjà le tour de la salle où nous étions. La prof avec qui nous étions, les regardait en nous disant « Ils font leur ronde!?? » . Elle n'était à priori au courant de rien bien sûr. Soudain , la porte s'est ouverte, laissant entrer deux gendarmes... Enfin non, pas exactement!!! Il y avait un monsieur chauve habillé en militaire ( le dresseur de chien en fait!) et un gendarme très gros.
Le chauve nous a dit: « Nous allons faire entrer un chien! Mettez vos mains sur les tables, restez droit, ne le regardez pas! Quand il mord, ça pique! »
Enfin il a dit ça, à peu près... Je me rappelle surtout du « Quand il mord, ça pique! »
Après, il est sorti deux minutes et est revenu avec deux autres gendarmes et le chien. Les gendarmes se sont placés aux deux extrémités de la classe tandis que le dresseur regardait son chien déjà à l’œuvre. Le chien s'appelait Bigo. Bigo s'est acharné sur plusieurs sacs, en mordant et arrachant tout ce qui dépassait. Quand à la prof, elle restait derrière son bureau bouche bée.
Le chien s'est attaqué au sac de mon amie, à coté de moi. Le dresseur a claqué des doigts en disant: « Sortez mademoiselle, avec toutes vos affaires! » Elle a rangé son sac, s'est levée et s'est apprêtée à sortir mais le dresseur l'a repris vite: « Et ton manteau! » Elle a rougi et emporté aussi son blouson.
Plusieurs personnes de la classe sont ainsi sorties. Le chien vient alors sentir mon sac. Voyant que le chien ne scotchait pas, que rien ne le retenait là, le dresseur lui a fait sentir mon corps avant de s'empresser de me faire sortir. Dehors m'attendait une petite troupe de gendarmes... Enfin, non, pas dehors: nous étions entre deux salles de classe.
Me voyant arriver, ils se dépêchèrent de finir de fouiller une autre fille. Mon amie était déjà retournée dans la classe. Quand ils eurent fini, ils s'emparèrent de mon sac et le vidèrent sur le sol. Un gendarme me fit vider les poches du devant de mon sac. Il vérifia après moi. Je n'étais pas la seule élève. Avec moi, il y avait une autre fille qui se faisait fouiller les poches par une gendarme.
Ils étaient deux gendarmes hommes à la regarder faire. Le Gendarme qui fouillait mon sac vida ma trousse, dévissa mes stylos, mes surligneurs et cherchait dans mes doublures.
La fille qui était là fouillée elle aussi, se fit interroger sur les personnes qui l'entouraient chez elle. Elle assurait que personne ne fumait dans son entourage. Ils la firent rentrer en classe.
C'était à mon tour! La fouilleuse me fit enlever mon sweat sous le regards des deux autres gendarmes.....
Je décris: Un gendarme à terre disséquait mes stylos, un autre le surveillait, un autre qui regardait la fouilleuse qui me fouillait et le reste de la troupe dehors. Ne trouvant rien dans ma veste, elle me fit enlever mes chaussures et déplier mes ourlets de pantalon. Elle cherche dans mes chaussettes et mes chaussures. Le gars qui nous regardait, dit à l'intention de l'autre gendarme: « On dirait qu'elle n'a pas de hash mais avec sa tête mieux vaut très bien vérifier! On ne sait jamais... » Ils ont souri et la fouilleuse chercha de plus belle! Elle cherche dans les replis de mon pantalon, dans les doublures de mon tee shirt sans bien sûr rien trouver. Elle fouilla alors dans mon soutif et chercha en passant ses mains sur ma culotte! Les gendarmes n'exprimèrent aucune surprise face à ce geste mais ce ne fut pas mon cas!!!!!!
Je dis à l'intention de tous « C'est bon arrêtez, je n'ai rien!!!! »
La fouilleuse s'est arrêtée, j'ai remis mon sweat et mon fouilleur de sac m'a dit: « tu peux ranger! ».
J'ai rebouché mes stylos et remis le tout dans mon sac et suis repartie en classe après avoir donner le nom du village où j'habite.
De retour en classe, la prof m'a demandé ce qu'ils ont fait. Je lui ai répondu qu'ils nous avaient fouillé. Je me suis assise et j'ai eu du mal à me consacrer au math!

Tout ça c'est ce que j'ai vécu mais mon amie dans la classe à coté m'a aussi raconté.
Le chien s'est acharné sur son sac à elle et elle a eu le droit au même traitement. Mais ses affaires sentaient, alors ils l'ont carrément emmené à l'internat où nous dormons. Le chien s'est acharné sur toutes ses affaires m'a t-elle dit. Le gendarme lui a demandé si elle connaissait des fumeurs de hash, vue qu'ils ne trouvaient rien. Elle leur a simplement répondu que le WE dernier elle a assisté à un concert!
Le CPE l'a ramené ensuite au collège et elle m'a raconté.

Après les cours, le principal a rassemblé tous les élèves et nous a dit que bientôt allait avoir lieu une prévention pour tout le monde.
Une prévention? Avec des chiens? Armés comme aujourd'hui?

Une élève de 4ème nous a dit que le chien s'est jeté sur son sac car il y avait à manger dedans. Elle a eu très peur.
Les profs ne nous en ont pas reparlé....Ils avaient l'air aussi surpris que nous!
Tous les élèves de 3ème & 4ème ont du se poser la même question: Que se passe t il?
Et tous les 6ème et 5ème aussi même si ils n'ont pas été directement concernés! »
Zoé.D.R

Qu'en pensez vous? Que dois je faire ? Qui parle de violence ?
Il me semble important d’écrire ici que ni le principal, ni quiconque du collège a juger important de communiquer sur ces faits( ???). Nous sommes lundi 24/11/2008, il est 15h30 et si Zoé ne m’en avait pas parlé, je n’en saurais rien. Combien de parents sont au courant ?
Les enfants « victimes » -et je pèse ce mot- de ces actes sont en 4ème et 3ème.
Ils ont donc entre 12 et 14 ans ! Je n’en reviens pas….


Frédéric

28/11/2008

tiens, ça n'a même pas attendu deux jours...

Michel Sappin, le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur a assisté mercredi, dans les locaux du Samu social de Marseille, à la mise en place du plan grand froid pour l'accueil des sans domiciles fixes.

Le sujet était d'actualité ce jour-là après la mort de SDF dans le bois de Vincennes et les déclarations de la ministre du Logement. Michel Sappin, lui, a échangé avec les associations marseillaises qui travaillent quotidiennement avec les sans-abri.

A une question qui lui était posée concernant les conditions d'accueil des personnes sans domicile fixe ET sans-papiers, notamment les mères avec enfants, Michel Sappin a répondu qu'il existait pour ce public "les centres de rétention". Avant de se rattraper en assurant qu'il s'agissait là d'une "boutade".

"Ils seront bien au chaud au centre de rétention…"

La "boutade" arrivait à la fin d'une conférence de presse à laquelle Rue89 n'a pas assisté mais plusieurs témoignages ont confirmé les propos du préfet et certaines personnes présentes nous ont avoué avoir été choquées par leur teneur.

D'autres parmi les responsables associatifs que nous avons interrogés ont préféré minimiser l'affaire, visiblement gênés aux entournures. L'un d'eux témoigne:

"Il n'empêche, c'est incroyable que le premier représentant de l'Etat dans cette ville tienne des propos pareils! En somme, ce qu'il dit, c'est: les SDF sans-papiers seront bien au chaud au centre de rétention..."


vous vous rappellez quand dati parlait du ministére de la carchérisation... comme c'était drole, avant qu'elle n'y soit vraiment...


j'adore l'humour de droite, il est extrême...

27/11/2008

un cran dans le bourrin ou un pas de plus vers les froids, mon vieux freddy...



encore un pas de plus...
le grand mouvement pour la mise à la niche collective commence...
et comme à l'habitude, la réaction se teste au plus bas de l'échelle, il sera toujours temps de remonter...

la police qui va bientôt fusionner avec les forces de gendarmerie, ou plutôt le contraire, les forces de gendarmerie, après qu'elles auront étés dissoutes dans la police; vont être employées à rentrer au bercail des miséreux, les sans abris qui couchent dehors, par l'exercice de la force si besoin est...

après l'usage de la force sur les étrangers, sans que pour l'essentiel, la population ne s'en émeuve, un cran supplémentaire est franchi : il est temps de passer à l'usage de la force sur les populations autochtones les moins susceptibles de se défendre...
la réquisition des corps par la force, plutôt que celle des logements...

on ne gouverne pas avec des bons sentiments, parait il, mais on peut faire beaucoup de dégâts en leur nom...
et comme la crise fait chier la moitié des citoyens dans leur froc face au chômage qui profile son long museau aigre, la manœuvre a toutes les chances de réussir, à moins que nous ne prenions conscience de ce qu'elle est en réalité...

freddy va encore dire que c'est ma parano, mais à la question : "où ça commence ? tu crois vraiment que ça commence au moment où on fourre cent mille personnes dans un stade, ou bien avant? et où? ou plutôt quand?...", freddy n'a pas de réponse...même pas de questions, non plus... il n'a que le silence...
d'un autre coté, freddy s'étonne que je puisse attacher mes cheveux au boulot, sans crainte de la réaction de mon patron...
vous avouerez que c'est quand même plus facile à attacher que les idées...


un franc dans le nourrain...

Coût estimé d'une reconduite à la frontière : 20.970 euros par personne reconduite.

25 000 expulsions suspendues, voilà, 524 millions vite gagnés...

21/11/2008

mariage forcé...

trouvé, chez maitre eolas...


"Le bilan est donc simple : deux années de procédure et de frais d'avocat et d'avoué pour rien, retour à la case départ avec deux époux qui sont remariés contre leur gré à tous deux, alors qu'ils n'ont plus la moindre parcelle d'intention matrimoniale. Bref, la République a remis le mariage forcé au goût du jour, au nom du respect des femmes, félicitations.

Ils vont donc pouvoir faire la procédure de divorce qui va satisfaire tous les tartuffes, puisque les raisons du divorce, que tout le monde connaît, ne seront pas évoquées.

Tout est perdu, sauf la pudeur.

Champagne."

18/11/2008

le diable est partout...

je cherchais sur internet, les prestations diverses et variées de M GRODIDIER, député, maire UMP, et je tombe sur ça...

le sieur GRODIDIER, incommodé par les étrangers dès lors qu'ils se marient dans sa mairie (pour faire des enfants, peut être même ...) ou villipandant les chanteurs de rap, qui appellent par leur textes, on le sait trop bien, à l'émeute ethnique; semble pris d'une compassion sans borne pour les mamifères marins, au point qu'il s'interoge à l'assemblée sur l'utilisation des sacs plastiques...

et voilà qu'on lui réponds avec le plus grand sérieux du monde...
sauf que la réponse contient un méchant bug, une baisse de 666%, ça me parait diabolique, sinon impossible...
M. François Grosdidier attire l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de l'écologie sur le gaspillage économique et l'absurdité écologique que constitue l'utilisation systématique de sacs en matière plastique par les consommateurs de grands et petits commerces. Ainsi les Français consomment 18 milliards de sacs plastiques par an et cette consommation s'accroît inexorablement de 1 % par an. Ils sont en moyenne utilisés vingt minutes. Ou bien ils sont incinérés, produisant des dioxines et des gaz à effet de serre, ou bien ils sont abandonnés et mettent plusieurs siècles à se dégrader. Ils sont un facteur important de pollution des milieux naturels terrestres et maritimes. Les plages en sont souillées et, au large, mammifères et reptiles marins meurent en les absorbant en lieu et place des méduses qui constituent leur alimentation. Ces sacs ne sont pourtant pas indispensables. Plusieurs chaînes de grande distribution les ont bannis de leurs hypermarchés, sans que ses clients ne s'en détournent. Souhaitable, la suppression totale des sacs plastiques dans la grande distribution est donc possible. Il souhaite savoir quelle initiative législative ou réglementaire le gouvernement compte prendre pour faire cesser la distribution gratuite et effrénée de sacs plastiques par les commerces.
Texte de la REPONSE : Chacun peut constater qu'une trop large distribution des sacs à usage unique est synonyme de gaspillage des ressources naturelles. Par ailleurs, l'abandon de ces sacs dans le milieu naturel, résultant d'actes d'incivisme réprimés par la réglementation, représente une pollution visuelle, mais aussi un risque pour la faune. L'un des chantiers emblématiques, mis en place dans le cadre du Plan national de prévention de la production de déchets, rendu public le 11 février 2004, concerne les sacs de caisse. Afin de faciliter l'appropriation de la problématique par tous les acteurs concernés, des actions ont été développées dans un cadre non contraignant. Des initiatives ont été prises par différents acteurs et ce chantier-phare connaît un franc succès. Ainsi, l'objectif de diminution de moitié des quantités de sacs de caisse distribuées en 2006 par rapport au niveau de 2003, fixé par le ministère de l'écologie suite aux travaux d'un groupe de travail dédié, a été largement dépassé. Les chiffres 2006 font état d'une diminution de 666 % des quantités de sacs de caisse distribués par rapport à 2003. Cette forte réduction a pu être réalisée notamment grâce à l'emploi de sacs réutilisables. Comme le démontre une analyse du cycle de vie des différentes alternatives aux sacs de caisse à usage unique, il convient en effet de toujours privilégier le réutilisable par rapport au jetable. Ainsi, il apparaît qu'il n'est pas toujours nécessaire d'engager une démarche contraignante. Les démarches volontaires bien acceptées sont souvent plus efficaces que la mise en place d'un dispositif répressif.

si vous ne me croyez pas, allez vérifier, là...

14/11/2008

faut le taire...

vaut pouvoir mieux lire ça que d'être analphabète...
mais il y à tout de même des limites au goût de la lecture...

et appeler voltaire à la rescousse, c'est franchement nauséeux...

07/11/2008

tués pour rien...


à bas la guerre...
11 novembre ou pas,
foutons tout ça
par terre...

06/11/2008

humour noir...

les ricains ont un président noir...
c'est quand même le signe que l'avenir est sombre...

30/10/2008

géant vert...

sur les genoux, tout seul, poum, par terre!...
malgré les milliards dont on charge les fourneaux, le monde capitaliste continue de tomber...
tout seul, sans ennemi et il continue jusque là à nous dire qu'un monde social ne peut exister...

il le faudra bien, pourtant, sauf à vouloir revenir sur un monde féodal, fermé sur lui même, clos, hostile aux autres, en route vers la guerre...

nous avions encore le choix, hier (il y a un peu plus d'un an) de revenir à une vision du monde décroissante (le graphe du billet de dessous nous montre qu'en matière de finance, il y avait de la marge décroissante), plutôt que récessionniste...on nous disait alors que la décroissance, c'était le retour à la bougie, aux archaïsmes, à l'antiquité; vous allez bientôt avoir le loisir de voir vers quoi vous mènera un monde en quête absolue de croissance... vous saurez qui vous a menti...

mais vous oublierez en quête d'un sauveur miraculeux et charismatique et vous trouverez toujours sur votre route un petit caporal pour faire son pronunciamiento...
d'autant plus que le petit caporal est déjà là, qu'il n'a pas peur de faire promouvoir des lois d'exception; il ne lui reste plus qu'à faire bruler les livres...
une chose est certaine, c'est qu'il y aura toujours des exécuteurs des basses œuvres pour se mettre au service des causes les plus nauséeuses; en d'autres termes, les bras pour manipuler les bâtons ne vont pas manquer, mais vous serez encore la cible...

en attendant on n'en finit pas d'entendre tomber le géant mort...

29/10/2008

pro excès...

"je préfère l'excès de caricature à l'absence de caricature..."
la preuve que non, à moins que ce jugement ne s'applique qu'au coran...
les juges, eux ont de la mémoire, à moins qu'ils ne soient qu'en colère...
ce qui n'est guère mieux pour un juge que d'être sans vergogne pour un président...

vertige haineux...

on n'a que le crach de 29 comme élément de vrai comparaison sur ce que peut devenir cette crise financière...
et partout on entend dire: "on peut pas comparer, le contexte est différent"...

j'ai comme une petite impression en voyant le graphe publié dans le monde diplomatique de novembre, qu'il vaudrait mieux dire dorénavant :
- sans comparaison !..


double cliquez sur l'image pour l'agrandir, c'est instructif...

28/10/2008

la coupe est pleine pour ne pas dire "ras la ciste"...

faut se rendre à l'évidence, en lisant les commentaires de cet article, on se rend bien compte qu'il n'y a pas que la police qui n'aime pas les arabes...

c'est peut être bien également pour celà que certains peuvent écrire sans trop se tromper que : "les jeunes de banlieues n'aiment pas la france"...
moi non plus je ne l'aime pas, cette france...

qu'est ce "tion"? parceque révolu, je sais...

quand je vois le grand nigaud gesticulant du site des jeunes UMP, "les révolutionnaires", je me demande quand même où ils arrivent à trouver les têtes d'affiche assez cons pour faire ça...
ils ont un élevage ou quoi ?...

à moins que le statut d'intermittent du spectacle oblige à faire n'importe quoi...

oui, je sais, mais je suis bien obligé de chercher les solutions les plus saugrenues, je ne peux pas croire que sœur emmanuelle ai pu se réincarner aussi vite...

moi aussi je rève qu'il évoluent...

putain, on a changé aussi le dictionnaire pendant la nuit du changement d'heure, c'est pas possible...
je comprends plus rien de ce qui se dit...

remarque, une révolution c'est un tour complet sur soi même, c'est normal alors que j'ai grande envie de serrer les fesses...

27/10/2008

exités...

quand j'étais plus jeune, les frères bogdanov présentaient à la télévision publique une émission intitulée "temps X", la présence de ce X à la place du t règlementaire quand on parle de la variable temps, me posait question...
voilà que les deux frères escrocs reviennent aux lueurs de l'étrange lucarne avec une émission encore plus kitch que temps X, et qui se veut scientifique cette fois (d'où son nom) : science X ...

ils ont bien fait, j'ai enfin compris pourquoi le X, c'est comme pour les films affublés du même indice, pour montrer aux téléspectateurs le caractère purement pornographique des images qui vont être montrées; racoleuses au possible, démagogiques et clairement pipeautées...

26/10/2008

coi...

à la question d'une journaliste :
- quel rôle pensez vous jouer dans l'histoire ?
G W BUSH répond en souriant de la naïveté de la question :
- dans l'histoire ? aucun, à ce moment là : dans l'histoire, nous serons tous morts depuis longtemps...

je ne suis même pas sur qu'on puisse en rire...

décomposition...

le grenelle de l'environnement, tout compte fait était beaucoup plus écologique qu'il n'y paraissait à première vue...

à peine plus d'un an après, tout a disparu : il était donc biodégradable...

24/10/2008

spectre oculaire...

Dieudonné: "Le baptème de mon fils était une performance artistique"

Il répond une interview à l’hebdo belge satirique le Pan: « Je cherchais (…) une idée pour faire connaître mon spectacle. (…) Ala naissance de mon fils, sa marraine, une personne très catholique, me dit : "Tu devrais le faire baptiser" (…) Je crois que l’idée de participer à cette provocation, plus artistique que politique, a motivé Le Pen. Faire réagir des médias en leur donnant un beefsteak piégé… »

voilà bien une curieuse idée de ce peut être un a-PEN-ing...

vanity, tout est vanity...

et vous, si vous deviez faire passer un pistolet, vous feriez comment ?...

pouffons, pouffons, heureux bouffons...

bien sur, on peut pas trouver moins glauque...
(les initiés apprécieront)...

peaux lisses contre peau noires...

et après on s'étonnera qu'ils soient à CRAN...

faites attention, citoyens, il existe une race d'hommes pour lesquels nous sommes tous des "négros"...

23/10/2008

troisième pouvoir...


si j'ai bien compris, et à l'encontre de leur ministre de tutelle,qui la voudrait moins juste, les juges souhaitent une justice moins juste...

lu chez eolas

(Sur l'air du “Déserteur ”)

Madame le Garde des Sceaux,
Je vous fais cette lettre
que vous lirez peut-être,
je veux vous dire deux mots.

Je viens de recevoir
la dernière circulaire
sur la carte judiciaire
et j’ai perdu l’espoir.

Madame le Garde des Sceaux,
je ne veux plus me taire,
d’être juge, je suis fier,
mais maintenant c’en est trop.

C’est pas pour vous fâcher
il faut que je vous dise
ma décision est prise
je vais tout raconter.

Depuis que je fais ce métier
j’en ai vu des réformes
et pas toujours les bonnes
je les ai appliquées.

Au service de la loi
Avec humilité,
avec humanité,
au service du droit.

Vous étiez magistrat,
avez-vous donc tout oublié ?
Le pouvoir vous a changé ?
Essayez de vous rappeler.

Un jour trop cléments
le lendemain trop sévères,
Pour vous un seul repère,
la presse et l’air du temps.

Paris-Match, Closer, Gala,
Sous toutes les coutures,
Êtes-vous vraiment sure,
que votre place est bien là ?

Justice et politique
ne font pas bon ménage,
Mais qui donc est victime,
Ce sont les justiciables !

Je suis magistrat,
Madame le Garde des Sceaux,
Pas votre ennemi juré,
mais je suis écœuré...

Si vous me poursuivez,
appelez vos gendarmes,
mais rappelez-vous Madame,
Nous sommes des milliers.

21/10/2008

futur...


cette fois c'est sur, les bogdanof sont allés trop loin...

mon dieu !..

Sœur Emmanuelle «n'aimait pas» Carla Bruni-Sarkozy

Lors de sa dernière interview, accordée à Bel-RTL (la RTL belge), Sœur Emmanuelle confiait qu'elle n'«aimait pas» Carla Bruni. Et affichait sa préférence pour Cécilia...


c'est bien la preuve que la proximité de la porte du paradis n'empêche pas de dire des conneries...

17/10/2008

os court, il n'y a plus rien à ronger...

je viens de vivre un truc inouï :

à cause de la crise financière et du déficit du crédit qui s'est mis en place depuis environ six mois, l'entreprise dans laquelle je bosse (liée à l'aménagement et à la propriété foncière) connait un net recul d'activité, les ventes de terrain et les projets ne sortant plus...

en conséquence, après avoir un peu tiré la langue, les associés ont décidé au vu des prévisions du bilan de fin d'année, de dégraisser un peu la marmite : bilan sur un effectif global d'une cinquantaine de personnes, trois licenciements pour cause économique, suppression des tickets restaurants, du plan épargne entreprise (PEE)...

le plan épargne entreprise autant dire que j'en ai rien à foutre, j'avais déjà eu l'occasion de les renvoyer à leurs dossiers, quand ils m'ont proposé d'abonder, en leur disant que ma conception du monde me l'interdisait...

les tickets restaurants, ceux qui me connaissent savent que j'ai toujours considéré ça comme de la monnaie de singe...

pour les trois licenciements, j'ai trouvé que vu l'ampleur de la catastrophe qui arrive (telle que je me l'imagine), c'était toujours un petit répit de gagné, sans pour autant bondir de joie...

et bien , de manière quasi unanime, les employés de ma boite, à de rares exceptions près, se sont énervés en disant que les mesures n'étaient pas suffisantes pour gérer le long terme (je traduits) et que les patrons s'ils étaient responsables devaient en foutre plus à la porte...

au secours, expliquez moi donc ça, si vous le pouvez, c'est au delà de ce que je peux comprendre... même imaginer...

à ce train là, le fond risque d'être très loin, très profond, si c'est les patrons qui doivent prôner la modération dans le dégraissage...
à moins que le fait d'avoir un PEE rende con...


supprimons agréablement la faim dans le monde..

"Pour régler le problème de la surpopulation, il faut rendre  l'orgasme féminin indispensable à la reproduction"

didier super

14/10/2008

baudruches...

délit d'opinion...


allez, les gars, vous inquiétez pas comme ça...

320 milliards c'est pas très grave...
ça se trouve facilement, ça se rembourse aussi facilement...
il existe un outil financier pour ça...
son nom?...

inflation

grâce à lui, il te faut une brouette de billets pour aller chercher le pain et il a un effet d'érosion sur la monnaie, considérable...
il te transforme 320 milliards en la valeur de dix années de smig, comme qui rigole (voyez en allemagne en 33). le timbre à 2 millions...pas mal!..

l'avantage : si t'es sur endetté, ta dette fond comme beurre au soleil, les emprunts anciens te coutent peanuts...he oui, tu rembourse des montants et pas des valeurs constantes...

tu rembourse une maison avec un timbre, amusant, non...
c'est comme celà que se soldent les très grandes crises financières, du moins la seule qu'on ait connu...
bon, après faut faire une bonne guerre : c'est le problème...
et puis t'a maison qui t'as couté un timbre, elle est détruite (à cause de la guerre) et il te faut bien reprendre un crédit pour la reconstruire...c'est dommage qu'il faille faire la guerre après, mais que voulez vous il faut bien réenrichir les anciens riches en produisant, des chars, des obus, un pays à reconstruire...

c'est quand même bien foutu, l'économie, quand on y pense...

mort du crédit...

bientôt la toussaint, on nous y servira certainement la crise en thème...

comment prendre les gants pour des cons...


ayez confiance...
nous sommes cinq serres...

escamoteurs...

et la vidéo l'explique tellement mieux...

prenez un siège, la vidéo est longue et fait un peu peur...

comment on nous traite (à 90 jours)...



en fait, la crise n'existe pas, elle est le fruit d'une raréfaction des liquidités due au manque de confiance des opérateurs financiers sur la valeur des titres avec lesquels ils jouent...

chaque euro (dollar ou pépette) mis en dépôt dans une banque est engagé dans une spirale de prêts successifs, engagé à minima pour 12 euros prêtés (encore que ce rapport soit considéré comme une marque de gestion prudente)...
et l'actif de la banque est comptabilisé à 13 (12 +1)...
autant dire que quand le remboursement des 12 prêtés s'assèche, c'est dur pour le petit euro réel de lutter armé de ses seuls petits poings...
d'autant que les 12, pensés comme de l'actif on fait des petits entre temps et se sont multipliés par douze eux aussi... ainsi s'écroule la grande pyramide (quelle idée aussi de bâtir une pyramide sur son plus petit bout...
j'avais essayé d'expliquer ça en aout 2007, ici même...

13/10/2008

pendeloques...

qu'ils arrêtent de nous casser les couilles et qu'on leur coupe les bourses (mondiales)...

y a pas de quoi rire...

jour d'humour...

j'ai pensé à une stratégie pour gagner : kho-lanta...
oui, vous avez bien lu, l'émission où l'on vous présente des aventuriers qui crèvent la dalle avachis comme des merdes sur le sable...

en gros, il y a seize pelos, divisés en deux équipes de huit (les jaunes et les rouges)...

le principe de la stratégie est d'une simplicité enfantine et c'est pourquoi tous ceux à qui j'en ai parlé m'ont dit qu'elle ne pouvait pas fonctionner...

pour avoir la majorité de blocage sur un vote à seize personnes divisées en deux équipes, il suffit d'être quatre...
cool, c'est justement le nombre de candidats à la course d'orientation, avant l'épreuve des poteaux...

le premier gagne 100 000 euros, le second 10 000 euros, et les autres le droit à être reconnus...
total, il y a 110 000 euros à gagner... partagé en quatre, ça fait 27 500 euros...
et quatre chances sur quatre d'en être...
statistiquement parlant, les chances supplémentaires sont considérables, par rapport à 1/16...

le truc c'est de trouver dès le début du jeu, trois candidats dans son équipe (plutôt dans les moyens ou sachant qu'ils n'iront pas bien loin) et de passer un deal de confiance sans faille avec eux sachant que le montant de ce deal rapporte 27 500 euros...
à partir de là plus besoin de se casser le fion, peu importe de gagner ou quoi ou caisse...
à la première élimination, tu te sert de ta majorité de blocage pour virer le moins apprécié, l'air de rien tu fais le strict minimum en dehors de l'organisation du camp, pour être confortable : à tous les conseils tu es protégé par tes trois potes qui lorgnent sur la cagnotte... tu t'arranges pour garder le plus fort de l'équipe assez longtemps pour qu'il t'aide à dégarnir l'équipe adverse et tu le" houste" avant la réunification...

à la réunification tu arrive avec tes trois petits copains, et tu n'en branle pas plus, tu as toujours cette putain de bonne planque derrière ta majorité de blocage, le seul petit détail, il faut arriver à foutre dehors les plus forts le plus vite possible (y en toujours un qu'aura pas l'immunité au bon moment et comme c'est toit et tes poteaux qui virez qui vous voulez)...

la combine consiste à rester quatre ensemble au moment de la course d'orientation, avec un peu de finesse, c'est jouable, d'autant que tu te sera chouchouté au camp et jamais fatigué dans les épreuves avant...

peu importe qui est sélectionné à la course d'orientation, c'est qq de chez toi, tion équipe solidaire...
tu tires à la courte parmi les trois restants pour savoir qui gagne les poteaux et qui il sélectionera pour le vote final, les deux perdants se jettent à l'eau à la deuxième minute, les poteaux sont pliès sans se fatiguer en 120 secondes...

le gagnant de toute manière est obligé de choisir un colistier qui peur être désigné par le jury final, il peut pas faire marron les autres du fait qu'ils se sont jetés à l'eau intentionellement et tu peux le discréditer au moment du vote, sur sa duplicité...
peu importe qui est retenu puisque t'arrives à la fin avec un des quatres et qu'il te reste plus qu'a partager honnétement le magot...

et bien, figurez vous que c'est là que tout bascule, ce plan imparable sur le papier ne tiens que par la fidélité à un engagement de départ et à la volonté de rester solidaire jusqu'au dernier moment; en clair d'échapper pour le premier et le second à la tentation : de tout garder et allez chier!..

quand on vous dit que l'homme est con...
d'autant que ça t'aurais une gueule, à TF1 de leur expliquer par l'exemple, en pleine émmission, qu'il y a plus à gagner en collaborant qu'en tirant chacun pour sa peau, qu'en plus il n'y a pas a se casser le cul plus que nécessaire, et les quatre gaziers qui feraient ça resteraient surement dans les annales de la télé un moment...



l'ami lisse...

après les rafles...
après les ministres à vichy...
après la négation de l'histoire...

on aurait pu croire qu'il ne manquait que la milice... même pas...

12/10/2008

rebondis bourgeois...

je ne peux pas arriver à m'ôter de la tête que les tenants du libéralisme tel qu'il se pratique actuellement ne croient en la prégnance de l'état que dès lors qu'il s'agit de taper sur la tête des moins riches ou de leur faire le fond des poches...

de leur ôter toute forme et tout moyen de solidarité réciproque, en quelque sorte et par rebond...

des ponts pas des murs...

en matière de politique d'immigration, ce qui s'applique actuellement, c'est une politique du murs, sans intention de bâtir de ponts...

tout simplement parce que les ponts sont plus compliqués à édifier que les murs...
qu'ils demandent d'être planifiés et pas simplement mis en plan...
parce qu'aussi les murs servent à y enfermer ceux qui sont à l'intérieur (ils ont cet énorme avantage de fonctionner dans les deux sens), bien qu'on nous contraigne à ne regarder que dans un seul...

étonnant de constater que la même idéologie qui s'est appliquée à les faire tomber, s'attèle avec le même zèle à les reconstruire ailleurs... il n'y a en somme que la misère qui ait changé de camp... les murs d'aujourd'hui contraignent la misére générée par la gestion libérale du monde...

j'ai pas de conseil à donner aux africains, mais si j'étais eux, au lieu de m'acharner à vouloir passer à tout prix, je mettrais un pouvoir communiste en place en afrique ( même si ça peut paraitre bénin) et les portes de l'occident leur seraient alors grandes ouvertes...

raccourci...


sur la pancarte :
un militaire externalisé: c'est un mercenaire
un civil de la défense externalisé : c'est un sans emploi


outre le fait que c'est faux, parce que "l'externalisé" n'est pas sans emploi et que ça fait un partout, le statut en moins favorable...
on peut par un saisissant raccourci exprimer l'idée sous tendue de la manière suivante :

- y a rien de mieux qu'une guerre pour lutter contr'el chômage, mâme martin...

des conneries pareilles, à l'orée de la crise financière qui nous dégringole sur le nez, ça peut quand même mener loin, faut le savoir à l'avance... et le sourire de la grosse mémère FOsienne il risque de passer à la gomme à effacer les sourires...

je suis railleur, je vois le mal partout, même en vélo...

le vélo électrique...
ben, moi, je reste septique...

outre que le sur poids existe bel et bien et qu'il te faut pédaler plus pour le compenser (même si certain te diront que l'assistance électrique y supplée, ce qui reviens à dire que le mouvement perpétuel à été découvert...), l'énergie récupérée par les freinages (dans ce cas je suppose que le générateur fait office de frein magnétique [système telma], sinon, je vois pas...) est (sauf en pays de descente et uniquement de descente) marginale; en effet, il me semble qu'en vélo (du simple fait de la déperdition d'énergie due aux pièces en mouvement), on passe plus de temps à pédaler qu'à freiner...

donc, je m'interroge pour savoir si cet artifice là, n'est pas fait pour faire passer (en douce), la pilule amère des piles dont la recharge principale se fait à l'électricité nucléaire ou thermique (sale, donc)...

les esprits chagrins me diront qu'il existe des trajets tout en descente, certes, mais le soir pour rentrer chez toi t'es bien obligé de remonter un peu, non? à moins de rentrer en bus ou en train; et là, la nécessité de recharger les piles, à plus forte raison de les transporter sur le vélo, voilou...

quand à faire basculer la terre pour assurer la descente au retour, c'est Eisher ...

d'un autre coté s'il faut ça pour mettre au vélo les bobos en 4x4 ...
y a pas de mal a couillonner les cons...

"Pratique, non ? Surtout si l’on considère qu’une telle approche permet d’envisager de motoriser pratiquement n’importe quel vélo existant." c'est comme cette blague de penser que les fourches seront assez larges pour y faire passer l'engin de la photo, alors que t'as déjà du mal dans certains cas à adapter un plateau supplémentaire à ton dérailleur...

la route est longue...



je suis quand même pas rentré chez moi...

ça marche plutôt mal...

ça peut aider...

contre les bannières de pub :
bannissons la pub...


ça marche plutôt bien...

11/10/2008

répétiteurs...

même les meilleurs d'entre nous perdent un peu la tête devant les mathématiques, surtout quand la science de l'embrouille consiste à rendre tout compliqué...

lisez donc l'article suivant et revenez ici lire la suite...

l'indice VIX donne donc tendanciellement, à trente jours, la fluctuation de l'indice boursier...
et cet outil éprouvé est considéré comme performant, courbes à l'appui...

que recouvre t'il, cet indice : l'analyse du marché à option (pronostics sur des prévisions de hausse ou de baisse; à trente jours).
et sur ce marché à option, qui y joue ?
les mêmes qui jouent sur les valeurs, ou du moins tous ceux dont les mouvements sont significatifs (assez pour qu'ils soient majoritaires et représentatifs en terme de tendance)...

en gros les prédicteurs sont eux même les acteurs de la prédiction, outre le décalage de temps (trois mois et les évènements qui s'y insinuent)...
une fois ces préalables assimilés, on comprendra aisément que l'indice VIX suive en négatif (en miroir) la courbe de l'indice boursier... le contraire serait même plutôt alarmant...
celà n'en fait toutefois pas un indice d'une si profonde et définitive analyse prédictive, puisque il n'est somme toute que trois mois après, la vérification d'un état que l'analyse de l'indice boursier permet aussi de conclure (il suffit d'en changer le signe)...
or, puisqu'on peut en comparer la courbe à celle de l'indice VIX, c'est que cette analyse existe déjà, pourquoi, alors la rendre redondante, sinon à vouloir compliquer les choses et paraitre les justifier par la science la plus dure, alors qu'il ne s'agit en fait que d'une vulgaire tautologie (et non pas totologie, quoi que, à y bien penser...)...

énorme...

on croit toujours, que le seuil d'exposition fixé par la norme est le seuil de dangerosité, au delà duquel le produit deviens dangereux...
pas du tout, c'est simplement le seuil acceptable déterminé par la norme, au delà duquel la loi interdit d'aller...

mais pour fixer ce seuil, comment fait on ?
ou plutôt comment est faite la norme ?

et bien au moment d'écrire une norme, les meilleurs spécialistes de la question sont réunis en temps qu'experts pour définir les obligations auxquelles celle ci contraindra...
et à votre avis, qui sont les meilleurs experts d'un sujet ou d'une production, avant que ceux ci fasse l'objet d'une norme ?..
et bien oui, ceux qui fabrique ce produit ou utilise et mettent en oeuvre le sujet concerné par la norme...

la norme est faite par ceux qui y seront contraints, à la différence près qu'une norme ne peut contrevenir à une norme existante...

c'est vous dire , une fois celle ci établie, jusqu'où peuvent aller ceux qui ne s'y soumettent pas...

lu dans un vieil article de courrier international...

A en juger par leur comportement de ces derniers temps, les maisons de disques ont l'air
de penser que, pour assurer la survie de la civilisation, il faut terroriser des internautes adeptes des réseaux d'échange de musique en ligne. Traîner ses clients devant les tribunaux ne produit
pas un modèle de développement viable pour une entreprise, comme le confirme ce petit rappel historique. Jusqu'aux inventions de Thomas Edison, la plus grande part de l'activité culturelle
humaine n'était pas assimilée à une propriété intellectuelle. Au XIX siècle, le droit d'auteur américain, en tant que moyen de protéger les éditeurs sous prétexte de protéger les auteurs, ne concernait que les oeuvres imprimées. La révolution d'Edison a rendu possible, l'enregistrement de musique et d'images et du même coup l'application de la notion de "propriété" aux formes de
création incorporelles incarnées par les nouveaux supports physiques qu'étaient le disque phonographique et le film cinématographique. Mais la notion de "propriété" telle qu'elle
avait cours à l'ère d'Edison n'est plus valable à l'ère d'Internet. Car le consensus moral sur lequel reposait l'idée de propriété intellectuelle a volé en éclats, remettant à l'ordre du jour une ancienne critique formulée contre cette propriété. La qualité parfaite de la copie numérique et le coût nul de la distribution électronique obligent à se poser à nouveau la question suivante :
s'il est possible de fournir à tous les habitants de la planète un exemplaire de n'importe quelle oeuvre numérique esthétique ou utilitaire - à un prix équivalent à celui du premier exemplaire, en quoi est-ce moral de priver qui que ce soit de quoi que ce soit? Si nous pouvions multiplier les
pains et les poissons en appuyant sur un bouton, il serait immoral de faire payer la nourriture plus cher que ce que certains ont les moyens de débourser. Pour se maintenir en place, les intermédiaires cherchent à nous faire croire que, sans leur combat pour faire cesser l'échange
de fichiers, les artistes mourraient de faim. En réalité, les musiciens et autres artistes se portaient très bien avant qu'Edison ne transforme la culture en biens de consommation. Le public et les artistes n'ont plus besoin des intermédiaires. Ces derniers ont perdu leur raison
d'être, et ils cherchent à se maintenir par la force. Mais ça ne marchera pas.
Ils peuvent intenter un procès à quelques personnes de temps en temps, mais ils ne pourront pas attaquer en justice tout le monde en permanence.

Eben MogIen

-

le monde semeur...


pardon, fauché...
mais toujours marteau...


le reste des dessins ici...

10/10/2008

les perles aux cochons...

pendant la crise, les conneries continuent...

jugeons nous mêmes...

quelques petites statistiques sur la justice et son budget de fonctionnement...

vous en concluez quoi, vous?


moi je dis que la Norvège est un pays riche,
et si je voulais être méchant : que même en matière de justice, c'est après la France, chez les grecs qu'on se fait le mieux enculer, à moins que les juges y soient très mal rémunérés...

lése poires...

je ne sais pas très bien comment le présenter, ni si le raisonnement est valide...
mais je vais essayer : la crise financière pourrait être la dernière entourloupe du monde financier...
la spéculation tenterais de faire glisser le secteur à risque propre à la bourse ou aux mécanismes de marché, vers une sécurité de l'investissement par le cautionnement de l'état...

le rachat par l'état des dettes du capitalisme, même par capitalisation (nationalisation), ne serait que le moyen d'augmenter le volume des lignes d'emprunt des dit états, placements consolidés et sans risques pour les financiers puisque par définition, un état ne peut être mis en faillite...

la consolidation par les fonds propres de l'état (même virtuels, puisque les états et les banques centrales n'injectent pas réellement ces fonds, mais ouvrent des lignes de crédit à hauteur des sommes requises) permettant en réalité le transfert de risque et assurant la garantie de revenus financiers (rendements des prêts obligataires) surs...

le risque d'emballement de la crise fiduciaire (contagion à la masse monétaire réelle) risque d'entrainer le même genre de mesure que celles prises en argentine pour enrayer la crise des liquidités et du crédit (dans les années 2000), soit la consignation des comptes et livrets de l'ensemble de la population (qualifié du plus gros hold-up mondial)...

il me semble plus "logique", d'opérer cette consignation sur les vrais responsables de la crise...
en gelant tout simplement après inventaire des titres vérolés, l'ensemble des ventes et des cotations les concernant...
et d'obliger les détenteurs à les conserver le temps de la stabilisation, sur la base de leur valeur d'achat; ceux qui souhaiteraient s'en défaire pouvant les mettre en dépôt auprès de l'état sur la base d'une consignation à leur charge, sur le prix d'achat...
à charge pour eux le temps d'assumer les intérêts générés par leur titrisation...

en gros, pas de faillite autorisée, garantie sur les biens propres, sur les actifs et paiement du loyer de l'argent sur les sommes empruntées lors de l'achat... assumer ses actes, quoi, comme quand le clampain moyen fait une ligne de découvert à la banque... (appliquer le précepte selon lequel : pas vendu, pas perdu)...

mais c'est pas dans un pays socialiste qu'on risque de voir ça...

09/10/2008

un mars et ça repart...

quand tu penses que des expériences scientifiques existent pour "terraformer" des environnements hostiles et qu'à coté de ça, on déploie toute notre énergie à détruire le modèle original, il y a de quoi rire...

à défaut d'en pleurer, puisqu'il faut économiser l'eau...

et nous on les keynes parce que ce sont toutes des américaines...

y a plus de valeurs... fiduciaires!..

http://www.arhv.lhivic.org/index.php/2008/10/06/833-trop-peu-trop-tard

fin de série...

depuis quelque temps, on peut voir fleurir sur nos ondes radios ou télévisées, ainsi que dans les journaux, des rubriques dépensez moins, sous le titre générique (ou assimilé) de : votre pouvoir d'achat; ces rubriques ont en commun qu'elles prétendent vous faire faire des économies lors de vos achats ou dans vos modes de consommation...

en résumé, pour augmenter votre pouvoir d'achat : dépensez moins...

bien sur, si je vous avais dit pour aller plus loin, faites des petit pas, vous auriez ri...
mais l'idée de faire des économies pour augmenter votre pouvoir d'achat vous semble cohérente...

c'est juste de la novlang qui dit : serrez vous la ceinture en guise de pouvoir d'achat...

07/10/2008

au pas de l'oie...

Alerte antifasciste : Sarkozy & Darcos suppriment l'Histoire-Géo du tronc commun des lycéens.

Bonjour,

Le Journal du dimanche d'aujourd'hui 5 octobre 2008 annonce « en exclusivité » l'incroyable programme pour les lycées, applicable dès la rentrée 2009. « En juin prochain, le lycée d'aujourd'hui aura vécu. »

« Poussé par l'Elysée », le ministre Darcos va annoncer officiellement très prochainement trois révolutions jamais vues :

1 - Une réduction importante des horaires en lycée : 27 heures hebdomadaires au lieu de 28 à 35 (Ne dites pas que c'est pour accompagner les suppressions de postes de profs, ça ferait de la peine à TF1.)

2 - Une formule compliquée d'options (« modules exploratoires » ou d' « accompagnement ») qui aura l'originalité d'être à rythme semestriel, soit deux demi-années scolaires au lieu d'une, et donc la fin du groupe classe comme facteur de socialisation et de solidarité. C'est selon le propre aveu de Darcos le « lycée à la carte ». Il ne fera pas bon pour un professeur de s'être montré exigeant et trop peu démagogique au premier semestre, s'il veut retrouver des élèves candidats au module du seconde semestre... Autant faire noter les profs tout de suite par les élèves et les payer selon les résultats.

3 – Et pour finir, cette nouvelle inouïe. La suppression pure et simple de l'histoire-géographie du « tronc commun » obligatoire en première et en terminale. Certes, ce sera aussi le cas des maths, mais ceux-ci n'en souffriront pas, restant matière dominante à sélection pour la filière Scientifique, hypocritement rebaptisée « dominante sciences » pour les futurs cadres de la société, tandis que la filière L deviendra « Humanité et arts ». (Au fait, pourquoi pas d's à « humanités » ? Une faute de frappe du Journal du Dimanche ? Mystère.)


Supprimer l'histoire géographie pour tous et toutes à partir de l'âge de 15 ans constitue une rupture majeure avec tous les siècles précédents d'humanisme scolaire, de l'Ancien régime jusqu'à nos jours.

Cette suppression pourrait permettre un jour à un gouvernement populiste et vichysto-compatible de...

... Célébrer Guy Môquet tout en faisant ignorer pourquoi est-il mort ;

... Réunir les ministres européens à Vichy (en novembre prochain ! Une première ! Une idée d'Hortefeu ! Les ministres européens en charge de... l'Immigration ! ) pour en finir enfin avec l'antifascisme culturel, avec le tabou vichyste et vichyssois, et faire oublier de quoi cette ville fut la capitale et le symbole ;

... Mieux faire admirer le colonialisme, le paternalisme et le cléricalisme d'antan tout en jetant pudiquement aux oubliettes des siècles de patients combats émancipateurs pour les droits humains, sociaux, démocratiques, féministes, etc ;

... Épargner aux sarkoboys l'apprentissage de tant de dates funestes et qui portent malheur : 1789, 1830, 1848, 1936, 1944, 1945...

... Esquiver trop de questions gênantes des géographes sur l'habitat humain, le climat, l'écologie, et le remodelage des paysages et de la planète par les flux financiers et mafieux ;

... Flatter les mémoires particulières et communautaristes pour mieux ruiner définitivement la culture historique commune, base de citoyenneté et du Vivre ensemble ;


Bref, il est quand même flatteur de comprendre que Sarkozy veut personnellement prendre soin de nos enfants.

Que, malgré tout, malgré l'intensif bourrage de crânes des médias aux ordres, Sarkozy nous trouve encore trop intelligents et cultivés, encore trop peu obscurantistes, encore trop peu oublieux des leçons de notre Histoire. Mais heureusement, Darcos est là.

06/10/2008

il est l'or de se réveiller...

un billion, que peut on faire avec un billion...

si on considère qu'une maison (comme les prêts subprime permettaient à leur occupants d'en acheter) coute la modique somme de, disons 300 000 dollars, ce qui est déjà acceptable.
un billion, c'est l'achat net de 3 000 000 de maisons...

quoi?, 3 millions de maisons à leur montant le plus élevé du marché, au moment où tout allait bien...

et c'est maintenant que cet argent est dépensé en pure perte, juste pour soutenir le système financier (même pas bancaire, financier...); alors qu'utilisé au moment du fléchissement des titres liés aux subprime, comme fonds de soutien aux acquéreurs, leur permettant de renégocier leur crédit subprime par le rachat pur et simple d'une partie de ce dernier qui devenait garanti par l'état, aurait permis au mieux de maintenir la valeur globale des titres (évitant l'éfondrement de leur cours, puisque les intérêts continuaient à être servis par l'état) et accessoirement le maintien dans les lieux de l'occupant titulaire du prêt (gelant ainsi la vente bradée des maisons qui a entrainé la dévalorisation de la rentabilité des prêts, puisque plus couverts par la valeur vénale du bien hypothéqué...

considérant que cette action du public aurait mécaniquement permi d'écarter la crise financière actuelle et le déficit de crédit qui y est lié, ou du moins de l'amortir de telle manière qu'elle n'ai été que l'explosion d'une bulle spéculative sans grosse importance, on est en droit de trouver purement criminel et irresponsable, le fait d'avoir laissé mettre à la rue un aussi grand nombre de personne, d'avoir laissé s'écrouler la valeur vénale de l'immobilier des classes défavorisés, d'avoir tenté de tirer des classes à faibles revenus des dividendes dignes des meilleurs rendements spéculatifs et au final de gaspiller en pure perte des sommes dont l'impact social aurait pu être mieux employé)...

la crainte d'utiliser de tels leviers au prétexte qu'il s'agit d'une entrave à la doctrine communément admise, ne fait que rajouter à la crasse bétise de cette dernière...

le néolibéralisme, pas plus que le capitalisme financier ne sont des des solutions inéluctables, ce sont essentiellement des choix politiques organisés et structurellement orchestrés...
ils ne relèvent d'aucun état naturel, la preuve en est qu'il faut des lois outrepassant souvent la simple volonté populaire pour en forcer la mise en oeuvre...

jusqu'au dernier de nos sous, si...

c'est l'histoire d'une fourmilière qui se trouve sur le passage d'un éléphant et régulièrement celui ci lors de son passage saccage tout...
un jour les fourmis en ont marre et décident d'attaquer l'éléphant pour le terrasser...

quand l'éléphant passe, les fourmis montent à l'assaut, l'attaque de toute part, le pique, le mordent, lui cuisent la peau de toute part... quand l'éléphant commence à trouver l'affaire un peu longue, il se secoue et envoie voler alentour toutes les fourmis, sauf une accrochée fermement à son cou...

voyant ça depuis le sol, l'ensemble des fourmis se met alors à l'encourager en criant : - étrangle le, ne lâche pas, serres, étrangle le...

c'est pas comme ça qu'on se débarrassera du capitalisme...

quand on manque de crédit, les banques nous retirent leur financement, maintenant que c'est elles qui sont à genoux, retirons nos sous...

bien sur je plaisante, mais c'est pourtant notre seule arme véritable...

contagion...

dans les années 80, alors que les boat people vietnamiens fuyaient le "communisme" en bateau, la marine française envoya ses bâtiments récupérer ces fuyards d'un genre nouveau afin de les accueillir sur notre territoire...

dans les années 2000, les marines nationales européennes déploient leur moyens de détection et leurs vedettes pour intercepter les africains qui tentent de fuir la misère à bord d'embarquations de fortune, pour les empêcher d'accoster en europe...

moralité : il semblerait que la misère est plus à craindre que le communisme...
sans doute est elle beaucoup plus contagieuse...

04/10/2008

rions ensemble...

con textuel...

"Au fond c'est une certaine idée de la mondialisation qui s’achève avec la fin du capitalisme
financier qui avait imposé sa logique à toute l’économie et avait contribué à la pervertir.
L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrarié par aucune règle, par aucune
intervention politique, cette idée de la toute puissance du marché était une idée folle.
L’idée que les marchés ont toujours raison est une idée folle."

si les fous eux mêmes en font le constat...

02/10/2008

au fond du compte...

bien souvent ce qu'on oublie du mythe de Cassandre, c'est qu'en définitive, elle avait raison...

30/09/2008

...

ha, on va peut être vivre la fin de l'histoire pour le néolibéralisme, aussi...
en moins de vingt ans après la chute de son principal "ennemi" : le communisme...

et au contraire de celui ci, il se sera écroulé sans adversaire, sous son propre poids... un KO debout qui aura duré vingt ans...

29/09/2008

casino royale...

si j'étais jamel, je me ferais du souci, après qu'il l'ai lancée à la télévision, voilà que ségoléne royal se met à lui faire concurrence; elle fait maintenant du stand up et remplit les zénith.

26/09/2008

l'idée de la guerre...

" bien sûr, le peuple ne veut pas la guerre, c'est naturel et on le comprend.
mais après tout, ce sont les dirigeants du pays qui décident des politiques.
qu'il s'agisse d'une démocratie, d'une dictature fasciste, d'un parlement ou d'amener le peuple à suivre.
qu'il ait ou non droit de parole, le peuple peut toujours être amené à penser comme ses dirigeants.
c'est facile.
il suffit de lui dire qu'il est attaqué, de dénoncer le manque de patriotisme des pacifistes et d'assurer qu'ils mettent le pays en danger.
les techniques restent les mêmes, quel que soit le pays. "


qui a dit ça ?..
un spécialiste, le spécialiste en chef, même, le spécialiste mondialement reconnu de la propagande :

Hermann  GOERING

c'est capital...


la couverture de ma prochaine lecture...
7 euros, beaucoup moins cher que la leçon des subprime va nous coûter...

dits lourds de tout con...

c'est beau de voir comment dans son discours, il nous présente les conséquences pour les causes, et comment il souhaite tout changer pour que rien ne bouge...
et comment il se donne l'air de cracher dans la soupe qu'il a lui même contribué à assaisonner durant toute sa cuisson...

il nous ressert en somme, en moins triomphant le crincrin entendu lors de la chute du mur de berlin: "c'est la fin de l'histoire", à la seule différence que cette histoire là n'est que le prolongement de celle qui triomphait alors de la chute du communisme et qui lançait désormais à plein sa course débridée...

mais rasurons nous, il ne s'agit pas de renouer avec le collectivisme, juste de collectiviser les pertes...

je suis bien rassuré, moi, là...
bien rassuré de l'avoir encore pour longtemps dans le trognon...

ha, dernier petit détail quand même pour son léxicologue: intéressement quand tu est salarié, ça se dit : augmentation de salaire...

ma foi.. le petit ne manque pas d'estomac...

vous remarquerez que la crise n'est qu'une crise de confiance...
c'est bien la preuve que le capitalisme libéral est une croyance, ou ma parano reviens au galop ?..

mamie pue la peur...

on m'a donné ça à lire.

ben, je crois que je ne suis pas si parano que je l'imaginais...
mais qu'est ce qu'il peut y avoir comme endormis...

ce n'est tout compte fait guère plus rassurant...

les grosses ficelles...

"éclairez les dupes, il n'y aura plus de fripons"
robert HOUDIN

reste à savoir si mille milliards c'est assez puissant comme éclairage...
en watts, sans doute; en dollars, j'en doute...

25/09/2008

en chaines...

" on ne peut pas dire la vérité à la télévision, il y a trop de gens qui regardent "

COLUCHE

et si on ne la dit pas non plus dans la presse, c'est par crainte qu'il y ait encore trop de monde qui sache lire...

fatalité...

il est probable que des choses improbables se produisent...

cela ne rend toutefois pas possible que des choses impossibles se réalisent...

à tombeaux ouverts...

bon, c'est nico qui l'a dit : c'est pas le capitalisme qui nous fout dans la merde avec la crise financière actuelle, c'est les excès de quelques excités qui n'ont aucun sens de la responsabilité et c'est en continuant à dérèglementer qu'on finira par les marginaliser et rendre plus responsables tous les acteurs de la spéculation...

c'est bien connu, c'est en coupant les freins des véhicules dans les descentes qu'on maitrise le mieux leur trajectoire...

en les envoyant plus vite dans le décor...

23/09/2008

ça devait bien harribey...

on prend l'hymen et on recommence

dégats colatéraux du choc des civilisations

quand on vous dit que la justice pour être sereine ne doit pas être le théâtre des émotions

22/09/2008

les cercles vicieux du pouvoir...

« Aucun problème ne peut être résolu sans changer l’état d’esprit qui l’a engendré »

Albert Einstein

je m'interoge ?..

au fait, c'était qui le type en blanc avec un chapeau ridicule aux cotés de nicolas sarkosy, qu'on a vu sur toutes les télés du 12 au 14 septembre?..

ça me rends allégre...

"une connerie n'est pas forcément réparable par une autre, même conseillée par l'académie."

la décroissance septembre 2008

le chiffre de la semaine...

1000 000 000 000...

à la grosse louche, le budget des investissements publics de la françe sur une année...

et ça n'empêchera pas la crise de l'immobilier en amérique, juste la crise financière liée aux prêts et à leur titrisation...

en gros, ça n'est censé sauver que le volet "virtuel" de l'économie... laissant les anciens propriétaires défaillants à la rue, alors que le même montant investi et géré comme un fond d'aide au paiement des crédits aurait permis le maintien des occupants dans les logements, tout en consolidant les titres bancaires, puisque les rendant solvables...

les z'uniens sont décidément un bien beau peuple...