23/03/2007

sancho...

putain, je suis chaud comme la braise, j'ai un mental de compétiteur, je suis remonté comme une pendule atomique...

et tout ça pour rien, pas un pipeautin pour venir dire du bien sur sarkozy dans les commentaires de mes billets...

la terre, journal paysan...


je vous livre des souvenirs bruts : j'ai appris à lire le journal dedans...
vous pourriez peut être apprendre à comprendre le monde rural à l'intérieur...

service minimum...

sur la question de cerare battisti, ségolène royal a renié la prise de position de son mentor politique...
elle a botté en touche en disant que celà regardait la justice italienne...

que sarkozy, interrogé sur la mort de pinochet reste indiferent et sant commentaires : je le comprends... c'est inscrit dans le contexte politique véhiculé par la droite qu'il représente...
mais le manque de courage médiatique ou l'absence de réaction de la candidate socialiste me semble plus choquant, car elle piétine ce qui à mon sens est le lieu de fracture de la droite et de la gauche au sens politique : la défense des droits de l'homme (pardon, humains)...

il y a des silences qui en disent bien plus long que des dérapages verbaux...

idées noires (suite)...

même le vote le pen au second tour, est un appel à l'insurection populaire...
la stratégie de la terre brulée ou des bateaux sabordés sous soi est aussi une stratégie jusqu'au boutiste...

idées noires...

en réponse à nawa : pour les anarchistes l'idée même de faire s'écrouler le système est un régal et pour celà, tous les moyens sont bons...
y compris les plus rapides...
ne plus voter, montrerais l'inutilité du vote par faute de sa représentativité...
néanmoins le problème reste entier: par quoi remplacer un système qui n'est plus représentatif et, est il encore temps de le remplacer quand il n'est plus représentatif et qu'il a perdu sa légitimité?...
car à ce moment là, il se suffit à lui même et sa simple existence deviens le seul moteur de sa légitimité...
l'unique moyen de le renverser deviens alors la force...

le pari des anarchistes sur cette issue, c'est que le système devienne intolérable au plus grand nombre avant d'être tombé dans le totalitarisme absolu, et que se déclenche alors une insurection populaire (de masse)...
la révolution, quoi...

appeler au non vote de masse, c'est être prêt à la révolution...

un monde (sans amour ) propre...

en rentrant du travail, j'ai vu sur une voiture un autocollant qui disait : "mon maïs c'est votre carburant"...
si je comprends bien, les bio carburants sont jugés propres car ils ne restituent pas plus de carbone que la plante en contenait, et que la croissance d'une nouvelle plante en consommera pour sa croissance...

oui, si je comprends toujours bien, on extrait l'alcool ou l'huile de la plante, qui est un composé carbonné pour le brûler comme carburant, avec les déchets de la plante que l'on peut composter ou reconditionner pour faire du combustible, on réinjecte la cellulose, qui est un composé carbonné dans le bilan carbonique de la planète; donc opération blanche à la prochaine récolte : au moment où la plante aura réincorporé pour sa croissance une quantité de gaz carbonique équivalente à ce qu'elle avait fourni à la précédente transformation....

sauf que, cette transformation n'est pas une opération blanche, pour transformer, il faut ajouter de l'eau et pas mal d'énergie, vous allez dire oui : l'énergie du combustible obtenu avec le déchet cellulosique...
et non, sinon ça s'appellerait le mouvement perpétuel, le bilan énergétique de la transformation est forcément déficitaire, ce qui veut dire qu'il faut ajouter une énergie extèrieure qui serait par exemple de l'énergie électrique nucléaire...

alors, ton maïs, j'en veux pas comme carburant...

d'autant plus que l'utilisation des terres agricoles pour le carburant vert, à la facheuse tendence à faire augmenter le prix des denrées alimentaires de base puisqu'elle entre en compétition avec l'utilisation des terres agricoles dévolues à la production des produits de consommation alimentaire....

la solution, c'est la relocalisation des besoins, qui réduit les necessités de transport donc la consomation de combustible...

désolé...

22/03/2007

à moins que ...

vous ne préfériez ce type de monde ...
hors sol...

hé...


harissa a dit...

je viens de finir pacalet qui en parle bien aussi...
j'ai déjà attaqué les 8 R depuis un moment, ça fait râler didouche, c'est pourtant amusant, il faut juste un peu d'imagination, être un peu inventif pour changer nos habitudes, je n'achète plus de fringues mais je troque, je ne fais de courses que quand on a vidé le frigo, je n'ai pas acheté d'appareil hifi vidéo ni d'électroménager depuis des années, je récupère ceux dont les autres ne veulent plus, quand je vais au magasin je n'achète qu'à manger, je ne jette plus rien, je transforme ou je donne, je marche pour balader et ne roule plus que pour aller bosser, et ma vie n'est pas moins belle, moins riche, il faudrait juste essayer pour en être convaincu. convaincue je suis. mais en parler est difficile, mes interlocuteurs ne sont pas réceptifs à mes arguments, je passe pour folle auprès de certains, je n'en connais que peu qui soient prêts à avoir une démarche dans ce sens, l'idée d'une décroissance est souvent assimilée à une régression, l'idée de la richesse n'est plus que dans ce que l'on possède de matériel...
je n'ai pas trouvé de meilleure alternative que celle de consommer moins pour être en accord avec le monde que j'imagine.
me défaire de mon chez moi pour y arriver ne me fait pas souffrir, j'ai trouvé du sens à la décroissance, un sens qui me va.

pas sage de t'est moins...

voilà, cest fait, par le simple adoubement de chirac en début de semaine, le candidat sarkosy est passé de la rupture à la continuité, c'est peut être ça le coup de couteau de chirac, un soutien du bout des lèvres qui le mouille malgrés tout...

fait tourner...

Article :

La décroissance ne fait pas bonne impression dans la majorité des organisations militantes en exercice. Pourtant, tout le monde s’accorde à dire que la crise environnementale et en particulier le réchauffement climatique nécessitera, à l’avenir, la maîtrise, et même la diminution de notre consommation d’énergie. Une division par 4 de nos émissions de gaz à effet de serre est imposée par le protocole de Kyoto, mais cet objectif doit êtret plus important pour les pays industrialisés. La question du mode de vie occidental est remise en cause par l’indice d’empreinte écologique qui démontre que 2 planètes sont nécessaires pour satisfaire les besoins en consommation d’un français moyen et 5 pour un américain. Devant cette logique insoutenable, les libéraux s’investissent, les socialistes se mobilisent, les communistes dénoncent, les écologistes redoublent d’audace et tous les acteurs professionnels se réunissent sous l’égide du développement durable.
Mais quel développement, quelle croissance !? Interpellent une poignée d’irréductibles. Les idées contraires à la croissance existent depuis les années 70, à la suite d’un rapport du Club de Rome, qui dénonce les méfaits du modèle productiviste industriel et son impact irréversible sur l’environnement. La croissance ne peut être infinie car nous vivons dans un monde fini. Voilà la principale maxime de la décroissance, qui se base sur les travaux de Nicolas Georgescu-Roegen, physicien et économiste, ayant construit son raisonnement sur le deuxième principe de la termodynamique, l’entropie, pour fonder sa théorie. Relayée depuis par un cercle d’initiés, l’idée de décroissance resurgie désormais avec consistance depuis un colloque organisé par l’unesco intitulé : « Défaire le développement, refaire le monde». En effet, il suffit de jeter un regard sur les rapports du PNUD pour constater que «l'écart entre riches et pauvres se creuse depuis le début du XIXième siècle: [...] la répartition du revenu mondial entre les pays montre que l'écart entre les pays les plus riches et ceux les plus pauvres qui était de 3 à 1 en 1820 passe de 72 à 1 en 1992» .

Pour les objecteurs de croissance, le développement durable est un oxymore . Le progrès technique et la recherche illimitée de richesses conduiront l’humanité à sa perte, en tout cas, pour les plus défavorisés. Si la déplétion pétrolière pointe son nez, phénomène décroissant incontestable, c’est peut-être une chance. « Que la crise s’aggrave », proclamait François Partant . Devant les nuisances de l’urbanisme, la précarité toujours plus menaçante, le conditionnement d’une vie chronométrée, le discours politique tombée en désuétude, certains ont décidé d’agir ici et maintenant, entrer en résistance, en adoptant les choix d’une « simplicité volontaire ». Cette posture s’oppose à la « servitude volontaire » qui contraint le salarié contemporain à vivre laborieusement, cloisonné dans son auto, derrière sa machine, à son bureau, son appartement, reproduisant un comportement consumériste sous l’influence du matraquage publicitaire.

La décroissance, n’est ni une idéologie, ni l’inverse de la croissance, ni même une sorte d’ascétisme réactionnaire. Mais plutôt un slogan, un « mot-obus » pour Paul Ariès , qui offre la possibilité de générer du débat au sein des traditionnels clivages droite/gauche, tous enclins à suivre religieusement cette voix unique qu’est la croissance, indispensable pour sortir l’humanité de l’impasse dans laquelle elle s’est fourée. Certains proposeront de doper la croissance, d’autres parlerons de qualité de la croissance, ou encore de croissance sélèctive. Et toujours, sous couvert du développement, en sacrifiant les plus pauvres.
Or, pour construire l’avenir, il faut penser dès aujourd’hui l’après-développement en décolonisant l’imaginaire, préconise Serge Latouche , qui analyse la mondialisation en dénonçant l’occidentalisation du monde, qui impose une culture internationale avilissante. Pour cela, il propose la base d’un programme fondé sur 8 R : Réevaluer, Reconceptualiser, Restructurer, Relocaliser, Réduire, Réutiliser, Recycler. Une approche qui évoque la nostalgie du passé, à la recherche d’une vie plus conviviale qui réclame un peu plus de liens contre moins de biens, devant la démesure d’un système qui accélère son processus de fuite en avant : Surconsommation, surproduction, suremballage, surrendettement, surpêche, …Mais tout reste à construire, à développer (sic). Notamment à travers le parti de la décroissance (PPLD), qui s’est créé récemment à Lyon. Chercher le terrain des urnes, c’est commencer à agir dès maintenant par le débat, notamment grâce à l’initiative de Chiche, et faire germer l’innovation, avec comme point d’honneur le repect de la démocratie et des valeurs humanistes, comme le rappel souvent Vincent Cheynet, soucieux de préserver les objecteurs des dérives sectaires et nationalistes.

Au sein même d’ATTAC, le débat est loin d’être clos. Jean-Marie Harribey, économiste, co-président de l’association, s’oppose à cette conception resurgente depuis quelques années. Il développe un contre-argumentaire détaillé qui s’attache à dévoyer la décroissance en privilégiant la régulation du secteur non-marchand . Il s’agit pour lui d’actualiser un alter-développement respectueux de la nature et de l’homme par la prédilection des valeurs d’usages désormais en proies aux valeurs marchandes.
Par ailleurs, Fabrice Flipo , membre du conseil scientifique, expert en questions d’écologie, plaide en faveur de la nécessité de sortir de l’économie, au sens où celle-ci devraient se subordonner aux contraintes environnementales, par la relocalisation de l’activité, la remise en cause du technodéterminisme et une prise en compte urgente et impérieuse des conséquences de notre mode de vie sur l’écosystème planètaire.

La décroissance mérite qu’on s’y interesse, car elle dépend de chacun d’entre nous. Vous pensez qu’un chinois ou un africain serait prêt à sacrifier son pouvoir d’achat ? Balançent ironiquement les détracteurs ? A nous de répondre qu’il s’agit désormais de poser la question de manière plus complexe. Quel africain, quel chinois, celui qui gagne des millions ou celui qui se fait exploité par un système productiviste de mise en concurrence ? Le discours de la décroissance s’évertue à dénoncer le fait que notre manière de vivre, désormais, dillapide gracieusement les acquis du passé et spécule dangereusement sur les promesses d’avenir.

21/03/2007

liberté égalité fraternité...

imaginons la france d'après...

j'aime pas la modernité...


les résultats de ma machine à voter...
quatre scrutins exprimé pour l'Union des Mauvais Perdants, et pourtant, un score de second tour...

pas mal, non...pour un aussi petit parti pris...

zebda : et tout d'un coup, du beur dans notre pinard...

Tomber la chemise, Pascal Cabero, Danger Public, 223 p., 14,50 euros.

Eté 1999. On entend partout les accords du tube Tomber la chemise. Après dix ans de tournée dans toute la France, deux albums créés dans la douleur, le groupe engagé Zebda plonge dans le succès avec Essence ordinaire, son troisième album. Imperceptiblement, les choses changent pour les Toulousains : « Un petit frémissement de la foule au début d’un morceau, un refrain chanté spontanément, autant de signes qui ne trompent pas, les gens connaissaient l’album. C’était quelque chose de nouveau pour nous. »

Avec le livre Tomber la chemise, le guitariste du groupe, Pascal Cabero, revient aujourd’hui sur quinze années de musique et de vie. Il raconte les interminables trajets dans le vieux van, les prises de bec, les moments de doute et les instants d’éternité. Intarissable sur la musique et sa guitare, il revient à la source de l’aventure, la sienne et celle de Zebda. Après une tranche de vie en Australie qui s’achève par une expulsion en bonne et due forme, Pascal Cabero revient à Toulouse avec une seule idée en tête : la musique. Il frappe chez Magyd Cherfi, retrouve Joël Saurin. Vincent Sauvage se met à la batterie, Christophe Delannoy au clavier et Hakim et Mustapha Amokrane se lancent aux choeurs. « En verlan, arabe se dit beur. En arabe, beurre se dit Zebda. On avait un nom, il ne restait plus qu’à se le faire. »

Côté musical, « il y avait deux écoles, le lyrisme du rock binaire et les rythmes ternaires et enlevés d’Afrique ». Hétéroclite et inclassable, leur musique n’avait qu’un seul arbitre : le public. « Nous étions fous furieux. Nous cherchions à tout prix son approbation. Si un morceau fraîchement composé ne passait pas l’épreuve du feu, à faire bouger les gens, il disparaissait aussitôt de notre répertoire. » Une exigence qui ne laisse pas indemne. « Nous étions sans pitié les uns avec les autres. Les repets étaient des combats de coqs. » Tout au long de ces quinze années, on retrouve cette difficulté à coexister. « Le timide, le fort en gueule, le profond, le superficiel, le sérieux, le débonnaire, l’extrémiste, le consensuel, on formait un conglomérat d’incohérences, un ramassis hétéroclite de vilains petits canards. » Rien ne changera jamais de ce côté-là, « nous marchions Copain-Clopant ».

Mais il y a la rage de réussir à changer le monde, en fanfare : « Le sens de notre existence en tant que groupe passait par une prise de parole. La question du rôle de l’artiste et de son degré d’engagement politique dans son art ne s’est jamais posée, elle était implicite. » Avec Le bruit et l’odeur, Zebda se radicalise. Avec Essence ordinaire, il se professionnalise : « Notre ambition de passer un cap artistique était bien réelle. Je voulais avoir la sensation de m’être dépassé. Réaliser un album dont je serais fier, me hisser dans la cour des grands et surtout, ne pas avoir de regrets. » Ne pas avoir de regrets, c’est connaître le succès sans renoncer au message citoyen qui a été de toutes les tournées. Réduire la fracture, construire des ponts entre les cultures, montrer l’exemple de la mixité.

L’engagement devient politique lors des municipales de 2001. Le mouvement « Motivé(e)s », dans lequel sont engagés, de près ou de loin, tous les membres de Zebda, rafle 12,38% des suffrages au premier tour des municipales à Toulouse. « Ce parti sans programme prônait la démocratie participative, défendait un monde au service des gens, pas au service des multinationales et des marchés financiers, une politique autrement ». Une partition en parfait accord avec les virtuoses du « chanter autrement. »

laissez passer l'info...


rue : briques à braque...

on s'est dit avec mes compères
que pour nettoyer au karcher
on est tous des volontaires,

tous ces magouilleurs déquisés...()...en forme de politiciens...

cons, prenez moi !..

20/03/2007

ça fait toujours du bien...

j'ai déjà donné cet extrait ailleurs, mais je ne résiste pas à nouveau...

un conseil, éteignez la musique avant de cliquer sur le lien...

à vo(r)té...

trouvé chez nawa, un article sur les machines à voter...
vous pensez que c'est impossible, détrompez vous, je vous ai concocté un petit exemple perso...
c'est un script java, pour décompter les votes...
essayez le pour jouer et vous allez comprendre que c'est à la portée de nimporte qui si moi j'y arrive...
et allez donc chez nawa, qui vous conduira vers la pétition en ligne...

haro sur les hussards...

hier, à la télévision, j'ai vu une chose magnifique, j'ai vu annoner une cruche : nadine morano...

19/03/2007

il y aura un bulletin bové...

voilà,une bonne chose de faite...

18/03/2007

con promis...

Les propositions de Nicolas Sarkozy sur les 35 heures
Cliquez ici

- Permettre l'augmentation durable de tous les salaires en rompant avec la politique de partage du travail et en mettant en oeuvre une politique de compétitivité des entreprises et d'enrichissement de la substance de l'économie.

- Permettre à ceux qui veulent travailler plus pour gagner davantage de le faire, en donnant plus de liberté aux entreprises et aux salariés pour négocier des heures supplémentaires.

- Exonérer les heures supplémentaires de charges sociales et fiscales, pour créer un choc en faveur des revenus du travail. c'est en quelque sorte faire des heures supplémentaires effectuées dans le cadre d'un contrat de travail, des heures de travail dissimulé : du travail au noir...

- Appliquer ces mesures dans la fonction publique, pour les fonctionnaires volontaires.

- Permettre aux maires d'autoriser l'ouverture des commerces le dimanche, sous réserve du volontariat et de la juste rémunération des salariés concernés, pour que chacun soit libre de consommer ou de travailler le dimanche.

17/03/2007

pas de blague...

L’histoire circule sur le Net, et son succès
en dit long sur les sentiments que Sarkozy
inspire à une bonne partie de l’électorat.

C’est un jour de gros bouchon sur le péri-
phérique. Des centaines de bagnoles blo-
quées, pare-chocs contre pare-chocs. Un
type passe de voiture en voiture et tape aux
vitres : « Des terroristes ont pris Sarkozy en
otage ; ils menacent de l’asperger d’essence et de
mettre le feu si on ne leur apporte pas un million
d’euros tout de suite. Alors je passe pour une
collecte, voulez-vous faire un don ? – Pourquoi
pas ? Ils donnent quoi les autres, dans l’en-
semble ? – Ça dépend. Cinq, dix litres…

16/03/2007

des sarments...

je viens de finir " la nuit des temps " de barjavel, ce bouquin raconte la découverte de deux spécimens d'humains ensevelis sous les glaces dans une capsule de survie défiant le temps...

cette ancienne civilisation avait découvert comment créer une énergie sans polution ni limite,
comment s'alimenter à partir du rien ou plutôt de cette seule énergie issue du rien grâce à une mange machine, elle avait aussi inventée des armes surpuissantes dont une arme portable créatrice de pure chaleur, etc...

bien sur c'est de la fiction, du roman de science fiction, pourtant un des objets cités existe déjà...
vous aviez deviné, c'est l'arme : elle est étasunienne fonctionne par micro ondes et peut être utilisée pour créer un mur de chaleur pour disperser les manifestations...
en quelque sorte elle vous fait bouillir de l'intérieur si vous ne reculez pas...

et oui, ayez toujours confiance en l'homme, ce salopard, pas fort en énergie renouvelable, pas fort en méthode pour éliminer la faim, mais pour les armes toujours à la pointe du progrés, même s'il est futuriste...

relents...

quand nicolas sarkozy dit " l'amérique nous a sauvé en 45, il ne faut pas l'oublier"...

comme à son habitude il oublie, pour qu'elle soit supportable, de finir sa phrase...
il nous faut entendre après décodage : "l'amérique nous a sauvé du communisme en 45, il ne faut pas l'oublier"...

parce que vous verrez au billet précedent que les communistes et les résistants nous ont amené bien d'autres choses, que le "capital" tente de détruire sous couvert de modernité...
un peu comme nous faire croire que vichy c'est moderne...

relais...

trouvé chez nawa...

L'Appel des resistant s- 28 mars 2004

Au moment où nous voyons remis en cause le socle des conquêtes sociales de la Libération, nous, vétérans des mouvements de Résistance et des forces combattantes de la France Libre (1940-1945), appelons les jeunes générations à faire vivre et retransmettre l’héritage de la Résistance et ses idéaux toujours actuels de démocratie économique, sociale et culturelle.

Soixante ans plus tard, le nazisme est vaincu, grâce au sacrifice de nos frères et soeurs de la Résistance et des nations unies contre la barbarie fasciste. Mais cette menace n’a pas totalement disparu et notre colère contre l’injustice est toujours intacte.

Nous appelons, en conscience, à célébrer l’actualité de la Résistance, non pas au profit de causes partisanes ou instrumentalisées par un quelconque enjeu de pouvoir, mais pour proposer aux générations qui nous succéderont d’accomplir trois gestes humanistes et profondément politiques au sens vrai du terme, pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais :

Nous appelons d’abord les éducateurs, les mouvements sociaux, les collectivités publiques, les créateurs, les citoyens, les exploités, les humiliés, à célébrer ensemble l’anniversaire du programme du Conseil national de la Résistance (C.N.R.) adopté dans la clandestinité le 15 mars 1944 : Sécurité sociale et retraites généralisées, contrôle des « féodalités économiques », droit à la culture et à l’éducation pour tous, presse délivrée de l’argent et de la corruption, lois sociales ouvrières et agricoles, etc. Comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes sociales, alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l’Europe était ruinée ? Les responsables politiques, économiques, intellectuels et l’ensemble de la société ne doivent pas démissionner, ni se laisser impressionner par l’actuelle dictature internationale des marchés financiers qui menace la paix et la démocratie.

Nous appelons ensuite les mouvements, partis, associations, institutions et syndicats héritiers de la Résistance à dépasser les enjeux sectoriels, et à se consacrer en priorité aux causes politiques des injustices et des conflits sociaux, et non plus seulement à leurs conséquences, à définir ensemble un nouveau « Programme de Résistance » pour notre siècle, sachant que le fascisme se nourrit toujours du racisme, de l’intolérance et de la guerre, qui eux-mêmes se nourrissent des injustices sociales.

Nous appelons enfin les enfants, les jeunes, les parents, les anciens et les grands-parents, les éducateurs, les autorités publiques, à une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation marchande, le mépris des plus faibles et de la culture, l’amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous. Nous n’acceptons pas que les principaux médias soient désormais contrôlés par des intérêts privés, contrairement au programme du Conseil national de la Résistance et aux ordonnances sur la presse de 1944.

Plus que jamais, à ceux et celles qui feront le siècle qui commence, nous voulons dire avec notre affection : « Créer, c’est résister. Résister, c’est créer ».

Signataires :

Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Georges Guingouin, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise London, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant, Maurice Voutey.

14/03/2007

nous mentons...


il n'y a pas que quand bayrou pète que ça sent fort...

peinture de guerre...


vietnam : agent orange...
allez voir ici...

c'est pas un accident, c'était volontaire...
la guerre c'est ça, c'est l'horreur même quand c'est fini...

gaz moutarde, bombe atomique, à chaque fois la même logique poussée aux ultimes extrémités de la technique...
et en temps de paix ce n'est pas mieux : bophal, tchernobyl, l'amiante...

je trouve qu'on paie toujours trop cher le progrès...
le futur est du présent en cours de pourissement...

basta la vista, fiat linux....

encore quelques petites choses à régler et je ferme la fenêtre derrière moi...
oui, je vais migrer vers linux (version ubuntu 6.10) ...

linux a beaucoup évolué, et il n'y a pas besoin d'être informaticien pour l'installer, il suffit d'un peu de patience, d'un peu de documentation et d'un tout petit peu de culôt, vite récompensé...

pas la peine...

voilà ce qu'il faut entendre par plein emploi et flexsécurité du travail, quand le libéralisme vous le propose comme une solution...

l'important n'est pas ce qu'on vous offre, mais ce vous demande en contre partie...et dire qu'il se trouve toujours des imbéciles (si j'insiste, j'en connais, et arrivistes de surcroit...) pour créditer ce genre d'arnaques sociales...

13/03/2007

deux mains demain...

y a des jours c'est pas simple d'être un humain...

12/03/2007

le petit mal entendu...

quand tu lui dit chômage ? il te réponds travail...
quand tu lui dit vie chère ! il te réponds travail...
si tu lui dit non, il te réponds flicaille...
si tu lui dis qu'il est pas bon, il te réponds canaille...

quand il nous dit karcher, on lui réponds remballes...
quand il se dit tatcher, on lui réponds : trou de balle !..

émoi je ne te crois pas...

il est trop fort ce jaurès, dommage qu'il soit mort : assassiné...

Je crois, d'abord et avant tout, à la France et aux Français. Notre pays n'est pas seulement grand par son histoire : il est grand aussi par ses capacités. Les Français ont montré qu'ils savaient réussir dans le monde d'aujourd'hui. Ils font partie des peuples qui connaissent le mieux les autres pays du monde et qui y voyagent le plus. Ils se sont parfaitement adaptés à l'ère Internet. Ils ont créé des entreprises de premier ordre dans les domaines les plus pointus ; beaucoup de ces entreprises sont aujourd'hui des championnes mondiales. Enfin, malgré leurs différences, les Français ont toujours eu la générosité de ne pas abandonner à leur sort les plus faibles d'entre eux.

Je crois à la confiance et au respect de chacun. La France est pleine de talents qui ne parviennent pas à s'épanouir, parce qu'on ne leur fait pas confiance et qu'on ne leur donne pas le respect qu'ils méritent. Je veux que les talents des jeunes et des minorités soient respectés. Je veux que les femmes aient réellement les mêmes chances que les hommes. Je veux que ceux qui sont parvenus par eux-mêmes à l'excellence réussissent aussi bien que ceux qui ont fait les meilleures écoles à vingt ans.

Je crois au travail et à sa récompense. Dans une société juste, les distinctions entre les citoyens ne doivent pas dépendre de leur naissance, de la couleur de leur peau ou d'études lointaines : c'est le travail fourni qui doit être le critére de la réussite. Ceux qui veulent travailler plus doivent pouvoir gagner plus. Ils doivent pouvoir conserver le fruit de leurs efforts et l'utiliser pour préparer l'avenir de leur famille.

Je crois à la solidarité avec les plus faibles. Il peut arriver à chacun d'entre nous d'être, à un moment ou un autre, dans une situation difficile. La solidarité nationale doit continuer à jouer pour qu'une mauvaise passe ne se transforme pas en exclusion durable. Ceux qui veulent sortir de la précarité doivent pouvoir compter sur l'entier soutien de la communauté.

Je crois au pouvoir de la vérité. Les Français savent qu'il faut travailler plus, et non pas moins, pour s'enrichir. Ils savent qu'on ne pourra intégrer les immigrés qu'en contrôlant efficacement nos frontières. Ils savent bien, parce qu'ils en font l'expérience tous les jours, que notre droit du travail multiplie les obstacles à l'emploi et que notre Etat a besoin de réformes profondes. Ils savent que si on abaisse le niveau des diplômes, cela nuira aux élèves et aux étudiants au lieu de les aider. Enfin, ils savent que les délinquants ne cesseront de nuire que s'ils sont réprimés. Il faut avoir l'honnêteté de dire ces vérités pour pouvoir, ensuite, faire les réformes dont le pays a besoin.

Je crois au mouvement. Dans un monde qui change sans cesse, la France ne peut pas vouloir rester immobile. Nous devons améliorer notre éducation nationale, notre marché du logement, notre droit du travail, notre justice, notre fiscalité. Nous devons adapter nos institutions, en renforçant les contre-pouvoirs qui font la force d'une démocratie robuste. Nous devons rapprocher les discours politiques des préoccupations du peuple français. Il n'y a pas d'avenir à répéter les vieilles recettes qui ont toujours échoué.

Je crois à une France respectée dans le monde. Dans les années qui viennent, la France sera confrontée à des choix majeurs en politique internationale. Nous devrons poursuivre la construction de l'Europe dans le respect des peuples qui la composent. Nous devrons mieux prendre en compte l'émergence de nouvelles puissances : la Chine, l'Inde, la Russie, le Brésil. Enfin, nous devrons jouer tout notre rôle dans la lutte contre le terrorisme mondial. La France devra défendre ses intérêts dans un monde plus complexe, avec fermeté mais sans postures inutiles.

Je crois que tout peut devenir possible. Les Français veulent le changement et ont tous les atouts pour le construire. Les services publics réformés peuvent devenir des acteurs de ce mouvement. Avec l'appui de tous les Français, la promotion sociale, le droit à la propriété, une meilleure école pour les enfants, un meilleur salaire pour soi, une réelle égalité entre hommes et femmes, peuvent redevenir des objectifs atteignables pour chacun. Alors, les Français retrouveront le goût de vivre ensemble et la France sera, de nouveau, un exemple pour le monde.

meatrix avoir...

Salon en trompe l’œil

PAR Claude-Marie Vadrot
jeudi 8 mars 2007

Au salon de l’agriculture qui se termine dimanche, les vaches au poil peigné, les moutons et les chèvres mangent du foin ; à s’en faire péter la sous-ventrière ! Les poules à la crête bien rouge, les oies et les canards se goinfrent de grains divers. Que du na-tu-rel ! Comme les porcs, tout propres, qui n’ont jamais si bien bouffé et en grognent de plaisir. Une visite, même moins longue que celle du Président, permet de comprendre : à la porte de Versailles, nous sommes au salon de la communication de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), devant lesquels ­c’est incontournable­ la plupart des candidats à la présidentielle viennent se prosterner.

J’ai donc cherché en vain, au détour des stands, où étaient les farines, les tourteaux, les granulés, ces « bons » produits qui sont l’ordinaire de la majorité des élevages, même quand les poulets ou les veaux, je ne sais plus, sont censés courir en plein air. Une heure par jour ou par semaine, cela dépend, quand le fonctionnaire ou le complice du ministère de l’Agriculture passe vérifier le bien-fondé de l’un des vingt-deux labels, logos et autre certificats d’origine qui entretiennent savamment la confusion du consommateur [1]. Y compris quand un voyage en camion transforme un jambon industriel breton en jambon d’Aoste ou un fromage quelconque en parmesan. J’ai cherché aussi vainement tous les OS de l’agriculture, ces paysans-travailleurs exploités en dessous du Smic auxquels de grosses entreprises amènent veaux, porcs, dindes ou poulets « à finir », en les laissant se débrouiller avec des déchets dont personne ne veut. La France est la première productrice européenne de céréales, de pommes de terre (celles que l’on envoie éplucher en Tunisie avant de les rapatrier pour en faire des « chips à l’ancienne » !), de viande de boeuf et de betteraves.

Le salon de l’agriculture apparaît ainsi comme un trompe-l’oeil, reflet d’une France qui disparaît car, malgré leur courage et leur obstination, les agriculteurs paysans, les producteurs bios, les petits producteurs qui cherchent à raccourcir les circuits vers le consommateur sont en voie de disparition. Ils constituent le gros des troupes décimées de la Confédération paysanne. Leurs exploitations disparaissent tous les jours.

À la porte de Versailles, un service de com veut faire oublier l’agrobusiness dominant aux visiteurs et à leurs enfants. Il n’y a pas que la célèbre vache Titine que les candidats caressent dans le sens du poil.

Notes

[1] Seul certificat régulièrement vérifié sous l’oeil attentif de l’agriculture productiviste : le logo bio AB, qui garantit qu’un produit alimentaire ne contient aucun résidu chimique.

[2] Seul certificat régulièrement vérifié sous l’oeil attentif de l’agriculture productiviste : le logo bio AB, qui garantit qu’un produit alimentaire ne contient aucun résidu chimique.

bête hier...


je me suis aussi payé une tête de taureau, ça me changera de ma tête de mule...

50x40...

hier, je me suis acheté une petite fille pour 6 euros et depuis, elle est sage comme une image...

tchao pantin...

chirac pour son final, nous fait son pompompidou...

07/03/2007

entrave! aie...

Gérard Filoche : « la suppression du motif de licenciement est une attaque au cœur du CDI »

Pourquoi le CDI est-il si important ? Point de vue de Gérard Filoche, inspecteur du travail.

Le salariat n’a jamais été aussi puissant, numériquement et économiquement. Rien d’important, et de durable, ne se crée sans lui. Ainsi, le Code du travail, construit en cent vingt ans, est-il devenu un statut commun à seize millions de salariés. Huit millions d’employés et six millions d’ouvriers sont mêlés, cols blancs et cols bleus, il n’y a plus de différence. L’écart des salaires s’est resserré : la moyenne du salaire des cadres nest plus que de 2,3 fois celui de la moyenne des salaires des employés et des ouvriers.

Le CDI, même s’il est insuffisamment protecteur, est quand même le contrat de ceux qui n’ont que « leur force de travail à vendre », il est donc plus fondamental que jamais. La précarité monte. Elle ronge les bases du CDI, mais ne suffit pas à le faire disparaître. Il faut donc s’attaquer au CDI lui-même, ce que voulait le Medef et ce que fait Dominique de Villepin, tandis que Nicolas Sarkozy surenchérit. L’objectif : baisser le coût du travail, but permanent du capital. Logique donc que le CDI soit dans le collimateur.

Le CDI relève du Code du travail et des conventions collectives. Or, dans les dix dernières années, l’idéologie du patronat a évolué. Non seulement il est opposé à ce que les lois continuent d’instaurer un état de droit dans l’entreprise, mais il est opposé à ce que les conventions collectives le fassent. Il a opté pour la priorité au « contrat individualisé », de gré à gré entre l’employeur et le salarié, de façon à casser toute résistance juridique, toute organisation collective des salariés. D’où la loi scélérate de François Fillon du 4 mai 2004, qui inverse la hiérarchie des sources du droit du travail, et permet à des accords d’entreprise de déroger à des accords de branche, à des accords interprofessionnels, et même à des lois lorsqu’elles le permettent. Ainsi « l’ordre public social » se fissure, se morcèle, s’atomise.

Le salarié, un pion mobile

Au centre des contrats nouvelles et premières embauches (CNE et CPE), la suppression du « motif » de licenciement. Il s’agit d’une attaque au cœur du CDI. On fragilise le maintien dans l’emploi mais aussi la capacité à défendre son salaire et ses conditions de travail. On remplace cela par du baratin abstrait sur « la sécurité sociale professionnelle ». Une situation est créée qui vise à faire du salarié un « pion mobile » incapable de se lier à une entreprise, de s’y syndiquer, d’y défendre des droits élémentaires, donc de mieux y vendre sa force du travail. On oublie même, hélas, comme l’a fait la synthèse au congrès du Mans du Parti socialiste, de défendre un vrai droit protecteur face aux licenciements.

Le rôle des seniors

Lorsque Villepin crée le CPE, il a pour but de maintenir des vieux sur le marché du travail pour fragiliser les conditions de l’arrivée des jeunes sur ledit marché. Ainsi la loi sur l’égalité des chances propose des CDD de 18 mois renouvelés aux « seniors » de 57 à 60 ans. Ceux-ci n’auront pas le choix puisque la filière Unedic qui prévoyait 42 mois d’indemnités dans cette tranche d’âge-là a été supprimée en décembre 2005. Et pourquoi la contribution Delalande, qui freinait, en les taxant, les licenciements des seniors de plus de 50 ans, a-t-elle été supprimée ? Officiellement, il s’agit de faciliter l’embauche des « seniors » en permettant de les licencier eux aussi au moindre coût. Villepin autorise des « cumuls emploi retraite » jusque- là prohibés, et autorise des cumuls « retraite et temps partiels ». Il a repoussé la limité d’âge dans la fonction publique de 65 ans à 67 ans, en fait, il freine le départ massif en retraite des « baby-boomers » de 1945-1947 pour mieux imposer le chantage aux jeunes qui arriveraient, sinon, de façon triomphante sur le marché de l’emploi, réclamant de vrais CDI. En freinant le recul mécaniquement prévu, massif, conjoncturel du chômage, Villepin donne la priorité (contrairement à ce qu’il affiche) à la déréglementation du CDI, et de tout le droit du travail.

Les 3151 articles du Code du travail et les 9 livres qui le composent sont réécrits en 38 chapitres, à droits dégradés, sous pression du Medef : le « nouveau Code du travail » instaurera un droit de relations individuelles à la place d’un droit des relations collectives du travail.

06/03/2007

presque il c'est du sexe hysme...

le staff de nicolas sarkosy pratique une forme interessante de sexisme: les attaques directes sur ségolène ne sont portées que par des femmes de l'UMP...

une manière de pouvoir botter en touche en affirmant qu'ils feraient du sexisme si c'était les hommes qui attaquaient, mais entre femmes c'est de l'affrontement politique...

mais pour en être sur, allez donc écouter les discours du chef et notez la place qu'il y donne à la femme : tout ce qui est du domaine du domestique et des enfants lui est dévolu sans concurence avec son conjoint...

05/03/2007

conne ethique...


plutôt que de favoriser la politique d'enfouissement des câbles, l'état préfère enterrer directement EDF...
tant pis pour nous...

les méchants petits poisons...

pêt de troll...


méfiez vous des épouvantails qu'on vous présente, c'est souvent pour détourner votre attention de quelque chose de bien plus important...

vous voyez pas ?
cherchez mieux : ça pue, ça tue, ça pollue...

pour l'amérique du sud la cible est toute trouvée, ce sera une croisade contre le communisme...

Tsahal guerre...























pour pas être traité de nazi, faut pas employer leurs méthodes...

04/03/2007

sa campagne des rap...

allez le site de nicolas en page d'acceuil... c'est trop bonnard comme ce type récupère tout...

et le fin du fin, il à un compteur qui décompte les millisecondes jusqu'à l'élection , un chronomètre de champion...

sans ces citations...

c'est certain, nicolas sarkozy est le seul candidat sans projet : la preuve sur son site...

que des citations...
nous cacherait il quelque chose...

03/03/2007

anale orgie...

nicolas sarkozy veut privilégier le sport à l'école, il a des prédécesseurs :

"ainsi, des millions de corps entrainés au sport, imprégnés d'amour pour la patrie et remplis d'esprit offensif pourraient se transformer, en l'espace de deux ans, en une armée..."
extrait de "mein kampf Adolf Hitler"

02/03/2007

arasons les murs...