29/06/2007

boulet...

voilà plus de six mois qu'on la traine au boulot,
elle est comme eve angelli, mais l'intelligence en moins...

des rats passent

28/06/2007

l'éco logis-tique...

Le grand chambardement ordonné depuis le sommet de
la pyramide est encore plus terrifiant. Il dessine une société où les
décideurs continuent à décider - à l’ombre de centrales nucléaires
bordées de champs génétiquement modifiés - du développement durable de
leur niveau d’empoisonnement de la vie. Car ce qui les agite, c’est la somme faramineuse que
devrait coûter le maintien de leur monde à eux : 7 500 milliards de
dollars, soit plus que les deux guerres mondiales mises bout à bout,
selon le rapport Stern sur les conséquences du dérèglement climatique.
Car « si nous ne faisons rien contre le réchauffement climatique, notre économie s’effondrera ».
Et meeerde ! Voilà que nos très chers capitalistes renouent avec
l’histoire et le futur, qui depuis des décennies ne se conjuguaient
qu’à l’aune d’une reproduction immédiate de leur accaparement des
richesses. Ce ne sont plus leurs gains immédiats dont ils redoutent la
perte, mais la disparition, à terme, de leur petit monde dans son
entièreté cadastrée.

mari honnète...


encore un couple "lêche bien"...

on pourrait en rire si ce n'était l'expression d'une certaine forme d'expression colonialiste...

nos bons arabes progressistes et dans ce cas présent, féministes...

c'est l'arabe qui cache la forêt...un maquillage supplémentaire du bon nicolas...

avec l’arrivée de Fadela Amara et de
Rama Yade, rejoignant Rachida Dati, ce sont maintenant trois femmes « issues de l’immigration » qui siègent au gouvernement. Commentaire de l’association Fraternité franco-africaine (extrait) : « Une fois encore, l’hypocrisie de la “France des droits de l’homme” a bien fonctionné ; ces trois jeunes femmes sont censées bénéficier d’une politique antiraciste : leur promotion servira-t-elle pour autant la cause des banlieues laissées pour compte malgré la grave crise de l’automne 2005 ? Elles incarnent également l’opposition républicaine et progressiste aux fléaux attribués aux cultures des Suds : l’intégrisme musulman, le machisme patriarcal ou celui des grands frères des banlieues… C’est de bonne guerre

politis

27/06/2007

con par raison...

La loi sur l'interruption volontaire de grossesse a été légalisée
par La loi Veil du 17 janvier 1975 (la Loi
Simone Veil, alors ministre de la santé, a été adoptée
par l'Assemblée Nationale à 284 voix contre 189). Cette loi et celle du 31 décembre 1979 libéralisent l'avortement
en France et fixent les conditions dans lesquelles peuvent se pratiquer
les interruptions de grossesse


Répartition
de la population totale par sexe et âge au 1er janvier 2001

et qu'est ce qu'on retrouve entre 1975 et 1979, sur la pyramide des âges?..
un trou!..
ce qui veut dire, que quand il a été possible pour elle de gérer les naissances, la femme française l'a fait, même par l'interruption volontaire de grossesse...
alors qu'à ce moment là, précisément, c'était les générations du baby boom qui arrivaient en pleine fécondité...

sinon, je vous laisse le plaisir de découvrir les autres petits aléas de la pyramide des âges par vous même, je vous conseille toutefois le délicieux passage des classes creuses de 14-18 à la fécondité...
amis effrénés de la natalité à tout prix, vous pourrez ainsi constater que la guerre est la plus atroce des absurdités et qu'en toute logique, c'est elle qu'il vous faudrait combattre en premier pour satisfaire à vos désirs...

rat pelé...

La déclaration Universelle des droits de l'homme a
été adoptée par l'assemblée générale des Nations Unies le 10
Décembre 1948. Elle constitue un étape cruciale de l'histoire de
l'humanité. Mais il revient à chacun le devoir de contribuer à sa
transformation en une réalité.

Déclaration
Universelle des droits de l'homme




PRÉAMBULE


Considérant
que la reconnaissance de la dignité inhérente à
tous les membres de la famille humaine et de leurs droits
égaux et inaliénables constitue le fondement de la
liberté, de la justice et de la paix
dans le monde,


Considérant
que la méconnaissance et le mépris des droits de
l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la
conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où
les êtres humains seront libres de parler et de croire,
libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme
la plus haute aspiration de l'homme,


Considérant
qu'il est essentiel que les droits de l'homme
soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne
soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre
la tyrannie et l'oppression,


Considérant
qu'il est essentiel d'encourager le développement
de relations amicales entre nations,


Considérant
que dans la Charte les peuples des Nations Unies
ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux
de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne
humaine, dans l'égalité
des droits des hommes et des femmes et qu'ils se sont
déclarés résolus à favoriser le progrès social et à
instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté
plus grande,


Considérant
que les États Membres se sont engagés à assurer
en coopération avec l'Organisation des Nations Unies, le
respect universel et effectif des droits de l'homme et des
libertés fondamentales,


Considérant
qu'une conception commune de ces droits et
libertés est de la plus haute importance pour remplir
pleinement cet engagement,


L'Assemblée générale proclame la présente Déclaration
universelle des droits de l'homme


comme l'idéal commun à atteindre
par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les
individus et tous les organes de la société, ayant cette
Déclaration constamment à l'esprit, s'efforcent, par
l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de
ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures
progressives d'ordre nationale et
internationale, la reconnaissance et l'application
universelles et affectives, tant parmi les populations des
États Membres eux­mêmes que parmi celles des territoires
placés sous leur juridiction.


Article 1: Tous les
êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en
droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent
agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Article 2:
1.
Chacun peut se prévaloir
de tous les droits et de toutes les
libertés proclamées dans la présente Déclaration, sans
distinction aucune, notamment de race, de couleur, de
sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de
toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de
fortune, de naissance ou de toute autre situation.

2.
De plus, il ne sera fait aucune distinction fondées sur le
statut politique, juridique ou international du pays ou du
territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays
ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome
ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

Article 3:
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la
sûreté de sa personne.

Article 4:
Nul ne sera tenu en esclavage ni en
servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont
interdits sous toutes leurs formes.

Article 5:
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des
peines ou traitement cruels.

Article 6:
Chacun à le droit à la reconnaissance en
tous lieux de sa personnalité juridique.

Article 7:
Tous sont égaux devant la loi et ont
droit sans distinction à une égale protection de la loi.
Tous ont droit à une protection égale contre toute
discrimination qui violerait la présente Déclaration et
contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 8:
Toute personne a droit à un recours
effectif devant les juridictions nationales compétente
contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui
sont reconnus par la constitution ou par la loi.

Article 9:
Nul ne peut être arbitrairement arrêté,
détenu ou exilé.

Article 10:
Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que
sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un
tribunal indépendant et impartial, qui décidera soit de
ses droits et obligations, soit du bien­fondé de toute
accusation en matière pénale dirigée contre elle.

Article 11:
1.
Toute personne accusée
d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que
sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un
procès public où toutes les garanties nécessaires à sa
défense lui auront été assurées.

2.
Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au
moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un
acte délictueux d'après le droit national ou international.
De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que
celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a
été commis.

Article 12:
Nul ne sera l'objet d'immixtions
arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou
sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa
réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi
contre de telles immixtions ou de telle atteintes.

Article 13:
1.
Toute
personne a le droit de circuler librement et de choisir sa
résidence à l'intérieur d'un État.

2.
Toute personne a le droit de quitter tout pays, y
compris le sien, et de revenir dan son pays.

Article 14:
1.

Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher
asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.

2.
Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites
réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des
agissements contraires aux buts et aux principes des Nations
Unies.

Article 15:
1.

Tout individu a droit à une nationalité.

2.
Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni
du droit de changer de nationalité.

Article 16:
1.

A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune
restriction quand à la race, la nationalité ou la religion,
ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont
des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et
lors de sa dissolution.

2.
Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein
consentement des futurs époux.

3.
La famille est l'élément naturel et fondamental de la
société et a droit à la protection de la société et de
l'État.

Article 17:
1.

Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit
à la propriété.

2.
Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.

Article 18:
Toute personne a droit à la
liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit
implique la liberté de changer de religion ou de conviction
ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa
conviction seule ou en commun, tant en
public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le
culte et l'accomplissement, les pratiques

Article 19:
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et
d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être
inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir
et de répandre, sans considération
de frontières, les informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit.

Article 20:
1.
Toute personne a droit à
la liberté de réunion et d'association pacifiques.

2.
Nul ne peut être obligé de faire partie d'une association.

Article 21:
1.

Toute personne a le droit de prendre part à la direction des
affaires publiques de son pays, soit directement, soit par
l'intermédiaire de représentants librement choisis.

2 .
Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité,
aux fonctions publiques de son pays.

3.
La volonté du peuple est le fondement de l'autorité des
pouvoirs publics; cette volonté doit s'exprimer par des
élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au
suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une
procédure équivalente assurant la
liberté du vote.

Article 22:
Toute personne en tant que membre de la
société, a droit à la sécurité sociale;
elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits
économiques, sociaux et culturels indispensables à sa
dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce
à l'effort national et à la coopération internationale,
compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque
pays.

Article 23:
1.
Toute personne a droit
au travail, au libre choix de son travail, à des conditions
équitables et satisfaisantes de travail et à la protection
contre le chômage.

2.
Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire
égal pour un travail égal.

3.
Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et
satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une
existence conforme à la dignité humaine et complète, s'il y
a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.

4.
Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des
syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense
de ses intérêts.

Article 24:
Toute personne a droit au repos et aux
loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la
durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 25:
1.

Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour
assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille,
notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement,
les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux
nécessaires; elle a droit à la sécurité en cas de chômage,
de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans
les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par
suite de circonstances indépendante de sa volonté.

2.
La maternité et l'enfance
ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les
enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage,
jouissent de la même protection sociale.

Article 26:
1.

Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être
gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement
élémentaire et fondamental. L'enseignement technique et
professionnel doit être généralisé; l'accès aux études
supérieures doit être ouvert en pleine égalité
à tous en fonction de leur mérite.

2.
L'éducation doit viser au plein épanouissement de la
personnalité humaine et au renforcement du respect des
droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit
favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre
toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux,
ainsi que le développement des activités des Nations Unies
pour le maintien de la paix.

3.
Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre
d'éducation à donner à leurs enfants.

Article 27:
1.

Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie
culturelle de la communauté, de jouir des arts et de
participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en
résultent.

2.
Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et
matériels découlant de toute production scientifique,
littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

Article 28:
Toute personne a droit à ce qui règne,
sur le plan social et sur le plan international, un ordre
tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 29:
1.
L'individu a des devoirs envers la communauté
dans laquelle seul le libre et plein développement de sa
personnalité est possible.

2.
Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés,
chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi
exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le
respect des droits et libertés d'autrui et afin de
satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre
public et du bien­être général dans une société
démocratique.

3.
Ces droits et libertés ne pourront, en aucun
cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des
Nations Unies.

Article 30:
Aucune disposition de la présente
Déclaration ne peut­être interprétée comme impliquant pour
un État, un groupement ou un individu un droit quelconque de
se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la
destruction des droits et libertés
qui y sont énoncés.

vieille histoire...et on nous dit gérés...

LES MEMBRES ET
L'ESTOMAC.



Je devais par la royauté
Avoir commencé mon ouvrage:
A la voir d'un certain côté,
Messer Gaster en est l'image;
S'il a quelque besoin, tout le corps s'en ressent


De travailler pour lui les membres se lassant,
Chacun d'eux résolut de vivre en gentilhomme,
Sans rien faire, alléguant l'exemple de Gaster.
"Il faudrait, disaient-ils, sans nous qu'il vécût
d'air.
Nous suons, nous peinons comme bêtes de somme;
Et pour qui? pour lui seul; nous n'en profitons pas;
Notre soin n'aboutit qu'à fournir ses repas.
Chômons, c'est un métier qu'il veut nous faire apprendre."
Ainsi dit, ainsi fait. Les mains cessent de prendre,
Les bras d'agir, les jambes de marcher:
Tous dirent à Gaster qu'il en allât chercher.
Ce leur fut une erreur dont ils se repentirent:
Bientôt les pauvres gens tombèrent en langueur;
Il ne se forma plus de nouveau sang au cœur;
Chaque membre en souffrit; les forces se perdirent.
Par ce moyen, les mutins virent
Que celui qu'ils croyaient oisif et paresseux,
A l'intérêt commun contribuait plus qu'eux

Ceci peut s'appliquer à la grandeur royale.Elle reçoit et donne, et la chose est égale.

Tout travaille pour elle, et réciproquement

Tout tire d'elle l'aliment.

Elle fait subsister l'artisan de ses peines,
Enrichit le marchant, gage le magistrat,
Maintient la laboureur, donne paie au soldat,
Distribue en cent lieux ses grâces souveraines,
Entretient seule tout l'État.
Ménénius le sut bien dire.
La commune s'allait séparer du sénat.
Les mécontents disaient qu'il avait tout l'empire,
Le pouvoir, les trésors, l'honneur, la dignité;
Au lieu que tout le mal était de leur côté,
Les tributs, les impôts, les fatigues de guerre.
Le peuple hors des murs était déjà posté,
La plupart s'en allaient chercher une autre terre
Quand Ménénius leur fit voir
Qu'ils étaient aux membres semblables,
Et par cet apologue, insigne entre les fables,
Les ramena dans leur devoir.



pour plus de plaisir

incontournable...

La logique économique aurait
déjà restauré l’esclavage si
elle n’avait aussi besoin de consommateurs.

dailleurs, elle l'a déjà fait là où elle n'a pas besoin de consommateurs...

26/06/2007

travailler plus pour gagner pas plus...



MISE EN PLACE D’UN REGIME D’EXONERATION

D’IMPOT SUR LE REVENU DES HEURES SUPPLEMENTAIRES OU COMPLEMENTAIRES DE TRAVAIL

1.
Conformément aux engagements du Président de la République, les salariés
doivent pouvoir
allonger leur temps de travail pour augmenter leur pouvoir d’achat. Ainsi, les entreprises
seront-elles incitées à accroître leur offre de travail.

Pour les employeurs, les heures supplémentaires bénéficieraient d’une réduction
forfaitaire de cotisations sociales. Pour les aider à financer leurs besoins en heures supplémentaires, cette réduction sera plus importante pour les PME de 20 salariés au plus.
Par ailleurs, les heures supplémentaires n’entraîneront plus une diminution du taux d’exonération de l’allègement général sur les bas salaires.

De leur côté, les salariés trouveront avantage à ce qu’un volume plus important d’heures supplémentaires leur soit proposé. Il est ainsi proposé d’exonérer d’impôt sur le revenu et d’alléger de cotisations sociales les salaires versés en contrepartie de l’accomplissement
à compter du 1er octobre 2007 d’heures supplémentaires ou complémentaires
de travail.(des heures sup. plutôt que des contrats à temps plein)

Toutefois, afin que la mesure proposée se traduise bien par une augmentation nette de la durée du travail, et non par la substitution d’heures supplémentaires ou complémentaires
exonérées au temps de travail contractuel, celle-ci serait encadrée.

2.

La mesure aurait vocation à bénéficier à l’ensemble des salariés, du secteur privé comme
du secteur public (sauf pour les cotisations sociales salariales des régimes spéciaux
pour lesquels la mesure serait transposée selon des modalités à définir), à temps
complet ou à temps partiel, y compris à ceux employés et rémunérés selon un régime
de « forfait ».

L’exonération d’impôt sur le revenu s’appliquerait à la rémunération des heures supplémentaires, c’est-à-dire effectuées au-delà de la durée légale du travail fixée à trente-cinq
heures (heures effectuées dans le contingent annuel des 220 heures et heures «
choisies »), et des heures considérées comme telles dans le cadre des
différents dispositifs d’aménagement du temps de travail dans l’entreprise (accords collectifs d’organisation du temps de travail par cycles de travail, de modulation / annualisation du
temps de travail …).

Elle s’appliquerait également aux salariés, cadres ou non-cadres « autonomes », sous convention
de forfait annuel en heures, à raison des heures supplémentaires effectuées au-delà
de 1 607 heures sur l’année, ou en jours, à raison des jours de travail qui correspondent
à la renonciation à des jours de repos au-delà de la limite annuelle de 218 jours.

Les heures complémentaires, qui correspondent aux heures effectuées par les
salariés à temps partiel au-delà de la durée contractuelle de travail,bénéficieraient également de la mesure.


Ces dispositions seraient également applicables aux salaires ou indemnités versés
au titre des heures supplémentaires ou complémentaires de travail effectuées par les salariés
ou agents dont la durée du travail n’est pas régie par les dispositions du code du travail.

3.

L’exonération d’impôt sur le revenu porterait sur l’ensemble de la
rémunération de l’heure supplémentaire, c’est-à-dire le salaire de base et la majoration légale ou conventionnelle dès lors que, dans ce dernier cas, son taux résulte d’une convention collective
de branche ou d’un accord professionnel ou interprofessionnel et non d’un simple accord d’entreprise ou d’établissement.

A défaut d’un taux conventionnel ainsi défini, l’exonération de la majoration
serait limitée dans la généralité des cas :
-pour les salariés à temps complet, aux taux légaux, selon le cas, de 25 % ou 50
% ;
-pour les salariés à temps partiel, au taux de 25 %.

La réduction de cotisations sociales salariales serait proportionnelle au montant
de la rémunération dans la limite des cotisations et contributions, légales ou conventionnelles, rendues obligatoires par la loi.

La réduction de cotisations patronales serait de 1,50 € par heure supplémentaire dans les PME et de 0,50 € dans les grandes entreprises. (vous remarquerez qu'ici le gouvernement parle bien de cotisations et non de charges, et oui, la terminologie officielle c'est bien cotisations et dans le cas de la part salariale, cotisations sociales. "charges", c'est pour la propagande politique)

4.
Le projet de loi prévoit par ailleurs que le taux de majoration des heures supplémentaires
dans les entreprises d’au plus vingt salariés, qui était fixé à 10 % jusqu’au 31 décembre 2008, est par ailleurs porté à 25 % au 1er octobre 2007 afin que l’ensemble
des salariés bénéficie de la même majoration.

5.
Par ailleurs, afin de ne pas modifier l’économie d’autres avantages fiscaux
ou sociaux soumis
à condition de ressources dont bénéficieraient les salariés concernés, il est proposé
de réintégrer dans le revenu fiscal de référence la rémunération des heures supplémentaires
et complémentaires

Cette rémunération serait en outre prise en compte dans le calcul des limites
conditionnant le bénéfice de la prime pour l’emploi (PPE).
(fallait bien une contrepartie et ce sont les plus petits salaires qui en feront les frais)

6.
L’ensemble de ces dispositions serait applicable aux salaires perçus à raison des heures supplémentaires ou complémentaires de travail effectuées à compter du 1er octobre 2007.



25/06/2007

pêle mêle...

et praline...

un gnome pressé...

riz à la créole: haute technologie environementale...

à vingt ans, la première fois que j'ai eu l'occasion chez des comoriens de manger un riz cuit à la créole, je me suis étonné du fait que l'on était obligé de jeter la part de riz qui restait collée sur le fond des casseroles et j'ai trouvé notre manière de faire cuire le riz à l'européenne bien meilleure : on jetait l'eau en trop et on conservait ainsi tout le riz, sans gaspiller...



on est con à vingt ans : le riz peut se contenter d'eau sale pour pousser, il se contente parfois même d'eau saumâtre, alors qu'on le fait cuire dans de l'eau potable... le laisser finir de cuire dans la chaleur de l'ustensile de cuisine jusqu'à absorption complète de l'eau permet également d'économiser la cuisson, donc le combustible...



c'était donc la matière la plus noble que l'on économisait en jetant un peu du riz, c'était l'eau et le combustible que l'on économisait en cuisinant ainsi et je croyais être plus malin en ne jetant pas de riz...



sans compter que dans une économie rurale, ce surplus de riz attaché n'est jamais perdu il sert à la nourriture des volailles et autres animaux domestiques...

24/06/2007

sur le même site





dilemme nucléaire / effet de serre

image séparateur



La Commission européenne publie une étude au titre évocateur. "Dilemma" est

en effet le nom donné à ce document qui montre la difficulté des choix politiques

auxquels devront procéder les états confrontés à la fois à une opinion publique

peu favorable au nucléaire et à la nécessité de respecter les engagements

de Kyoto (réduction de 8% des émissions européennes de gaz à effet de serre

en 2010, par rapport au niveau de 1990).



L'étude envisage 3 scénarios :



  • Le scénario fortement nucléaire qui prévoit le maintien au niveau actuel

    (23%) de la part nucléaire dans la production d'électricité et donc la

    construction, d'ici 2025, de nouvelles centrales nucléaires en Europe (100

    GW).
  • Le scénario médian suppose la mise hors service des centrales après

    40 ans de fonctionnement, et leur non-remplacement. A l'horizon 2035, le

    nucléaire ne représente plus que 1% de la production européenne d'électricité
  • Le scénario faiblement nucléaire suppose, lui, la sortie du nucléaire à l'horizon

    2010


Si l'on fixe au secteur de la production d'électricité dans l'Union européenne

l'objectif de réduire ses émissions de 8% par rapport à 1990, le rapport

montre que cet objectif est pratiquement atteint à partir de 2015 dans le

scénario fortement nucléaire, mais n'a aucune chance de l'être dans les deux

autres scénarios :

Emissions excédentaires











































Scénario 2010 2025
Fortement nucléaire +8% 0%
Médian +13% +33%
Faiblement nucléaire +22% +52%






le dernier tableau tend à faire croire que les émissions de co2 vont exploser sans le nucléaire...mais la prospective appliquée se contente de substituer à la production nucléaire des productions d'électricité polluantes en co2 puisque utilisatrices d'énergies fossiles (charbon pétrole). sans présumer de la part de substitution possible par les systèmes de production plus propre.

il est volontairement alarmiste pour masquer la stratégie de défense du nucléaire...









hé ouais, hé ouais...trouvé au ministère de l'écologie...





Rappelons que l’effet cancérogène des radiations peut être mesuré avec

précision acceptable pour des doses de 

0,5 à 1 Sv et que la dose la plus faible d’irradiation à débit élevé

pour laquelle un effet cancérogène a été détecté est d’environ 100 mSv. Depuis

l’apparition de la vie sur terre, tout être vivant est soumis à une irradiation

naturelle (rayons cosmiques, radioactivité naturelle) qui a régulièrement décru

pendant cette période. Or, l’irradiation naturelle varie considérablement d’une

région à l’autre en fonction de la nature du sol : en France de 1,5 à plus

de 6 mSv/an, à l’échelle du globe entre 1,5 mSv/an et 100 mSv/an et aucune augmentation

de la fréquence des effets génétiques, et de malformations congénitales ni de

celle des cancers n’a été détectée dans les régions à forte irradiation

naturelle.





De plus, les nombreuses enquêtes effectuées chez des populations exposées

à des doses inférieures à 100 mSv (travailleurs des usines nucléaires et des

arsenaux, malades soumis à des examens médicaux ou ayant ingéré des produits

radioactifs pour des raisons médicales etc…) n’ont jamais détecté un effet

significatif. Certes, la puissance statistique de ces études est souvent

limitée, cependant la tendance générale non seulement n’est pas à une

augmentation du risque par rapport aux populations témoins, mais inversement,

et paradoxalement, la fréquence des cancers semble souvent diminuée comme si les

faibles doses d’irradiation avaient un effet protecteur à cause de la

stimulation des mécanismes de réparation.

en conclusion, la production d'électricité nucléaire est bonne pour la santé... seul petit bémol, peut être, le préambule du rapport, où on sent bien déjà le cotè partisan du contenu :





Energie et santé:

les filières au banc d’essai



Maurice

Tubiana





Ancien président de l’Académie nationale de

médecine







Ce thème recouvre plusieurs débats.

Force est d’abord de constater qu’il ne peut pas y avoir de santé, de bien-être

(du chauffage l’hiver à la chaîne du froid d’été), sans des moyens matériels

nécessitant une quantité d’énergie nettement supérieure à celle dont disposent

plus de la moitié des habitants du globe. De ce fait, les avantages

qu’apportent une quantité suffisante d’énergie l’emportent très largement sur

les inconvénients liés à sa production. De plus, les sources décentralisées

d’énergie du monde traditionnel (le bois, la biomasse) polluent l’air intérieur

des habitations et les données épidémiologiques, notamment chinoises, montrent

qu’il en résulte un accroissement significatif de la fréquence des cancers du

poumon. Sur le plan éthique, il apparaît donc qu’on doit mettre à la

disposition de tous les êtres humains une énergie suffisante à un prix aussi

faible que possible, d’où l’importance sanitaire du prix de kW/h , puisque plus

celui-ci est élevé, plus nombreux seront ceux obligés de limiter son usage aux

dépens de leur confort et leur santé. D’autre part, pour optimiser la

production d’énergie, on doit évaluer les effets de chaque filière sur

l’environnement (essentiellement la pollution et l’effet de serre) et sur la

santé.





23/06/2007

la carpe et le lapin...

bourin tintin ...

22/06/2007

PYJAMA ça...

no stress...


bientôt les vacances...

le droit du travail s'effiloche...

La voie libre pour détruire le Code du travail ?

ça y est, l'homme au Karcher élu à la présidence di&pose aussi d'une majorité au Parlement: Fillon et lui vont s'attaquer au Code du travail comme l'exige le MEDEF. Ils vont tenter de remettre en cause cent cinquante ans d'histoire sociale, revenir sur la durée du travail abaissée de 1848 à nos jours, forcer les salariés à travailler plus, à gagner moins dans de moins bonnes conditions de santé et de sécurité.

Le Code du travail, c'est le droit le plus intime pour 16 millions de salariés du privé mais le droit le moins enseigné, le moins connu, le plus contesté, le plus fraudé. e' est le droit qui protège trop fragilement et fixe le coût de la force de travail de 91 % de la population active. Fillon et Sarkozy ont, depuis deux ans, fait réécrire ce .code prétendument simplifié « à droits constants », en réalité à

«droits très allégés ». Une commission de cinq technocrates a été mise en

place le16revrier 2005 par Larcher, il était prévu de publier le nouveau Code en mai­juin 2006 si la grande mobilisation victorieuse contre le CPE ne les en avait empêchés. Têtus et sournois, ils ont glissé dans la-loi « sur le développement de l'actionnariat salarié » publiée le 30 décembre 2006, un « cavalier parlementaire», l'article 57, prolongeant les délais du 1er janvier au 30 septembre 2007. Puis Larcher a annoncé devant le Sénat, le 29 janvier, qu'ils allaient le faire avant la présidentielle... il l'a redit le 6 février devant la Commission nationale des négociations collectives: toUs les syndicats s'y sont opposés! Mais ils l'ont imposé

quand même, le 7 mars en Consèil des ministres, par ordonnance 2007-329 publiée au JO du 12 mars, dans le silence généràl, avec la complicité des grands médias TF1, de France 2, du Monde ou du Figaro.

II n'y a eu aucun débat en pleine présidentielle contre ce coup de force. On a pu dans ce pays, avec une censure inouïe, en dépit de l'opposition totale des syndicats unanimes, changer le Code du travail de fond en comble. Même la principale candidate de gauche, bien qu'alertée, couverte de notes sur ce sujet, n'en a pas dit un mot.

Pour l'heure, ils n'ont édité que la partie législative, applicable le 30 septembre, la partie réglementaire serait prête le 1 er janvier 2008, applicable le 1er mars 2008 au plus tard. Ils ont redécoupé le Code à 9 livres en un Code avec 8 parties et des 271 subdivisions, on en arrive à 1890, de 1 891 articles à 3 652! Ce n'est pas « simplifié ». Ils ont renuméroté tous les articles, faisant s' écrouler toutes les jurisprudences, abrogé des articles clefs, restructuré le fond théorique et pratique du Code, ils ont déclassé près de 500 lois en décrets modifiables sans repasser par le Parlement. Et dans les mois qui viennent, en plein été, ­si rien ne les arrête, le pire est à venir.

« Ils vont tenter de remettre en cause cent cinquante ans d'histoire sociale.

Gérard FILOCHE, inspecteur du travail

" Auteur de La vie, la santé, l'amour sont précaires,

pourquoi le travail ne le serait-il pas? Ed. JC Gawsevjtch.





petit complément


confirmation...

de la bouche même de juppé, ex ministre de l'écologie et du développement du râble : "on n'est à l'abri nulle part"...
finalement, je ne suis peut être pas si parano que ça, rappelez vous...

Mr BEAN prend sa retraite politique...


Le combat de trop
Au lendemain d’un nouveau revers (45,52 %) dans la
circonscription qui l’avait élu sans discontinuer de 1973 à 2002,
Jean-Pierre Chevènement a remis sa démission de son mandat de maire de
Belfort, qu’il dirigeait depuis 1983. Le fondateur du Mouvement républicain et
citoyen indique s’être appliqué « la règle républicaine la plus élémentaire ». Électron
libre de la gauche, dont il était une figure historique, il avait déjà claqué trois fois la
porte d’un gouvernement : contre la gestion des entreprises nationalisées en 1983, alors
qu’il avait le portefeuille de l’Industrie ; contre la guerre du Golfe en 1991, quand il
était à la Défense ; contre la gestion du dossier corse en 2000, à l’Intérieur. Il avait
aussi quitté le PS lors du référendum sur le traité de Maastricht, en 1992, déplorant que
l’on construise l’Europe sans le peuple. Fidèle à ses idées, il était toujours parvenu à
rebondir. Jusqu’à ce combat de trop, dans la foulée d’une présidentielle aux côtés de
Ségolène Royal.

20/06/2007

l'énergie pauvre...



Public Image Ltd - Rise

Uploaded by petittheatresubversion



HUNGER IS AN ENERGY
the discomfort, pain or weakness caused by the need for food

cadeau...

http://harribey.blogsudouest.com/



deux billets mais, de poids, et le commentaire du premier, un régal...

plaisir d'offrir...

emballage...

cadeau...

ce qu'on peut nous faire gober...

salut aussi à rantanplan...

1 million d'emplois...

allez, un petit dernier pour bien se faire une idée...
en tandem avec l'ami borloo, en voilà une qui va nous beurrer la tartine...

19/06/2007

rapporteuse...

putain, je suis trop sensible à la pub, moi...
j'ai failli oublier qu'elle maniait bien la langue de bois, avec sa tête angélique et ses deux bibles précieuses...
jamais oublier les deux bibles précieuses...


rapporteuse...



Nathalie kosciusko-Morizet

Uploaded by sarkozyfr

il faut quand même lui reconnaitre un discours cohérent à l'égard des femmes...

quel spectacle...


Il fallait un éclair d'audace. Oser, quand on est députée UMP, se prêter; pour Paris Match, au jeu d'une photo artistique, symboliste, un tantinet New Age, et finalement très glamour. Nathalie Kosciusko-Morizet , benjamine des femmes de l'Assemblée nationale, est alanguie sur le papier glacé et sous un soleil mythique. Le chignon sage dont la belle polytechnicienne ne se départit jamais est, cette fois, défait. Les cheveux blond vénitien cascadent longuement sur une robe nacre de mousseline douce. Un bras lascif à bracelet d'or repose noblement sur un banc de pierre moussu, une main baguée caresse un ventre arrondi par la maternité. Un pied blanc et nu effleure les feuilles d'automne qui tapissent le jardin de sa maison de Longpont-sur-Orge. Une harpe, la sienne, luit en arrière-plan; deux bibles précieuses du XVIIe trônent à ses côtés. On est loin des tailleurs stricts du monde politique classique!


vous trouverez le reste de l'article en suivant le lien

http://www.n-k-m.com/article.php?ref=513

le coup des bibles précieuses ouvertes, c'est d'un incongru dans un état laïc...

et un petit bonus du style : "nous ne ferons pas l'écologie de l'économie" heu, pardon : l'économie de l'écologie...

berceuse...

aux paques...

je distille à votre intention le lourd nuage de la connerie

et caché derrière ce rideau de fumée protecteur, je m'évade

et me soustrais à votre analyse, confortable,

à l'abri de vos invectives et de vos jugements



je suis qui je suis et vous n'en saurez rien

sans franchir le rideau opaque

de mon imbécilité déclarée

sans vous abandonner à ce que vous dis sous

l'écran de fumée de mes discours

l'écologie est en deuil...

pas parce qu'alain juppé est passé à la trappe, ce serait même plutôt la meilleure nouvelle concernant l'écologie pour les cinq prochaines années, mais parce qu'il a été remplacé par le plus triste des attelages:

(le corbillard)

Jean-Louis BORLOO : ministre d’Etat, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables

(son palmarés)

Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi, de mai à juin 2007

- Ministre de l’Emploi, de la Cohésion sociale et du Logement, de 2005 à 2007

- Ministre de l’Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale, de 2004 à 2005

- Ministre délégué à la Ville et à la Rénovation urbaine, de 2002 à 2004



(le cheval)

Nathalie Kosciusko-Morizet


(son palmarés)

Chargée de mission auprès du directeur de la stratégie d’Alstom, de 2001 à 2002

- Responsable de la cellule environnement à la direction des relations économiques extérieures au ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, de 1999 à 2001

- Direction de la prévision au ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, de 1997 à 1999

je ba- je ba-ba fouille...

allez, encore un petit coup...

pourri gâté...

y a des fois, quand tu pue trop de la gueule, même tes propos finissent par en pâtir...

mais d'où ça viens cette sale odeur...

18/06/2007

seconde couche...

vous n'avez pas répondu à ma question, ce qui d'ailleurs ne me surprends
qu'à moitié.

la démocratie et le pluralisme dont vous vous prévalez, sont et restent
tronqués, à quand une repésentatitivité proportionelle de la chambre des
députés?..
vous allez me dire que vous n'avez aucun levier pour aller vers cet
objectif, ce à quoi je vous répondrais que quand vous les aviez ces
leviers, vous n'avez rien mis en oeuvre pour le réaliser.

le dogmatisme dans lequel vous vous enfermez, à part de la gauche, en
dérives succéssives vers le centre vous contraint à manipuler la peur
chez les électeurs, captant ainsi un vote réellement pluraliste, cette
démarche ne fonctionne qu'un temps, le temps que dure la peur et la peur
ne dure pas éternellement sauf à radicaliser la répression, voilà à
terme la tactique que vous employez...
votre recentrage stratégique pousse la droite traditionelle à se
droitiser encore plus et à flirter avec l'extrème droite...

sur ces quelques mots, je vous salue...

l'issue s'il en existe une doit être collective...
fraternité.

tartuffe...

Tu n'as rien à dire! Tu n'as pas voté.
dans ma circonscription, la candidate socialiste était en ballotage défavorable.... Elle est passée parce que des gens comme moi ne font pas dans le négativisme. Ils agissent. Quel courage tu as eu d'envoyer un email au PS! J'espère que tu ne t'as pas écaillé ton vernis en le tapant...

tiens, il semblerait que la vague des têtes de cons gagne aussi le centre par mimétisme, certainement...
moi j'ai voté, alors j'ai le droit de parler comme tu dis et je ne vais pas m'en priver...

t'as fièrement combattu avec ton bulletin, et maintenant tu t'en remets aux preux chevaliers roses pour poursuivre ton héroïque combat... la belle affaire, la métaphore guerrière qui est communément employée au moment des élections ne te chagrine même pas, tout aussi bien tu ne l'as pas vue...

le vote n'est pas un combat, c'est une expression, même celle de se taire...
d'ailleurs, la meilleure chose que les gens qui n'ont rien à dire devraient faire c'est se taire...

aux législatives, le parti pour lequel tu vote reçois des subsides versées sur tes impôts, ils te doivent en temps qu' électeurs des comptes et tu dois les leur demander, à fortiori lors que tu n'as pas voté pour eux, parce qu'eux, parlent en ton nom, même dans ce cas là, et tu dois leur demander des restes...
à partir du principe que tu énonces dans ton billet, quand on n'est pas directement parti prenante, on n'aurais plus droit à l'expression... ce système à condamné trop longtemps, les sourds et muets à rester enfermé dans leur monde de silence, au risque d'en faire et en en faisant des idiots...incapables de communiquer, puisque coupés des modes d'expressions phoniques...

de plus, au vu de la réponse qui est faite à une demande simple : mettre en oeuvre le principe dont ils nous ont rabattu les oreilles au cours de l'entre deux tours, pour faire vite : "on à besoin de vous" et dont me semble t'il nous sommes débiteurs, il est drôle de se voir répondre la diatribe consensuelle et flagorneuse, pour faire court : "démerdez vous"...

le temps pour réfléchir sereinement : la belle blague, et comment décomptent t'ils les cinq dernières années où ils n'ont eu que le temps de réfléchir, d'autant plus sereinement qu'ils n'ont développé aucune idée, à part celle de reprendre à leur compte les valeurs de la droite molle incarnée par l'ami CHIRAC...jusqu'à vouloir nous faire voter OUI à la consécration irrémédiable du néolibéralisme...
INEXISTANTS, EFFACES, ATONES, VOILÀ LE PAYSAGE LAISSÉ PAR LE PARTI SOCIALISTE CES CINQ DERNIÈRES ANNÉES ET LES PREMIERS A SE FÉLICITER DE LEUR SI PAS TANT ÉCRASANTE DÉFAITE, FINALEMENT...

oui, j'ai écris au PS et j'écrirais aussi à SARKOSY, et à tous les autres, aussi souvent qu'il m'en viendra l'idée, parce que la démocratie ne reste elle même que par l'exercice de l'expression individuelle par où qu'elle passe...


on a cinq ans devant nous...le temps de l'arrêt flexion...

Bonjour,

Le deuxième tour des élections législatives a montré que les Françaises et les Français souhaitaient un Parlement équilibré, capable d?exercer un vrai contrôle politique sur l?exécutif. Ce résultat est une victoire du pluralisme et de la démocratie.

Le PS progresse de 50 sièges, soit 30 % environ de sa représentation parlementaire. Il dispose des moyens d?assumer pleinement son rôle d?opposition et de propositions face à un pouvoir qui a échoué dans sa volonté d?écrasement.

Il peut désormais s?engager sereinement dans un travail de réflexion collective et de préparation de l?avenir pour les Français.




L'équipe de campagne
http://www.parti-socialiste.fr

siége éjectable...

juppé va pouvoir se consacrer à sa nouvelle passion : le vélo...

17/06/2007

gain de sable...

bon, voilà, c'est fait pas la peine de crier, de pleurer, de s'agacer, c'est fait...

maintenant, faut jeter du sable dans l'engrenage...

à bien y regarder, au vu des évaluations, trois groupes parlementaires : UMP, PS et nouveau centre... donc deux de droite...

pour faire parti d'un groupe parlementaire, il ne s'agit d'avoir été élu sous une étiquette, mais de se déclarer pour un député, a son arrivée à l'assemblée, comme appartenant à un groupe d'au moins vingt et un députés, toutes orientations confondues...

je m'explique, le PS ayant assez de députés pour constituer un groupe parlementaire pourrait faire inscrire une petite dizaine de ses surnuméraires pour permettre de constituer un groupe communiste, s'ils le voulaient...
ils ne le veulent pas, vous me dites, pourquoi, vous le leur avez demandé ?.. non...

alors qu'est ce que vous attendez, à vos mails et demandez leur comme le retour au coup de pouce que la gauche leur a donné au deuxième tour... plus on sera, plus ça a de chances de marcher...

http://www.parti-socialiste.fr/

16/06/2007

alienné...

longtemps on se sent différent
jusqu'au jour où l'on se rend compte
que ce sont simplement les autres
qui ne sont pas pareils...

que ce sont donc eux
qui ont un problème à régler...

ce qui a l'avantage de nous épargner les ulcères...

15/06/2007

mourir à plusieurs... ça fait moins peur...

c(h)o(uâ)nnerie...

le premier tour a permis d’élire ou de réélire

110 députés d’emblée, tous de droite à l’exception

du socialiste Michel Lefait, réélu à

Saint-Omer (Pas-de-Calais). Parmi eux,

deux villiéristes, Véronique Besse et Joël

Sarlot, élus en Vendée avec la bénédiction

de l’UMP.

14/06/2007

acquits...

à quoi peut donc bien servir la modernité ?..

ou à qui?..

copinage...

13/06/2007

du bon usage de la rue...

mama l'a dit...

c'est l'à part à no(no)...

toto le momo...





Le désir peut-il se satisfaire de la réalité?



si l'on considére la réalité comme étant la somme des faits objectifs tels qu'on les ressent, se satisfaire de la réalité, c'est soit : en être réjoui, et il n'y a alors pas de mise en conformité, ni d'ajustement à lui apposer; soit l'accepter ou en prendre son parti, ce qui relève pour le moins d'un solide stoïcisme, sinon d'un invraisemblable renoncement au bonheur, ou à l'idée que l'on peut s'en faire.



la dernière hypothèse relève d'une singulière atonie du désir, de la privation d'un ailleurs (utopique ou achronique ) à inventer ou à rêver, état qui disqualifie le questionnement autour du désir, puisque prouvant que la réalité peut se satisfaire de l'absence de désir...



une position stoïque face à une réalité subie ne permets pas ni n'exonère pas d'un questionnement sur le désir, il le repousse seulement comme un intrus susceptible de générer plus de désordres que de bienfaits, il lui donne signification en le repoussant, par défaut et en creux, indiquant que la réalité peut être satisfaisante sans l'occurrence du désir et désignant celui ci comme un supplément à cette dernière, comme un luxe dangereux, comme un jouet de l'esprit et de l'imagination dont l'usage comme béquille de la réalité peut être maitrisée.elle peut être également la stricte observance d'une discipline de soi qui fait aimer ce que l'on a faute d'avoir ce que l'on aime, une manière de ne pas désirer au delà des limites objectives.



la première hypothèse, posant la satisfaction permanente de la réalité révèle une innocence et une simplicité d'esprit d'une insondable profondeur. elle permet même de pouvoir douter du pouvoir d'analyse ou d'imagination de l'individu atteint d'un tel inaltérable optimisme. à moins qu'il ne procède d'un impitoyable lessivage de cerveau dont le rabâchage permanent aurait coupé de la perception de la réalité, excluant de fait, par l'absence de réalité (réelle et non traduite), le positionnement possible du désir à son égard.



dans tout les autres cas, la réalité n'ayant pas (quelle qu'en soit la raison) le sel nécessaire à la pleine maturité de la vie, toujours en deçà de l'espoir, de l'envie, des rêves de l'existence que chacun se souhaite, elle se doit d'être épicée et relevée par un mobile qui lui est extérieur.

par un puissant moteur capable de la transcender, d'outrepasser les strictes limites de la réalité et de l'imaginer ailleurs ou au delà: plus haut, plus loin, à côté, dans les interstices, à chacun de trouver comment concilier l'une avec l'autre.

ce mobile peut être de nature diverse, il peut être fait d'espoir, d'envie, de pugnacité ou de désir... mais toujours il outrepasse par le but à atteindre ou par l'objectif rêvé, les strictes limites de la réalité.



par définition, il ne peut se satisfaire de la réalité crue, il la sublime et la transcende, le danger étant alors de ne pas savoir plier son désir aux contingences infranchissables de la réalité objective, de pratiquer le désir comme un vice addictif plutôt que comme une vertu joyeuse et solaire.



en conclusion, si la réalité peut se satisfaire de l'atonie du désir, le désir reste un ardent combustible de la réalité, poussant à toujours la dépasser, à la modeler et à l'adapter à nos besoins et pour le compte, désirs.

tout l'art d'une vie joyeuse et équilibrée, étant de ne pas se laisser consummer par son désir.











grillons un peu...

6371*6371*6371*(pi)*4/3 = 1 083 209 449 854 kilomètres cubes : volume de la terre moins

6371.001*6371.001*6371.001*(pi)*4/3 = 1 083 209 959 920 kilomètres cubes : volume de la terre plus un mètre de diamètre

510 066 *.60 = 306040 kilomètres cubes : volume d'eau correspondant à une élévation d'un mètre du niveau des océans (à la très grosse louche)

la superficie de la france étant de 551 695 km²; c'est l'équivalent d'une épaisseur de 693 m de glace sur l'ensemble du territoire français...

au delà d'un mètre, tout va plus vite...et de toute manière, il n'y aura jamais assez d'anis...

mon oeuil !..




la poésie, c'est plus beau quand c'est traduit...

La carte scolaire - c'est-à-dire l'affectation d'un élève dans un collège

ou un lycée correspondant à son lieu de résidence - a été créée il y a

plus de quarante ans
dans un passé révolu, pour une École qui n'a plus rien à voir avec celle d'aujourd'hui n'était pas infestée de pauvres et d'étrangers.



Régulièrement contournée, elle n'assure plus

l'égalité des chances
ne remplis plus son rôle et ne répond plus peut plus répondre aux attentes des familles.



C'est pourquoi, Xavier Darcos, ministre de l'Éducation nationale, a

souhaité instaurer supprimé une règle plus très claire, qui s'imposera de la même

façon à toutes les
permettra aux familles plus aisés : dès la rentrée 2007, de d'y faire échapper davantage d'élèves pourront ils pourront s'inscrire dans un établissement hors de leur secteur, dans la limite mesure où des places disponibles leur seront réservées par leur réseau de connaissance. Il s'agit de donner une liberté nouvelle toute particulière aux familles plus aisés d'échapper à tout en renforçant la diversité sociale et géographique au niveau de chaque établissement établissement de seconde zone.





Bien évidemment, cet assouplissement magouille ne modifie en rien le droit l'incapacité pour une famille une famille modeste d'inscrire son enfant dans ailleurs que dans l'établissement de son secteur.

12/06/2007

un peu de poésie...

À la rentrée 2007, une liberté nouvelle est donnée aux familles dans le choix du collège ou du lycée de leur enfant

La
carte scolaire - c'est-à-dire l'affectation d'un élève dans un collège
ou un lycée correspondant à son lieu de résidence - a été créée il y a
plus de quarante ans, pour une École qui n'a plus rien à voir avec
celle d'aujourd'hui. Régulièrement contournée, elle n'assure plus
l'égalité des chances et ne répond plus aux attentes des familles.
C'est pourquoi, Xavier Darcos, ministre de l'Éducation nationale, a
souhaité instaurer une règle plus claire, qui s'imposera de la même
façon à toutes les familles : dès la rentrée 2007, davantage d'élèves
pourront s'inscrire dans un établissement hors de leur secteur, dans la
limite des places disponibles. Il s'agit de donner une liberté nouvelle
aux familles tout en renforçant la diversité sociale et géographique au
niveau de chaque établissement.

Bien évidemment, cet
assouplissement ne modifie en rien le droit pour une famille d'inscrire
son enfant dans l'établissement de son secteur.

allez vous faire foutre...

jouons le je...

Que gagnons-nous à travailler?





la question telle qu'elle est posée suppose qu'il existe un libre choix concernant l'activité travail.

or, le plus souvent, l'individu moyen est contraint au travail par la nécessité : nécessité de subvenir à ses besoins élémentaires, nécessité de se loger pour se protéger des éléments extérieurs, nécessité de se nourrir pour entretenir ses principes vitaux, nécessité de se vêtir pour affronter le consensus moral de la société; nécessité toujours et encore qui oblige la plupart des individus des sociétés occidentales à passer par les fourches caudines du travail.



le travail par lui même, oblige l'individu à une nécessaire subordination à ses exigences.



il se place donc sous le signe distinctif de la nécessité, oblitérant le libre choix réel: le choix du non travail pour un individu restant subordonné, dans la plupart du temps, en l'absence de moyens de subsistances propres (issus eux mêmes du travail de générations précédentes : l'argent ne se reproduisant pas sui généri), aux surplus distributifs d'une frange d'actifs, eux mêmes assujettis à la valeur travail. le non travail en l'absence de ressources personnelles, est donc un luxe que permet le monde organisé du travail à une petite frange de la population.

mais ce luxe est chèrement payé par l'obligation perpétuellement renouvelée de se mettre au pas et de rentrer dans le rang de la masse laborieuse (celle qui se consacre au travail).

de fait, nous ne gagnons à travailler que le moyen de nous subsister dans un confort plus ou moins grand et dans des conditions plus ou moins propices.

mais ce moyen n'est pas égalitaire et bien souvent ne permets pas même à ceux qui l'exercent de s'assurer un niveau de vie qui puisse être considéré comme décent.

dans un absolu où les moyens de subsistance seraient assujettis à chacun selon ses simples besoins, le travail n'aurait aucune raison d'être et en tant qu'individus en formation permanente, nous n'aurions rien à y gagner.



le travail est dispendieux en temps, il dévore à chaque jour, un tiers du temps de vie de l'individu qui s'y emploie, il est dispendieux en effort, parfois même aliénant, source de drames individuels, autant moraux que physiques.



le travail tel que l'économie le dicte est une incongruité: il est avilissant, polluant, créateur de faux besoins, déstructureur de liens sociaux, source inépuisable de stress et de conflits, générateur de maladies.

il est donc pour l'essentiel de ceux qui l'exercent, la représentation de la nécessité.



et si l'on se place dans une perspective épicurienne, il n'est pas nécessaire de vivre sous l'empire de la nécessité. en conséquence, un être humain normalement constitué, n'a rien à gagner au travail, sinon la satisfaction factice d'une malsaine compétition avec ses voisins.

par contre, l'exercice d'une activité, choisie, détachée des contingentements financiers qu'implique le "travail", pris dans son sens étymologique est un bien souverain pour l'individu qui l'exerce, c'est même un besoin vital, une triviale nécessité, difficile de considérer quelqu'un ne faisant strictement rien.



d'ailleurs, le temps de loisir que nous arrachons si difficilement au temps de travail, attaché au pieu qui nous contraint, n'est il pas la stricte application d'une activité pleinement choisie, et n'en exerçons nous pas la pleine et entière jouissance à chaque fois qu'il nous en est permis.



en conclusion, l'homme travailleur, perd le plus souvent sa vie à la gagner et en considérant selon la doxa admise que le temps c'est de l'argent, c'est le contenu de sa propre vie qu'il dépense inconsidérément et qu'il laisse échapper en la sacrifiant au travail.











tableau noir...

11/06/2007

G8 GRAMMES...


ça transpire sec...

la droite décomplèxée, c'est quelque chose...

trouvé sur le site du ministère du logement : ici



JE SUIS PROPRIETAIRE


- Quel est mon intérêt ?

-J'ai la garantie d'encaisser mes loyers qui permettent de rembourser mes emprunts

ALORS, QUI PAYE LA CONSTRUCTION LOCATIVE ?..

cul tanné...

Le Garde des sceaux souhaite faire part de son

émotion devant un acte très choquant et assure l’ensemble des

magistrats et des fonctionnaires de son entier soutien.



Message du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice à l’ensemble des magistrats et fonctionnaires du ministère de la Justice



Rachida DatiJ’ai

été avisée ce matin d’une agression d’une exceptionnelle gravité

commise à l’encontre de M. Jacques NORIS, vice-président chargé des

fonctions de juge des enfants au tribunal de grande instance de Metz.

J’exprime à ce magistrat toute ma sympathie et mes souhaits de prompt rétablissement.



Je tiens en cette circonstance à faire part à l’ensemble des magistrats

et fonctionnaires du ministère de la Justice de mon total soutien.

De

telles atteintes aux personnes qui travaillent au quotidien dans des

conditions difficiles sont intolérables. Elles nuisent à la sérénité

qui doit présider à l’activité judiciaire.

Je ne les tolérerai pas.



Je demanderai prochainement aux parquets d’apporter à ces faits une

réponse pénale systématique et empreinte de la plus grande fermeté.



J’ai aujourd’hui même demandé à Monsieur l’Inspecteur Général des

Services Judiciaires de déterminer les circonstances dans lesquelles

une agression d’une telle gravité a pu se produire dans une enceinte

judiciaire, et de me dresser sans délai un bilan de la mise en œuvre

du plan d’action pour la sûreté des juridictions.

J’ai décidé de

prendre des mesures immédiates pour améliorer la sécurité des palais de

Justice, et je débloquerai dans les tout prochains jours les moyens

financiers nécessaires.

Votre sécurité constitue pour moi un impératif absolu.

Soyez assurés que je serai toujours à vos côtés dans ces moments difficiles pour l’ensemble des personnels de la Justice.

Rachida Dati









pour mémoire : l'auteure des faits a été internée en hôpital psychiatrique après son interpellation pour cause de comportement irrationnel (en dehors de l'emprise de la raison)...



ce qui me parait choquant, dans cette déclaration, c'est l'utilisation du mot "émotion", je croyais bizarrement que la justice se devait en priorité de s'exonérer de l'émotion pour juger des faits et uniquement eux, dans leur contexte...mais ne me faire pas dire ce que je n'ai pas dit, j'exprime mes regrets les plus affligés de voir un magistrat victime d'une attaque menée par personne ayant agi en dehors de l'emprise de sa raison et je lui fait part de ma plus grande compassion en tant que victime...





extrait...

auteurs de délit par catégorie et origine...
pour tordre le cou à la rumeur que l'insécurité est le fait des étrangers...

extrait des statistiques du ministère de l'intérieur...

à venir

cadeau pour le toutologue...



sinon, ça n'a rien d'un cadeau, c'est la dernière invention des têtes de con technocratiques qui s'occupent de l'écologie mondiale...

faire un catalogue de la biodiversité...

à terme, dix ans de travail, 300 millions de pages à scanner, l'encyclopédie exhaustive de la vie sur terre : de quoi pleurer quand tout aura disparu...



et la bénédiction du G8, comme grande cause écologique, comme quoi il est toujours plus facile de faire des listes que de se battre dans la réalité...



un peu comme montrer les photos de billets de banque à un miséreux...

six gnons...

à défaut d'aller voter, apprenez donc à signer maintenant...

10/06/2007

con cul rance...

ARRET DU PROCESSUS DE LIBERALISATION
L’ELECTRICITE ET LE GAZ NE SONT PAS DES MARCHANDISES

Ce sont des biens de première nécessité qui relèvent du service public
et ne doivent pas être livrés à la loi de la concurrence.
POURTANT , LE 1ER JUILLET 2007 , TOUS LES PARTICULIERS AURONT « LA
LIBERTE DE CHOISIR LEUR FOURNISSEUR D’ELECTRICITE ET DE GAZ EN FAISANT
JOUER LA CONCURRENCE»
Là où il a été mis en place, le marché concurrentiel de l’électricité a
entrainé de graves dysfonctionnements : pannes et coupures de courant en
Californie, Grande-Bretagne, Italie, Espagne et récemment une coupure en
cascade qui a touché plus de 10 millions de foyers européens ;
sous-investissements chroniques dans les moyens de production. Le marché
est inapte à garantir la sécurité d’approvisionnement à long terme : en
l’absence de visibilité sur l’évolution des prix et des parts de marché,
les producteurs ne sont pas incités à faire les investissements nécessaires.

NON A LA SUPPRESSION DES TARIFS REGULES DU SERVICE PUBLIC POUR LES
PARTICULIERS
La loi du 7 décembre 2006 poursuit la transposition en droit français
des directives européennes de libéralisation de l’électricité et du gaz.
Cette loi programme , de fait, la disparition progressive pour les
particuliers des tarifs régulés du service public, pour y substituer les
prix du marché, calés sur des évolutions spéculatives des bourses de
l’électricité et du gaz.
Or, pour les entreprises qui, en France, se sont laissé séduire par les
offres alléchantes ( mais non durables ) du « marché dérégulé » et ont
abandonné les tarifs régulés (l’abandon est irréversible !) les factures
ont flambé de 76% en moyenne en 5 ans.
De même, les prix du « marché dérégulé » ont augmenté , entre 2001 et
2006, de 39% en Espagne, 49% en Allemagne , 81% au Royaume Uni, 92% au
Danemark.

QUE CE SOIT POUR LES ENTREPRISES OU POUR LES CITOYENS,
DE TELLES EVOLUTIONS SONT INACCEPTABLES.
LE DROIT A L’ENERGIE REPOSE SUR DES FONDEMENTS QUI NE PEUVENT ETRE
DEFINIS PAR LA LOI DU PROFIT
Nous demandons :
- La reconnaissance du droit universel d’accès à l’énergie
- Le maintien des tarifs régulés, sous contrôle démocratique, qui
garantissent l’égalité de traitement entre usagers et permettent l’accès
de tous à l’électricité ,
- L’arrêt du processus de libéralisation du secteur électrique : remise
en cause des directives européennes et notamment la suppression de
l’étape du 1er juillet
- L’ouverture de négociations européennes afin de définir par un débat
public les choix de politique énergétique et les missions de service public.
Nous demandons aux candidats aux élections législatives de se prononcer
sur ces différents points.
Le tarif public en danger !
Que le tarif régulé d’EDF soit très largement en dessous des prix dits
libres constitue un obstacle de taille au développement du marché : les
particuliers ne s’y aventureront pas spontanément.
La solution libérale consiste donc à les y pousser en supprimant,
doucement mais sûrement , le tarif régulé.
La raison invoquée est que la persistance de tarifs régulés « prive les
clients du libre choix du fournisseur » et nuit « à la concurrence qui
est le seul moyen de faire baisser les prix » !
La loi de décembre 2006 organise la disparition des tarifs régulés : ils
ne pourront bénéficier aux particuliers qui emménageront dans un
logement dont les propriétaires y auront déjà renoncé. Enfin, ils ne
devaient plus pouvoir exister dans le cas de logements neufs : la loi
sur « le droit opposable au logement » de mars 2007 revient sur cette
dernière disposition en permettant que les logements neufs bénéficient
des tarifs réglementés de l’électricité jusqu’au 1er juillet 2010. Ce
n’est qu’un report et il ne vaut que pour l’électricité pas pour le gaz.

Signez la pétition unitaire à l’adresse : www.petition-elecgaz.org/