30/10/2008

géant vert...

sur les genoux, tout seul, poum, par terre!...
malgré les milliards dont on charge les fourneaux, le monde capitaliste continue de tomber...
tout seul, sans ennemi et il continue jusque là à nous dire qu'un monde social ne peut exister...

il le faudra bien, pourtant, sauf à vouloir revenir sur un monde féodal, fermé sur lui même, clos, hostile aux autres, en route vers la guerre...

nous avions encore le choix, hier (il y a un peu plus d'un an) de revenir à une vision du monde décroissante (le graphe du billet de dessous nous montre qu'en matière de finance, il y avait de la marge décroissante), plutôt que récessionniste...on nous disait alors que la décroissance, c'était le retour à la bougie, aux archaïsmes, à l'antiquité; vous allez bientôt avoir le loisir de voir vers quoi vous mènera un monde en quête absolue de croissance... vous saurez qui vous a menti...

mais vous oublierez en quête d'un sauveur miraculeux et charismatique et vous trouverez toujours sur votre route un petit caporal pour faire son pronunciamiento...
d'autant plus que le petit caporal est déjà là, qu'il n'a pas peur de faire promouvoir des lois d'exception; il ne lui reste plus qu'à faire bruler les livres...
une chose est certaine, c'est qu'il y aura toujours des exécuteurs des basses œuvres pour se mettre au service des causes les plus nauséeuses; en d'autres termes, les bras pour manipuler les bâtons ne vont pas manquer, mais vous serez encore la cible...

en attendant on n'en finit pas d'entendre tomber le géant mort...

29/10/2008

pro excès...

"je préfère l'excès de caricature à l'absence de caricature..."
la preuve que non, à moins que ce jugement ne s'applique qu'au coran...
les juges, eux ont de la mémoire, à moins qu'ils ne soient qu'en colère...
ce qui n'est guère mieux pour un juge que d'être sans vergogne pour un président...

vertige haineux...

on n'a que le crach de 29 comme élément de vrai comparaison sur ce que peut devenir cette crise financière...
et partout on entend dire: "on peut pas comparer, le contexte est différent"...

j'ai comme une petite impression en voyant le graphe publié dans le monde diplomatique de novembre, qu'il vaudrait mieux dire dorénavant :
- sans comparaison !..


double cliquez sur l'image pour l'agrandir, c'est instructif...

28/10/2008

la coupe est pleine pour ne pas dire "ras la ciste"...

faut se rendre à l'évidence, en lisant les commentaires de cet article, on se rend bien compte qu'il n'y a pas que la police qui n'aime pas les arabes...

c'est peut être bien également pour celà que certains peuvent écrire sans trop se tromper que : "les jeunes de banlieues n'aiment pas la france"...
moi non plus je ne l'aime pas, cette france...

qu'est ce "tion"? parceque révolu, je sais...

quand je vois le grand nigaud gesticulant du site des jeunes UMP, "les révolutionnaires", je me demande quand même où ils arrivent à trouver les têtes d'affiche assez cons pour faire ça...
ils ont un élevage ou quoi ?...

à moins que le statut d'intermittent du spectacle oblige à faire n'importe quoi...

oui, je sais, mais je suis bien obligé de chercher les solutions les plus saugrenues, je ne peux pas croire que sœur emmanuelle ai pu se réincarner aussi vite...

moi aussi je rève qu'il évoluent...

putain, on a changé aussi le dictionnaire pendant la nuit du changement d'heure, c'est pas possible...
je comprends plus rien de ce qui se dit...

remarque, une révolution c'est un tour complet sur soi même, c'est normal alors que j'ai grande envie de serrer les fesses...

27/10/2008

exités...

quand j'étais plus jeune, les frères bogdanov présentaient à la télévision publique une émission intitulée "temps X", la présence de ce X à la place du t règlementaire quand on parle de la variable temps, me posait question...
voilà que les deux frères escrocs reviennent aux lueurs de l'étrange lucarne avec une émission encore plus kitch que temps X, et qui se veut scientifique cette fois (d'où son nom) : science X ...

ils ont bien fait, j'ai enfin compris pourquoi le X, c'est comme pour les films affublés du même indice, pour montrer aux téléspectateurs le caractère purement pornographique des images qui vont être montrées; racoleuses au possible, démagogiques et clairement pipeautées...

26/10/2008

coi...

à la question d'une journaliste :
- quel rôle pensez vous jouer dans l'histoire ?
G W BUSH répond en souriant de la naïveté de la question :
- dans l'histoire ? aucun, à ce moment là : dans l'histoire, nous serons tous morts depuis longtemps...

je ne suis même pas sur qu'on puisse en rire...

décomposition...

le grenelle de l'environnement, tout compte fait était beaucoup plus écologique qu'il n'y paraissait à première vue...

à peine plus d'un an après, tout a disparu : il était donc biodégradable...

24/10/2008

spectre oculaire...

Dieudonné: "Le baptème de mon fils était une performance artistique"

Il répond une interview à l’hebdo belge satirique le Pan: « Je cherchais (…) une idée pour faire connaître mon spectacle. (…) Ala naissance de mon fils, sa marraine, une personne très catholique, me dit : "Tu devrais le faire baptiser" (…) Je crois que l’idée de participer à cette provocation, plus artistique que politique, a motivé Le Pen. Faire réagir des médias en leur donnant un beefsteak piégé… »

voilà bien une curieuse idée de ce peut être un a-PEN-ing...

vanity, tout est vanity...

et vous, si vous deviez faire passer un pistolet, vous feriez comment ?...

pouffons, pouffons, heureux bouffons...

bien sur, on peut pas trouver moins glauque...
(les initiés apprécieront)...

peaux lisses contre peau noires...

et après on s'étonnera qu'ils soient à CRAN...

faites attention, citoyens, il existe une race d'hommes pour lesquels nous sommes tous des "négros"...

23/10/2008

troisième pouvoir...


si j'ai bien compris, et à l'encontre de leur ministre de tutelle,qui la voudrait moins juste, les juges souhaitent une justice moins juste...

lu chez eolas

(Sur l'air du “Déserteur ”)

Madame le Garde des Sceaux,
Je vous fais cette lettre
que vous lirez peut-être,
je veux vous dire deux mots.

Je viens de recevoir
la dernière circulaire
sur la carte judiciaire
et j’ai perdu l’espoir.

Madame le Garde des Sceaux,
je ne veux plus me taire,
d’être juge, je suis fier,
mais maintenant c’en est trop.

C’est pas pour vous fâcher
il faut que je vous dise
ma décision est prise
je vais tout raconter.

Depuis que je fais ce métier
j’en ai vu des réformes
et pas toujours les bonnes
je les ai appliquées.

Au service de la loi
Avec humilité,
avec humanité,
au service du droit.

Vous étiez magistrat,
avez-vous donc tout oublié ?
Le pouvoir vous a changé ?
Essayez de vous rappeler.

Un jour trop cléments
le lendemain trop sévères,
Pour vous un seul repère,
la presse et l’air du temps.

Paris-Match, Closer, Gala,
Sous toutes les coutures,
Êtes-vous vraiment sure,
que votre place est bien là ?

Justice et politique
ne font pas bon ménage,
Mais qui donc est victime,
Ce sont les justiciables !

Je suis magistrat,
Madame le Garde des Sceaux,
Pas votre ennemi juré,
mais je suis écœuré...

Si vous me poursuivez,
appelez vos gendarmes,
mais rappelez-vous Madame,
Nous sommes des milliers.

21/10/2008

futur...


cette fois c'est sur, les bogdanof sont allés trop loin...

mon dieu !..

Sœur Emmanuelle «n'aimait pas» Carla Bruni-Sarkozy

Lors de sa dernière interview, accordée à Bel-RTL (la RTL belge), Sœur Emmanuelle confiait qu'elle n'«aimait pas» Carla Bruni. Et affichait sa préférence pour Cécilia...


c'est bien la preuve que la proximité de la porte du paradis n'empêche pas de dire des conneries...

17/10/2008

os court, il n'y a plus rien à ronger...

je viens de vivre un truc inouï :

à cause de la crise financière et du déficit du crédit qui s'est mis en place depuis environ six mois, l'entreprise dans laquelle je bosse (liée à l'aménagement et à la propriété foncière) connait un net recul d'activité, les ventes de terrain et les projets ne sortant plus...

en conséquence, après avoir un peu tiré la langue, les associés ont décidé au vu des prévisions du bilan de fin d'année, de dégraisser un peu la marmite : bilan sur un effectif global d'une cinquantaine de personnes, trois licenciements pour cause économique, suppression des tickets restaurants, du plan épargne entreprise (PEE)...

le plan épargne entreprise autant dire que j'en ai rien à foutre, j'avais déjà eu l'occasion de les renvoyer à leurs dossiers, quand ils m'ont proposé d'abonder, en leur disant que ma conception du monde me l'interdisait...

les tickets restaurants, ceux qui me connaissent savent que j'ai toujours considéré ça comme de la monnaie de singe...

pour les trois licenciements, j'ai trouvé que vu l'ampleur de la catastrophe qui arrive (telle que je me l'imagine), c'était toujours un petit répit de gagné, sans pour autant bondir de joie...

et bien , de manière quasi unanime, les employés de ma boite, à de rares exceptions près, se sont énervés en disant que les mesures n'étaient pas suffisantes pour gérer le long terme (je traduits) et que les patrons s'ils étaient responsables devaient en foutre plus à la porte...

au secours, expliquez moi donc ça, si vous le pouvez, c'est au delà de ce que je peux comprendre... même imaginer...

à ce train là, le fond risque d'être très loin, très profond, si c'est les patrons qui doivent prôner la modération dans le dégraissage...
à moins que le fait d'avoir un PEE rende con...


supprimons agréablement la faim dans le monde..

"Pour régler le problème de la surpopulation, il faut rendre  l'orgasme féminin indispensable à la reproduction"

didier super

14/10/2008

baudruches...

délit d'opinion...


allez, les gars, vous inquiétez pas comme ça...

320 milliards c'est pas très grave...
ça se trouve facilement, ça se rembourse aussi facilement...
il existe un outil financier pour ça...
son nom?...

inflation

grâce à lui, il te faut une brouette de billets pour aller chercher le pain et il a un effet d'érosion sur la monnaie, considérable...
il te transforme 320 milliards en la valeur de dix années de smig, comme qui rigole (voyez en allemagne en 33). le timbre à 2 millions...pas mal!..

l'avantage : si t'es sur endetté, ta dette fond comme beurre au soleil, les emprunts anciens te coutent peanuts...he oui, tu rembourse des montants et pas des valeurs constantes...

tu rembourse une maison avec un timbre, amusant, non...
c'est comme celà que se soldent les très grandes crises financières, du moins la seule qu'on ait connu...
bon, après faut faire une bonne guerre : c'est le problème...
et puis t'a maison qui t'as couté un timbre, elle est détruite (à cause de la guerre) et il te faut bien reprendre un crédit pour la reconstruire...c'est dommage qu'il faille faire la guerre après, mais que voulez vous il faut bien réenrichir les anciens riches en produisant, des chars, des obus, un pays à reconstruire...

c'est quand même bien foutu, l'économie, quand on y pense...

mort du crédit...

bientôt la toussaint, on nous y servira certainement la crise en thème...

comment prendre les gants pour des cons...


ayez confiance...
nous sommes cinq serres...

escamoteurs...

et la vidéo l'explique tellement mieux...

prenez un siège, la vidéo est longue et fait un peu peur...

comment on nous traite (à 90 jours)...



en fait, la crise n'existe pas, elle est le fruit d'une raréfaction des liquidités due au manque de confiance des opérateurs financiers sur la valeur des titres avec lesquels ils jouent...

chaque euro (dollar ou pépette) mis en dépôt dans une banque est engagé dans une spirale de prêts successifs, engagé à minima pour 12 euros prêtés (encore que ce rapport soit considéré comme une marque de gestion prudente)...
et l'actif de la banque est comptabilisé à 13 (12 +1)...
autant dire que quand le remboursement des 12 prêtés s'assèche, c'est dur pour le petit euro réel de lutter armé de ses seuls petits poings...
d'autant que les 12, pensés comme de l'actif on fait des petits entre temps et se sont multipliés par douze eux aussi... ainsi s'écroule la grande pyramide (quelle idée aussi de bâtir une pyramide sur son plus petit bout...
j'avais essayé d'expliquer ça en aout 2007, ici même...

13/10/2008

pendeloques...

qu'ils arrêtent de nous casser les couilles et qu'on leur coupe les bourses (mondiales)...

y a pas de quoi rire...

jour d'humour...

j'ai pensé à une stratégie pour gagner : kho-lanta...
oui, vous avez bien lu, l'émission où l'on vous présente des aventuriers qui crèvent la dalle avachis comme des merdes sur le sable...

en gros, il y a seize pelos, divisés en deux équipes de huit (les jaunes et les rouges)...

le principe de la stratégie est d'une simplicité enfantine et c'est pourquoi tous ceux à qui j'en ai parlé m'ont dit qu'elle ne pouvait pas fonctionner...

pour avoir la majorité de blocage sur un vote à seize personnes divisées en deux équipes, il suffit d'être quatre...
cool, c'est justement le nombre de candidats à la course d'orientation, avant l'épreuve des poteaux...

le premier gagne 100 000 euros, le second 10 000 euros, et les autres le droit à être reconnus...
total, il y a 110 000 euros à gagner... partagé en quatre, ça fait 27 500 euros...
et quatre chances sur quatre d'en être...
statistiquement parlant, les chances supplémentaires sont considérables, par rapport à 1/16...

le truc c'est de trouver dès le début du jeu, trois candidats dans son équipe (plutôt dans les moyens ou sachant qu'ils n'iront pas bien loin) et de passer un deal de confiance sans faille avec eux sachant que le montant de ce deal rapporte 27 500 euros...
à partir de là plus besoin de se casser le fion, peu importe de gagner ou quoi ou caisse...
à la première élimination, tu te sert de ta majorité de blocage pour virer le moins apprécié, l'air de rien tu fais le strict minimum en dehors de l'organisation du camp, pour être confortable : à tous les conseils tu es protégé par tes trois potes qui lorgnent sur la cagnotte... tu t'arranges pour garder le plus fort de l'équipe assez longtemps pour qu'il t'aide à dégarnir l'équipe adverse et tu le" houste" avant la réunification...

à la réunification tu arrive avec tes trois petits copains, et tu n'en branle pas plus, tu as toujours cette putain de bonne planque derrière ta majorité de blocage, le seul petit détail, il faut arriver à foutre dehors les plus forts le plus vite possible (y en toujours un qu'aura pas l'immunité au bon moment et comme c'est toit et tes poteaux qui virez qui vous voulez)...

la combine consiste à rester quatre ensemble au moment de la course d'orientation, avec un peu de finesse, c'est jouable, d'autant que tu te sera chouchouté au camp et jamais fatigué dans les épreuves avant...

peu importe qui est sélectionné à la course d'orientation, c'est qq de chez toi, tion équipe solidaire...
tu tires à la courte parmi les trois restants pour savoir qui gagne les poteaux et qui il sélectionera pour le vote final, les deux perdants se jettent à l'eau à la deuxième minute, les poteaux sont pliès sans se fatiguer en 120 secondes...

le gagnant de toute manière est obligé de choisir un colistier qui peur être désigné par le jury final, il peut pas faire marron les autres du fait qu'ils se sont jetés à l'eau intentionellement et tu peux le discréditer au moment du vote, sur sa duplicité...
peu importe qui est retenu puisque t'arrives à la fin avec un des quatres et qu'il te reste plus qu'a partager honnétement le magot...

et bien, figurez vous que c'est là que tout bascule, ce plan imparable sur le papier ne tiens que par la fidélité à un engagement de départ et à la volonté de rester solidaire jusqu'au dernier moment; en clair d'échapper pour le premier et le second à la tentation : de tout garder et allez chier!..

quand on vous dit que l'homme est con...
d'autant que ça t'aurais une gueule, à TF1 de leur expliquer par l'exemple, en pleine émmission, qu'il y a plus à gagner en collaborant qu'en tirant chacun pour sa peau, qu'en plus il n'y a pas a se casser le cul plus que nécessaire, et les quatre gaziers qui feraient ça resteraient surement dans les annales de la télé un moment...



l'ami lisse...

après les rafles...
après les ministres à vichy...
après la négation de l'histoire...

on aurait pu croire qu'il ne manquait que la milice... même pas...

12/10/2008

rebondis bourgeois...

je ne peux pas arriver à m'ôter de la tête que les tenants du libéralisme tel qu'il se pratique actuellement ne croient en la prégnance de l'état que dès lors qu'il s'agit de taper sur la tête des moins riches ou de leur faire le fond des poches...

de leur ôter toute forme et tout moyen de solidarité réciproque, en quelque sorte et par rebond...

des ponts pas des murs...

en matière de politique d'immigration, ce qui s'applique actuellement, c'est une politique du murs, sans intention de bâtir de ponts...

tout simplement parce que les ponts sont plus compliqués à édifier que les murs...
qu'ils demandent d'être planifiés et pas simplement mis en plan...
parce qu'aussi les murs servent à y enfermer ceux qui sont à l'intérieur (ils ont cet énorme avantage de fonctionner dans les deux sens), bien qu'on nous contraigne à ne regarder que dans un seul...

étonnant de constater que la même idéologie qui s'est appliquée à les faire tomber, s'attèle avec le même zèle à les reconstruire ailleurs... il n'y a en somme que la misère qui ait changé de camp... les murs d'aujourd'hui contraignent la misére générée par la gestion libérale du monde...

j'ai pas de conseil à donner aux africains, mais si j'étais eux, au lieu de m'acharner à vouloir passer à tout prix, je mettrais un pouvoir communiste en place en afrique ( même si ça peut paraitre bénin) et les portes de l'occident leur seraient alors grandes ouvertes...

raccourci...


sur la pancarte :
un militaire externalisé: c'est un mercenaire
un civil de la défense externalisé : c'est un sans emploi


outre le fait que c'est faux, parce que "l'externalisé" n'est pas sans emploi et que ça fait un partout, le statut en moins favorable...
on peut par un saisissant raccourci exprimer l'idée sous tendue de la manière suivante :

- y a rien de mieux qu'une guerre pour lutter contr'el chômage, mâme martin...

des conneries pareilles, à l'orée de la crise financière qui nous dégringole sur le nez, ça peut quand même mener loin, faut le savoir à l'avance... et le sourire de la grosse mémère FOsienne il risque de passer à la gomme à effacer les sourires...

je suis railleur, je vois le mal partout, même en vélo...

le vélo électrique...
ben, moi, je reste septique...

outre que le sur poids existe bel et bien et qu'il te faut pédaler plus pour le compenser (même si certain te diront que l'assistance électrique y supplée, ce qui reviens à dire que le mouvement perpétuel à été découvert...), l'énergie récupérée par les freinages (dans ce cas je suppose que le générateur fait office de frein magnétique [système telma], sinon, je vois pas...) est (sauf en pays de descente et uniquement de descente) marginale; en effet, il me semble qu'en vélo (du simple fait de la déperdition d'énergie due aux pièces en mouvement), on passe plus de temps à pédaler qu'à freiner...

donc, je m'interroge pour savoir si cet artifice là, n'est pas fait pour faire passer (en douce), la pilule amère des piles dont la recharge principale se fait à l'électricité nucléaire ou thermique (sale, donc)...

les esprits chagrins me diront qu'il existe des trajets tout en descente, certes, mais le soir pour rentrer chez toi t'es bien obligé de remonter un peu, non? à moins de rentrer en bus ou en train; et là, la nécessité de recharger les piles, à plus forte raison de les transporter sur le vélo, voilou...

quand à faire basculer la terre pour assurer la descente au retour, c'est Eisher ...

d'un autre coté s'il faut ça pour mettre au vélo les bobos en 4x4 ...
y a pas de mal a couillonner les cons...

"Pratique, non ? Surtout si l’on considère qu’une telle approche permet d’envisager de motoriser pratiquement n’importe quel vélo existant." c'est comme cette blague de penser que les fourches seront assez larges pour y faire passer l'engin de la photo, alors que t'as déjà du mal dans certains cas à adapter un plateau supplémentaire à ton dérailleur...

la route est longue...



je suis quand même pas rentré chez moi...

ça marche plutôt mal...

ça peut aider...

contre les bannières de pub :
bannissons la pub...


ça marche plutôt bien...

11/10/2008

répétiteurs...

même les meilleurs d'entre nous perdent un peu la tête devant les mathématiques, surtout quand la science de l'embrouille consiste à rendre tout compliqué...

lisez donc l'article suivant et revenez ici lire la suite...

l'indice VIX donne donc tendanciellement, à trente jours, la fluctuation de l'indice boursier...
et cet outil éprouvé est considéré comme performant, courbes à l'appui...

que recouvre t'il, cet indice : l'analyse du marché à option (pronostics sur des prévisions de hausse ou de baisse; à trente jours).
et sur ce marché à option, qui y joue ?
les mêmes qui jouent sur les valeurs, ou du moins tous ceux dont les mouvements sont significatifs (assez pour qu'ils soient majoritaires et représentatifs en terme de tendance)...

en gros les prédicteurs sont eux même les acteurs de la prédiction, outre le décalage de temps (trois mois et les évènements qui s'y insinuent)...
une fois ces préalables assimilés, on comprendra aisément que l'indice VIX suive en négatif (en miroir) la courbe de l'indice boursier... le contraire serait même plutôt alarmant...
celà n'en fait toutefois pas un indice d'une si profonde et définitive analyse prédictive, puisque il n'est somme toute que trois mois après, la vérification d'un état que l'analyse de l'indice boursier permet aussi de conclure (il suffit d'en changer le signe)...
or, puisqu'on peut en comparer la courbe à celle de l'indice VIX, c'est que cette analyse existe déjà, pourquoi, alors la rendre redondante, sinon à vouloir compliquer les choses et paraitre les justifier par la science la plus dure, alors qu'il ne s'agit en fait que d'une vulgaire tautologie (et non pas totologie, quoi que, à y bien penser...)...

énorme...

on croit toujours, que le seuil d'exposition fixé par la norme est le seuil de dangerosité, au delà duquel le produit deviens dangereux...
pas du tout, c'est simplement le seuil acceptable déterminé par la norme, au delà duquel la loi interdit d'aller...

mais pour fixer ce seuil, comment fait on ?
ou plutôt comment est faite la norme ?

et bien au moment d'écrire une norme, les meilleurs spécialistes de la question sont réunis en temps qu'experts pour définir les obligations auxquelles celle ci contraindra...
et à votre avis, qui sont les meilleurs experts d'un sujet ou d'une production, avant que ceux ci fasse l'objet d'une norme ?..
et bien oui, ceux qui fabrique ce produit ou utilise et mettent en oeuvre le sujet concerné par la norme...

la norme est faite par ceux qui y seront contraints, à la différence près qu'une norme ne peut contrevenir à une norme existante...

c'est vous dire , une fois celle ci établie, jusqu'où peuvent aller ceux qui ne s'y soumettent pas...

lu dans un vieil article de courrier international...

A en juger par leur comportement de ces derniers temps, les maisons de disques ont l'air
de penser que, pour assurer la survie de la civilisation, il faut terroriser des internautes adeptes des réseaux d'échange de musique en ligne. Traîner ses clients devant les tribunaux ne produit
pas un modèle de développement viable pour une entreprise, comme le confirme ce petit rappel historique. Jusqu'aux inventions de Thomas Edison, la plus grande part de l'activité culturelle
humaine n'était pas assimilée à une propriété intellectuelle. Au XIX siècle, le droit d'auteur américain, en tant que moyen de protéger les éditeurs sous prétexte de protéger les auteurs, ne concernait que les oeuvres imprimées. La révolution d'Edison a rendu possible, l'enregistrement de musique et d'images et du même coup l'application de la notion de "propriété" aux formes de
création incorporelles incarnées par les nouveaux supports physiques qu'étaient le disque phonographique et le film cinématographique. Mais la notion de "propriété" telle qu'elle
avait cours à l'ère d'Edison n'est plus valable à l'ère d'Internet. Car le consensus moral sur lequel reposait l'idée de propriété intellectuelle a volé en éclats, remettant à l'ordre du jour une ancienne critique formulée contre cette propriété. La qualité parfaite de la copie numérique et le coût nul de la distribution électronique obligent à se poser à nouveau la question suivante :
s'il est possible de fournir à tous les habitants de la planète un exemplaire de n'importe quelle oeuvre numérique esthétique ou utilitaire - à un prix équivalent à celui du premier exemplaire, en quoi est-ce moral de priver qui que ce soit de quoi que ce soit? Si nous pouvions multiplier les
pains et les poissons en appuyant sur un bouton, il serait immoral de faire payer la nourriture plus cher que ce que certains ont les moyens de débourser. Pour se maintenir en place, les intermédiaires cherchent à nous faire croire que, sans leur combat pour faire cesser l'échange
de fichiers, les artistes mourraient de faim. En réalité, les musiciens et autres artistes se portaient très bien avant qu'Edison ne transforme la culture en biens de consommation. Le public et les artistes n'ont plus besoin des intermédiaires. Ces derniers ont perdu leur raison
d'être, et ils cherchent à se maintenir par la force. Mais ça ne marchera pas.
Ils peuvent intenter un procès à quelques personnes de temps en temps, mais ils ne pourront pas attaquer en justice tout le monde en permanence.

Eben MogIen

-

le monde semeur...


pardon, fauché...
mais toujours marteau...


le reste des dessins ici...

10/10/2008

les perles aux cochons...

pendant la crise, les conneries continuent...

jugeons nous mêmes...

quelques petites statistiques sur la justice et son budget de fonctionnement...

vous en concluez quoi, vous?


moi je dis que la Norvège est un pays riche,
et si je voulais être méchant : que même en matière de justice, c'est après la France, chez les grecs qu'on se fait le mieux enculer, à moins que les juges y soient très mal rémunérés...

lése poires...

je ne sais pas très bien comment le présenter, ni si le raisonnement est valide...
mais je vais essayer : la crise financière pourrait être la dernière entourloupe du monde financier...
la spéculation tenterais de faire glisser le secteur à risque propre à la bourse ou aux mécanismes de marché, vers une sécurité de l'investissement par le cautionnement de l'état...

le rachat par l'état des dettes du capitalisme, même par capitalisation (nationalisation), ne serait que le moyen d'augmenter le volume des lignes d'emprunt des dit états, placements consolidés et sans risques pour les financiers puisque par définition, un état ne peut être mis en faillite...

la consolidation par les fonds propres de l'état (même virtuels, puisque les états et les banques centrales n'injectent pas réellement ces fonds, mais ouvrent des lignes de crédit à hauteur des sommes requises) permettant en réalité le transfert de risque et assurant la garantie de revenus financiers (rendements des prêts obligataires) surs...

le risque d'emballement de la crise fiduciaire (contagion à la masse monétaire réelle) risque d'entrainer le même genre de mesure que celles prises en argentine pour enrayer la crise des liquidités et du crédit (dans les années 2000), soit la consignation des comptes et livrets de l'ensemble de la population (qualifié du plus gros hold-up mondial)...

il me semble plus "logique", d'opérer cette consignation sur les vrais responsables de la crise...
en gelant tout simplement après inventaire des titres vérolés, l'ensemble des ventes et des cotations les concernant...
et d'obliger les détenteurs à les conserver le temps de la stabilisation, sur la base de leur valeur d'achat; ceux qui souhaiteraient s'en défaire pouvant les mettre en dépôt auprès de l'état sur la base d'une consignation à leur charge, sur le prix d'achat...
à charge pour eux le temps d'assumer les intérêts générés par leur titrisation...

en gros, pas de faillite autorisée, garantie sur les biens propres, sur les actifs et paiement du loyer de l'argent sur les sommes empruntées lors de l'achat... assumer ses actes, quoi, comme quand le clampain moyen fait une ligne de découvert à la banque... (appliquer le précepte selon lequel : pas vendu, pas perdu)...

mais c'est pas dans un pays socialiste qu'on risque de voir ça...

09/10/2008

un mars et ça repart...

quand tu penses que des expériences scientifiques existent pour "terraformer" des environnements hostiles et qu'à coté de ça, on déploie toute notre énergie à détruire le modèle original, il y a de quoi rire...

à défaut d'en pleurer, puisqu'il faut économiser l'eau...

et nous on les keynes parce que ce sont toutes des américaines...

y a plus de valeurs... fiduciaires!..

http://www.arhv.lhivic.org/index.php/2008/10/06/833-trop-peu-trop-tard

fin de série...

depuis quelque temps, on peut voir fleurir sur nos ondes radios ou télévisées, ainsi que dans les journaux, des rubriques dépensez moins, sous le titre générique (ou assimilé) de : votre pouvoir d'achat; ces rubriques ont en commun qu'elles prétendent vous faire faire des économies lors de vos achats ou dans vos modes de consommation...

en résumé, pour augmenter votre pouvoir d'achat : dépensez moins...

bien sur, si je vous avais dit pour aller plus loin, faites des petit pas, vous auriez ri...
mais l'idée de faire des économies pour augmenter votre pouvoir d'achat vous semble cohérente...

c'est juste de la novlang qui dit : serrez vous la ceinture en guise de pouvoir d'achat...

07/10/2008

au pas de l'oie...

Alerte antifasciste : Sarkozy & Darcos suppriment l'Histoire-Géo du tronc commun des lycéens.

Bonjour,

Le Journal du dimanche d'aujourd'hui 5 octobre 2008 annonce « en exclusivité » l'incroyable programme pour les lycées, applicable dès la rentrée 2009. « En juin prochain, le lycée d'aujourd'hui aura vécu. »

« Poussé par l'Elysée », le ministre Darcos va annoncer officiellement très prochainement trois révolutions jamais vues :

1 - Une réduction importante des horaires en lycée : 27 heures hebdomadaires au lieu de 28 à 35 (Ne dites pas que c'est pour accompagner les suppressions de postes de profs, ça ferait de la peine à TF1.)

2 - Une formule compliquée d'options (« modules exploratoires » ou d' « accompagnement ») qui aura l'originalité d'être à rythme semestriel, soit deux demi-années scolaires au lieu d'une, et donc la fin du groupe classe comme facteur de socialisation et de solidarité. C'est selon le propre aveu de Darcos le « lycée à la carte ». Il ne fera pas bon pour un professeur de s'être montré exigeant et trop peu démagogique au premier semestre, s'il veut retrouver des élèves candidats au module du seconde semestre... Autant faire noter les profs tout de suite par les élèves et les payer selon les résultats.

3 – Et pour finir, cette nouvelle inouïe. La suppression pure et simple de l'histoire-géographie du « tronc commun » obligatoire en première et en terminale. Certes, ce sera aussi le cas des maths, mais ceux-ci n'en souffriront pas, restant matière dominante à sélection pour la filière Scientifique, hypocritement rebaptisée « dominante sciences » pour les futurs cadres de la société, tandis que la filière L deviendra « Humanité et arts ». (Au fait, pourquoi pas d's à « humanités » ? Une faute de frappe du Journal du Dimanche ? Mystère.)


Supprimer l'histoire géographie pour tous et toutes à partir de l'âge de 15 ans constitue une rupture majeure avec tous les siècles précédents d'humanisme scolaire, de l'Ancien régime jusqu'à nos jours.

Cette suppression pourrait permettre un jour à un gouvernement populiste et vichysto-compatible de...

... Célébrer Guy Môquet tout en faisant ignorer pourquoi est-il mort ;

... Réunir les ministres européens à Vichy (en novembre prochain ! Une première ! Une idée d'Hortefeu ! Les ministres européens en charge de... l'Immigration ! ) pour en finir enfin avec l'antifascisme culturel, avec le tabou vichyste et vichyssois, et faire oublier de quoi cette ville fut la capitale et le symbole ;

... Mieux faire admirer le colonialisme, le paternalisme et le cléricalisme d'antan tout en jetant pudiquement aux oubliettes des siècles de patients combats émancipateurs pour les droits humains, sociaux, démocratiques, féministes, etc ;

... Épargner aux sarkoboys l'apprentissage de tant de dates funestes et qui portent malheur : 1789, 1830, 1848, 1936, 1944, 1945...

... Esquiver trop de questions gênantes des géographes sur l'habitat humain, le climat, l'écologie, et le remodelage des paysages et de la planète par les flux financiers et mafieux ;

... Flatter les mémoires particulières et communautaristes pour mieux ruiner définitivement la culture historique commune, base de citoyenneté et du Vivre ensemble ;


Bref, il est quand même flatteur de comprendre que Sarkozy veut personnellement prendre soin de nos enfants.

Que, malgré tout, malgré l'intensif bourrage de crânes des médias aux ordres, Sarkozy nous trouve encore trop intelligents et cultivés, encore trop peu obscurantistes, encore trop peu oublieux des leçons de notre Histoire. Mais heureusement, Darcos est là.

06/10/2008

il est l'or de se réveiller...

un billion, que peut on faire avec un billion...

si on considère qu'une maison (comme les prêts subprime permettaient à leur occupants d'en acheter) coute la modique somme de, disons 300 000 dollars, ce qui est déjà acceptable.
un billion, c'est l'achat net de 3 000 000 de maisons...

quoi?, 3 millions de maisons à leur montant le plus élevé du marché, au moment où tout allait bien...

et c'est maintenant que cet argent est dépensé en pure perte, juste pour soutenir le système financier (même pas bancaire, financier...); alors qu'utilisé au moment du fléchissement des titres liés aux subprime, comme fonds de soutien aux acquéreurs, leur permettant de renégocier leur crédit subprime par le rachat pur et simple d'une partie de ce dernier qui devenait garanti par l'état, aurait permis au mieux de maintenir la valeur globale des titres (évitant l'éfondrement de leur cours, puisque les intérêts continuaient à être servis par l'état) et accessoirement le maintien dans les lieux de l'occupant titulaire du prêt (gelant ainsi la vente bradée des maisons qui a entrainé la dévalorisation de la rentabilité des prêts, puisque plus couverts par la valeur vénale du bien hypothéqué...

considérant que cette action du public aurait mécaniquement permi d'écarter la crise financière actuelle et le déficit de crédit qui y est lié, ou du moins de l'amortir de telle manière qu'elle n'ai été que l'explosion d'une bulle spéculative sans grosse importance, on est en droit de trouver purement criminel et irresponsable, le fait d'avoir laissé mettre à la rue un aussi grand nombre de personne, d'avoir laissé s'écrouler la valeur vénale de l'immobilier des classes défavorisés, d'avoir tenté de tirer des classes à faibles revenus des dividendes dignes des meilleurs rendements spéculatifs et au final de gaspiller en pure perte des sommes dont l'impact social aurait pu être mieux employé)...

la crainte d'utiliser de tels leviers au prétexte qu'il s'agit d'une entrave à la doctrine communément admise, ne fait que rajouter à la crasse bétise de cette dernière...

le néolibéralisme, pas plus que le capitalisme financier ne sont des des solutions inéluctables, ce sont essentiellement des choix politiques organisés et structurellement orchestrés...
ils ne relèvent d'aucun état naturel, la preuve en est qu'il faut des lois outrepassant souvent la simple volonté populaire pour en forcer la mise en oeuvre...

jusqu'au dernier de nos sous, si...

c'est l'histoire d'une fourmilière qui se trouve sur le passage d'un éléphant et régulièrement celui ci lors de son passage saccage tout...
un jour les fourmis en ont marre et décident d'attaquer l'éléphant pour le terrasser...

quand l'éléphant passe, les fourmis montent à l'assaut, l'attaque de toute part, le pique, le mordent, lui cuisent la peau de toute part... quand l'éléphant commence à trouver l'affaire un peu longue, il se secoue et envoie voler alentour toutes les fourmis, sauf une accrochée fermement à son cou...

voyant ça depuis le sol, l'ensemble des fourmis se met alors à l'encourager en criant : - étrangle le, ne lâche pas, serres, étrangle le...

c'est pas comme ça qu'on se débarrassera du capitalisme...

quand on manque de crédit, les banques nous retirent leur financement, maintenant que c'est elles qui sont à genoux, retirons nos sous...

bien sur je plaisante, mais c'est pourtant notre seule arme véritable...

contagion...

dans les années 80, alors que les boat people vietnamiens fuyaient le "communisme" en bateau, la marine française envoya ses bâtiments récupérer ces fuyards d'un genre nouveau afin de les accueillir sur notre territoire...

dans les années 2000, les marines nationales européennes déploient leur moyens de détection et leurs vedettes pour intercepter les africains qui tentent de fuir la misère à bord d'embarquations de fortune, pour les empêcher d'accoster en europe...

moralité : il semblerait que la misère est plus à craindre que le communisme...
sans doute est elle beaucoup plus contagieuse...

04/10/2008

rions ensemble...

con textuel...

"Au fond c'est une certaine idée de la mondialisation qui s’achève avec la fin du capitalisme
financier qui avait imposé sa logique à toute l’économie et avait contribué à la pervertir.
L’idée de la toute puissance du marché qui ne devait être contrarié par aucune règle, par aucune
intervention politique, cette idée de la toute puissance du marché était une idée folle.
L’idée que les marchés ont toujours raison est une idée folle."

si les fous eux mêmes en font le constat...

02/10/2008

au fond du compte...

bien souvent ce qu'on oublie du mythe de Cassandre, c'est qu'en définitive, elle avait raison...