30/03/2010
opérateurs de produits...
au point que nous soyons ravi de faire à merveille les tours quelle exige de nous...
on a lu SINE....
merci aux autres qui l'ont accompagné, qui nous ont accompagnés, amusés, secoués, qui ont fait durer la comédie aussi longtemps pour notre plaisir...
merci pour avoir fait mieux que les vignettes PANINNI, merci bob, grâce à toi j'ai enfin au moins une collec complète...
mes lectures impuissantes (2)
ma moquerie prouverait donc que je comprends et que j'adapte, bien plus qu'à tendre à le faire croire...
des camps?... pheu!...
bon, en moyenne, elles ne durent guère plus de cinq ans (14-18), (39-45) et on doit bien en avoir fait la moitie à l'heure qu'il est...
france, terre d'écueils...
29/03/2010
mes lectures impuissantes...
et si plus simplement, une certaine complexité, fille de la complication n'était qu'un des multiples moyen pour mimer le sérieux et tenter de se rendre indispensable en démontrant qu'on peut démêler ce qu'on a si savamment emberlificoté... la moquerie ne serait alors que la clé qui fait sauter le verrou de ce vernis sérieux...
27/03/2010
O..............................::**:
vous croyez que c'est la raison pour laquelle le climat social n'est pas aussi explosif qu'on s'y attend?..
26/03/2010
dans le cochon, tout est bon!..
Ainsi, Joseph Ratzinger, futur Pape Benoît XVI, n’hésitait pas à dire :
« Dans le christianisme, la rationalité est devenue religion. »
ben voyons, et la mère du christ elle est vierge?..
t'es moins (que rien)...
de refuser , qu’ils embarquent en douceur . Quand les retenus se réveillent, ils ont faim, mais, si on a passé l’heure du repas, il faut attendre le lendemain. Quand tu vas à l’infirmerie parce que tu as mal quelque part, l’infirmière te donne un somnifère. J’y suis allé pour un rhume, le comprimé qu’on m’a donné rend mou, tu baves, tu as la bouche pâteuse. C’est de la
morphine ou quoi ? 95 % des retenus sont drogués avec des cachetons. C’est normal, ça ? Il faut qu’à l’extérieur les gens sachent. Les nouveaux matelas, c’est de la pacotille. Sur
les couvertures, il y a marqué “pénitentiaire”, et elles sont dégueulasses. Je suis arrivé sans boutons, et maintenant j’en ai plein le visage… Et on entend qu’il y a des embrouilles
avec les flics. On n’est pas des criminels, on est juste en situation irrégulière. »
Il faut qu’à l’extérieur les gens sachent »
et de un
et de deux
et de trois
mon dieu, qu'il fait bon vivre en démocratie...
mon dieu, que le printemps est doux...
mon dieu, que le monde est beau...
nous, vous, cons d'anons...
le reflet de ma réflection...
et on voudrait nous faire croire que cette simple constatation de bon sens nécessite d'y réfléchir à deux fois afin d'échapper au mécanisme d'une réflexion (ou d'un réflexe) trop triviale...
c'est en quelque sorte admettre chez ceux qui s'en exonèrent, que le racisme est de l'ordre du premier réflexe... et pourquoi pas naturel, tant qu'on y est...
dans ta surface...
c'est pas parce qu'il n'y a pas de problèmes que les solutions n'existent pas...
ou pour les plus anxieux :
c'est pas parce qu'aucune question n'est pas posée qu'il n'y a pas pour autant d'interrogations...
les optimistes diront :
on ne reste pas sans réponses tant qu'on ne s'interroge pas...
autant dire que la situation n'est pas aussi simple (simpliste), que l'autre petit imbécile tend à la résumer, se contentant pour l'occasion d'une réponse de "surface", en plus d'être superficielle...
PS: à la relecture, je me demande ce qui a bien pu me pousser à écrire "pour l'occasion"...
18/03/2010
comme sur des rails...
les attaques tout azimuts que portent les défenseurs des techno sciences, en ce moment et la croyance qu'ils entretiennent de la souveraineté de ces dernières et de leur force élucidatrice, reviennent en quelque sorte à dire : nous vivrons un équilibre en perpétuel déséquilibre...
ou ce qui reviens à constater que nous finirons par chuter, seule manque l'échéance...
c'est en quelque sorte, un mécanicien qui dirait à bord d'une machine à vapeur lancée à pleine vitesse sur des rails dont nous il ne connais pas la longueur : je travaillerais plus tard à l'invention des freins, mais pour l'instant je cherche comment faire pour prolonger la voie tout en roulant...
17/03/2010
itinéraire...
-j'adore balader les imbéciles trop surs d'eux"
et soudain, je me souviens combien je n'aime pas les voyages...
15/03/2010
ingrat dégraisseur...
des cons posés...
mon village, fidèle à lui même, vote FN et tout d'un coup je me rappelle ce que plouc peut bien contenir de péjoratif...
14/03/2010
heureux qui communiste...
bonne course...
12/03/2010
débordements...
- l'essentiel de la pollution par l'oxyde de carbone est due aux pays émergents, la chine et l'inde...
- il y a aussi les pets des vaches ou leur rôts, selon...
belles bêtises colportées par les cons...
dans la mesure où les pays émergents n'ont l'usage que de moins de 30 % des biens qu'ils produisent dans leurs marchés intérieurs, la pollution qu'ils génèrent chez eux, et bien c'est la notre, toute autant délocalisée que la main d'œuvre...
quand aux éructations bovines ou autres oxydations des fèces de volailles ou autres, personnellement je n'ai pas connaissance de colonies de volailles ou de vaches sauvages en nombre suffisant pour leur devoir ce triste constat; c'est bien de bétail ou de cheptel d'élévage dont on parle et par conséquent d'une production d'origine humaine de gaz à effet de serre...
fusse t'il pété par les vaches...
amer...
et pourtant, je n'arrive pas à me réjouir...
pour deux raisons simples :
-parce qu'il s'agit pour l'essentiel à un reflux du au caractère insupportable de notre, omni président... les français appliqueraient la logique du vote sanction...
ce qui laisse présager de la qualité des programmes politiques et des contenus proposés par l'autre camp...
-parce que le vieux (le pen , en l'occurrence) tire sa dernière cartouche pour cause de limite d'âge et de mauvaise santé... la relève n'étant pas du tout assurée parce que volontairement pas préparée, la place politique risque de rester vacante... et depuis déjà longtemps, l'UMP travaille par hortefeux et besson interposé (sans compter les divers dérapages verbaux savamment orchestrés) à la lepénisation des esprits de droite et à la normalité d'un état comment dire : raciste!.. et que l'épouvantail FN disparu, les nuées mauvaises risquent de s'abattre sur l'étranger comme étourneaux sur les récoltes, d'autant que les esprits auront étés préparés à une certaine forme d'inacceptable (pour moins que certaines de phrases dites dernièrement et jusque par des ministres de la république, l'ami jean marie que nous avons adoré détester aurait été passible de poursuites auprès de tribunaux; alors que les auteurs de ces dernières s'en tirent avec de simples banales fausses excuses)...
les temps changent et pas qu'en bien...
07/03/2010
cellulaire...
On tient à son téléphone
On le remplit de numéros
de proches, de flirts ou de gens qu’on oublie
On supprime des contacts
On vérifie ses messages, on en envoie par accident,
la honte
On regrette
On écoute son répondeur
On appelle
On raccroche
On éteint son téléphone
On s’endort dessus
On prend des photos embarrassantes, privées, à ne pas effacer, à ne jamais montrer…
On discute
On hurle
On pleure
On rit
On perd ses mots
On ne rappelle pas
On aurait dû rappeler
On rappelle à 5 h du mat’
On perd son téléphone, on ne sait plus quoi faire
On s’inquiète
On pense…
Mon téléphone sait tout de moi !
Si vous trouviez mon téléphone, vous regarderiez à l’intérieur ?
à l'intérieur de mon téléphone, il n'y a rien à regarder
c'est simple, je n'ai pas de téléphone portable... peut être que je suis mort!..
02/03/2010
attention fragile...
Albert Camus
ça mériterait d'aller au panthéon, un aphorisme de ce genre, par les temps qui courent...
si le malheur et l'habitude qu'on veut nous en faire prendre, comme l'illusion d'une fatalité n'était pas en soi une action politique...
Le malheur a habituellement deux effets : souvent il éteint toute affection envers les malheureux, et non moins souvent, il éteint chez les malheureux toute affection envers les autres.
[ Antonio Gramsci ] - Lettres de prison
nous désolidariser et faire de nous des fragiles à défaut de faibles...