Nicolas Sarkozy poursuit sa tournée des victimes. Trois ans après l'assassinat de deux aides soignantes à l'hôpital psychiatrique de Pau, le chef de l'Etat s'est dit prêt vendredi à "faire évoluer la loi" pour que les criminels reconnus irresponsables par la justice puissent quand même être jugés.
1 Grains de sel:
ne pas radicaliser au delà de l'outrance, la peine du défaillant...c'est bien ça non ?
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