veau qu'à bu l'air...ou la grenouille qui voulait...

mon petis nicolas, en disant de la crise que c'était la plus grande crise du siècle, tu l'as qualifiée..

en quelque sorte, tu l'a légitimée; comme si les crises sont des phases normales de ce système capitaliste, qu'elles s'enchainent et qu'on peut le ordonner sur le critère de la nuisance... que, outre son exceptionnelle intensité tout doit être considéré comme normal : un peut comme un rôt après un bon repas... c'est celà qui était contenu dans le fait de la qualifier de plus grande , du siècle...

nous, ce qu'on aurait préféré, vois tu c'est que tu la disqualifia!..

cette crise, qui est un élément inséparable du système de capitalisation financière, qui lui est consubstantielle, n'a pas lieu d'exister et en conséquence c'est le système dans son entier qu'il faut s'appliquer à démanteler...voilà ce qu'on eu aimé t'entendre dire, au lieu de quoi...

c'est comme inventer la machine à vapeur, se dire qu'elle finira par exploser, mais qu'importe puisque jusque là elle aura marché... et c'est bien au fond de celà qu'il s'agit avec le néolibéralisme, s'en mettre plein les fouilles avant le déraillement ou l'explosion...